Sazan
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"île abandonnée avec ville abandonnée et ancienne prison, bunkers, venir en bateau, attention pas de commerce donc prévoir eau et nourriture, se promener + se baigner, eau belle et propre par contre détritus des touristes sales mais plutôt sauvage, beaux paysages entre végétation et eau turquoise "
@Ginger
"Acqua pulita, posto inabitato Un giorno intero 25€"
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"Plage de l’île de Sazan : un archipel sauvage coupé du monde Dans les 15 plus belles Si vous recherchez un coin édénique loin des circuits touristiques, penchez pour la plage de l’île de Sazan. Autrefois utilisée comme base militaire, cette île abandonnée après la chute du bloc communiste est surnommée « l’île-Bunker ». Sa nature sauvage et son caractère isolé en font l’emplacement parfait pour les voyageurs en quête de tranquillité. Régalez-vous de ses petites baies aux eaux turquoise, flanquées de paysages montagneux impressionnants. Notez cependant que l’accès au littoral, composé essentiellement de galets, peut s’avérer difficile et s’effectue exclusivement en bateau. Dépourvue d’arbres, la plage de l’île de Sazan ne fournit pas d’ombre naturelle. Il est donc vivement conseillé que vous apportiez un parasol afin de vous protéger du soleil. En l’absence d’ infrastructure, cette île vous garantit de vivre comme Robinson Crusoé."
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"Sazan jest to tajemnicza wyspa, do której przez lata nikt oprócz wojska nie miał wstępu. Znajduje się na niej 3,5 tys. bunkrów, zrujnowane i rozgrabione budynki koszar i amunicji, a pod ziemią prowadzą kilometry tuneli i korytarzy. Oprócz atrakcji dla wielbicieli historii, urban exploration i teorii spiskowych na wyspie znajdą się również miejsca dla pozostałych osób. Sazan to urokliwe miejsce z dziewiczymi plażami, klifowym wybrzeżem, wzgórzami porośniętymi sosnami i figami, wśród których przemykają ptaki i jaszczurki. Jest to idealne miejsce na odpoczynek, wędrówki, nurkowanie, a tunele zapewniają ochłodę w najgorętsze dni. "
@asiawarowna97
"Ouverte aux visiteurs depuis 2015, c'est la plus grande île du littoral albanais : d'une surface de 5,7 km 2 , elle s'étend sur 4,8 km de longueur du nord au sud et sur 2,7 km d'est en ouest. Elle est réputée pour ses bunkers, mais ne présente qu'un intérêt limité. Histoire - Située à l'entrée de la baie de Vlora, l'île fut pendant des siècles l'enjeu de rivalités entre les différentes puissances de la région : Romains, Byzantins, Normands, Ottomans, Vénitiens, Italiens et Grecs. Visible depuis la côte des Pouilles, son emplacement stratégique permet de contrôler le détroit d'Otrante. Cédée par l'Empire ottoman à la Grèce en 1864, elle ne fut que brièvement habitée par des colons italiens dans les années 1940. Elle ne fut définitivement rattachée à l'Albanie qu'en 1947. Dès lors, Sazan devint l'un des endroits les plus secrets et les mieux gardés de la dictature communiste. L'armée albanaise y stationna jusqu'à 3 000 soldats avec des batteries d'artillerie, des canons anti-aériens, des bunkers, des installations navales et des postes d'écoute et de surveillance pour suivre les navires de l'Otan croisant entre la mer Ionienne et l'Adriatique. Aujourd'hui encore, les marines italienne et albanaise opèrent sur place depuis la base de la baie de Saint-Nicolas (Gjiri i Shën Nikollës) afin de contrôler les bateaux de contrebande passant drogue et cigarettes vers Brindisi. Le reste des installations militaires a été pour l'essentiel laissé à l'abandon. Visite - L'endroit est aujourd'hui une réserve naturelle. Depuis 2002, l'île fait partie du parc naturel marin de Karaburun-Sazan. Dans l'attente d'un véritable plan de développement, Sazan ne possède encore aucune infrastructure touristique. Elle offre un paysage pour le moins contrasté. Les amoureux de la nature y trouveront leur compte avec une végétation qui diffère du littoral albanais, 7 espèces d'amphibiens et 13 espèces de sauriens (mais aucune vipère), trois collines dont l'une culmine à 342 m d'altitude, une rivière, de belles plages (à l'est) et une belle crique (à l'ouest). Les amateurs d'histoire militaire seront quant à eux ravis de découvrir des carcasses de navires échouées dans le port, le matériel rouillant ça et là le long des pistes, des casemates et abris souterrains, des casernes en ruines, mais aussi un sol sans doute contaminé par des substances chimiques (munitions, carburant, etc.)."
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