Zona Arqueológica Palenque - Citée Maya et Site Archéologique
La Zona Arqueológica Palenque est une citée Maya et un site archéologique d'une beauté exceptionnelle, niché au cœur de la forêt vierge. Les ruines mayas de Palenque sont non seulement impressionnantes mais aussi assez stylées, offrant aux visiteurs une expérience inoubliable. Situé à 6h/8h de Calakmul, à 13h/15h de Valladolid et à 6h/15h de Campêche, ce monument historique est un incontournable à visiter lors de votre séjour. Profitez de l'entrée gratuite pour les étudiants et découvrez ce site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. Ne manquez pas l'opportunité de découvrir Palenque, un lieu chargé d'histoire et de mystère, à essayer absolument lors de votre voyage au Mexique.
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"Site archéologique absolument incroyable, beaucoup de choses à voir, en pleine nature, très bien entretenue, un peu cher mais parce qu’on paye une droit d’entrée dans le parc naturel, donc une possibilité de balade dans la jungle et de voir des singes hurleurs !!! "
@louisduclos
"Site archéologique enregistré au Patrimoine Mondial de l'Unesco. By Laëtitia"
@missgalsen
"cité maya, site archéologique"
@anais.rouquet
"superbe sité archéologique entouré de forêt vierge"
@flo243
"6h/8h de Calakmul (26€) 13h/15h de Valladolid (72€) 6h/15h de Campêche (entre 36 et 72€) "
@chamce1
"Ruines mayas - assez stylé"
@pechinotflorian
"Gratuit pour les étudiants 53$ pour le parc"
@marionlebechec
"Au cœur de la jungle de l’État mexicain du Chiapas se trouvent les ruines d’une ancienne cité maya connue aujourd’hui sous le nom de Palenque. Entourées d’une épaisse canopée de cèdres et d’acajous, près de 1 500 structures individuelles composent l’ancien complexe, dont le centre est dominé par un palais et encerclé de temples. Bien que Palenque soit relativement petite par rapport à d’autres sites mayas comme Chichén Itza ou Tikal, la finesse des détails et l’élégance de son architecture étonnent les visiteurs depuis sa découverte. 𝐋𝐄𝐒 𝐎𝐑𝐈𝐆𝐈𝐍𝐄𝐒 𝐃’𝐔𝐍𝐄 𝐆𝐑𝐀𝐍𝐃𝐄 𝐂𝐈𝐓𝐄́ Le terme « maya » est un terme du 20e siècle utilisé pour désigner la civilisation qui s’épanouissait dans le sud de la péninsule du Yucatán au Mexique et dans les actuels Guatemala, Belize, Honduras et Salvador, pendant ce que les spécialistes qualifient d’époque classique maya, de 250 à 900 de notre ère. La civilisation maya était hégémonique et se composait de nombreux centres de pouvoir indépendants, unifiés par des langues, des calendriers et un système d’écriture communs, ainsi que par des rituels religieux et des coutumes. Palenque faisait partie de ce réseau. Cependant, malgré ces liens, ces cités étaient souvent en conflit les unes avec les autres, et Palenque ne faisait pas exception à la règle. Le nom Palenque provient d’un mot espagnol qui signifie « palissade ». Ce nom fut initialement donné par les colons espagnols du 16e siècle à une ville voisine qui, avec le temps, fut associée aux ruines elles-mêmes. Aujourd’hui, certains historiens pensent que les habitants de Palenque connaissaient peut-être la ville sous le nom de Lakam Ha, un mot maya lié aux rivières, reflétant les abondantes sources d’eau du site. Les premiers habitants de Palenque s’installèrent probablement sur le site aux alentours du 1er siècle avant notre ère. Au fil de son développement, la ville prospéra suffisamment pour affirmer son influence sur les autres peuples de la région. Palenque s’enrichit ainsi grâce au commerce et aux tributs perçus auprès des villes qui lui étaient soumises. Comme d’autres cités mayas, Palenque était dirigée par un ajaw, une fonction qui fut comparée à celle d’un roi, mais de nombreux spécialistes la rapprochent davantage de celle d’un puissant gouverneur ou d’un seigneur. Le titre semble avoir été héréditaire, le pouvoir passant de père en fils. L’ajaw servait de lien entre les dieux et le peuple. Les inscriptions en glyphes trouvées à Palenque révèlent que les habitants croyaient que les dieux contrôlaient la météo. Les mystérieuses brumes et tempêtes pouvaient à la fois perturber et stimuler l’agriculture dont la cité dépendait. Le rôle de l’ajaw était d’intervenir auprès des dieux pour protéger et nourrir son peuple. 𝐋𝐀 𝐃𝐄́𝐂𝐎𝐔𝐕𝐄𝐑𝐓𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐂𝐈𝐓𝐄́ Les premiers Européens à voir ces ruines les contemplèrent au XVIIe siècle, et ils furent émerveillés par leur beauté. Au cours des siècles suivants, davantage de visiteurs se rendirent à Palenque pour observer ces bâtiments et documenter leurs magnifiques œuvres d’art. Les premières études archéologiques modernes commencèrent au 20e siècle. Les travaux de l’archéologue mexicain Alberto Ruz comptèrent parmi les plus importants : travaillant dans les années 1950, il fit une découverte majeure dans le Temple des Inscriptions. Il constata qu’une chambre, située dans la partie la plus basse du temple, « ressemblait à une chapelle abandonnée. Des figures en stuc en relief arboraient les murs. Le sol… était presque entièrement rempli d’une grande dalle de pierre sculptée ». Le corps sous la dalle, recouvert d’un masque mortuaire en jade affichant un regard pénétrant, fut identifié comme étant celui de Pacal, enterré là après sa mort en 683. Le magnifique couvercle du sarcophage, doté de glyphes mayas et d’une imagerie élaborée centrée sur une figure accroupie, devint la source d’une fascination généralisée. Les mayanistes affirment que l’interprétation la plus probable est que cette figure représente Pacal devant l’Arbre du Monde. Dans la tombe, son corps était entouré d’objets en jade, dont la couleur verte symbolise le maïs et l’eau, les matériaux sur lesquels reposait la civilisation maya. Certains des objets de la tombe étaient saupoudrés de cinabre, un minerai de mercure oxydé, dont la couleur rouge représente le sang, la vie et l’au-delà. La stabilité fut maintenue jusqu’au règne du petit-fils de Pacal et au-delà, mais au milieu du 9e siècle, l’influence de Palenque dans la région commença à faiblir. En 900, Palenque était devenue vide, un phénomène qui serait dû à ce que les spécialistes appellent l’effondrement de la civilisation maya, un abandon encore inexpliqué des grands centres urbains de l’empire. La solidité des bâtiments de Palenque perdura, mais leurs couleurs vives s’estompèrent avec le temps. Découverts des siècles plus tard, les monuments de Palenque continuent de proclamer la gloire passée de leur peuple. Les archéologues continuent à les explorer. Dans les années 1990, on y découvrit un passage caché sous les escaliers du Temple XIII qui menait à une autre tombe, celle d’une femme de haute naissance, désormais connue sous le nom de « Reine rouge ». On pense désormais qu’il pourrait s’agir de Tz’akbu Ajaw, la reine consort de Pacal. Une équipe d’archéologues, dirigée par Arnoldo Gonzalez, annonça en 2016 la découverte d’un tunnel d’eau sous le Temple des Inscriptions et la tombe de Pacal. Selon eux, la tombe et la pyramide furent délibérément placées au-dessus d’une source afin que l’eau fournisse à l’esprit de Pacal un moyen de voyager dans le monde souterrain. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑵𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒂𝒍 𝑮𝒆𝒐𝒈𝒓𝒂𝒑𝒉𝒊𝒄 (𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒆𝒏 𝒍𝒊𝒈𝒏𝒆) ; 𝑷𝒂𝒕𝒓𝒊𝒎𝒐𝒊𝒏𝒆 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒊𝒂𝒍 𝒅𝒆 𝒍'𝑼𝑵𝑬𝑺𝑪𝑶 (𝒄𝒂𝒓𝒕𝒆 𝑴𝒂𝒑𝒔𝒕𝒓) ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"Really beautiful ruins in the middle of the jungle 🤗"
@estellexplorer
"Touristic but outstanding, to see. Immersed in the Mayan forest. "
@whereiscompa
"UNESCO World Heritage A prime example of a Mayan sanctuary of the classical period, Palenque was at its height between AD 500 and 700, when its influence extended throughout the basin of the Usumacinta River. The elegance and craftsmanship of the buildings, as well as the lightness of the sculpted reliefs with their Mayan mythological themes, attest to the creative genius of this civilization. Palenque is widely regarded as one of the best-preserved examples of a Classical period Mayan sanctuary, and it is remarkable for the quality and profusion of its art and architecture. It is a relatively small city, compared with Copán and Tikal, but it seems to have been the capital of the surrounding Mayan state. The site is still being researched by archeologists, but it is at least 1,600 years old, with inscriptions recording the reign of a king in the early fifth century. It underwent a period of growth during the fifth and sixth centuries before being ransacked on several occasions by nearby cities at the start of the seventh century. These defeats seem to have prompted a wave of reconstruction under a new, powerful leader, Pakal the Great, and it is thought that most of the temples and structures still standing today date from this period. Palenque began to decline around 711, when it was again defeated and ransacked by a rival city, and suffered further defeats over the next century. It had been completely abandoned for several centuries by the time it was discovered in the 1560s by Spanish explorers. Palenque's central plaza is a considerable engineering achievement, being built directly over the Otulum River, which was redirected through a 165-foot- (50-m-) long vaulted roof canal. Surrounding this public space is the Palace- a complex of interconnected buildings and temples, each positioned at the top of a traditional step pyramid and decorated with a wealth of devotional carvings. Arguably the most important of these buildings is the Temple of the Inscriptions, which contains one of the longest Mayan inscriptions in Central America, chronicling around 180 years of Palenque's history. As well as this wealth of historical information, the temple contains intricate carvings of deities and kings, and the tomb and ornately carved sarcophagus of Pakal the Great himself."
@nchavotier