Musée de la Compagnie des Indes
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"Sympas mais un peut long Octobre 2022 avec Michel et Laurence "

@jeremy_lsc

"𝑼𝒏 𝒄𝒉𝒐𝒖𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒂𝒈𝒏𝒊𝒆 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆𝒓𝒄𝒊𝒂𝒍𝒆 𝒇𝒐𝒏𝒅𝒆́𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝑪𝒐𝒍𝒃𝒆𝒓𝒕, 𝒆𝒕 𝒅𝒐𝒏𝒕 𝑳𝒐𝒓𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒂 𝒍𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒈𝒆 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆 (𝒆𝒕 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒖𝒏𝒆 𝒊𝒎𝒎𝒆𝒏𝒔𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆 𝒅𝒆 𝒓𝒊𝒄𝒉𝒆𝒔𝒔𝒆𝒔 𝒂𝒖 𝑿𝑽𝑰𝑰𝑰𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆 !). La ville de Port-Louis, à côté de Lorient, peut se vanter de posséder un magnifique musée : celui de la Compagnie des Indes, créée en 1664 par Colbert. Dans plusieurs salles très proprement aménagées, vous pourrez découvrir de somptueuses maquettes de navires marchands (faites au début des années 1980) , des porcelaines de Chine du XVIIIe siècle, des maquettes qui reproduisent des ports orientaux (Canton et Pondichéry), des documents d'époque sur la vie de la Compagnie. Sans oublier une très enrichissante coupe transversale d'un navire marchand complètement chargé et la reproduction longitudinale des quatre ponts d'un navire. C'est un vrai régal pour les yeux et pour tous ceux que l'Histoire navale intéresse. Si l'on y ajoute la grande salle du « Musée de la Marine », la visite de la Citadelle de Port-Louis vaut vraiment le détour. 𝐔𝐧 𝐩𝐞𝐮 𝐝'𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞… La compagnie des Indes française exerça d'abord le monopole sur le commerce atlantique (c'est-à-dire sur tous les échanges commerciaux avec l'Amérique du Nord mais aussi et surtout avec les Antilles françaises – qui deviennent les premières productrices mondiales de sucre à partir des années 1720 grâce à l'essor foudroyant de Saint-Domingue). Au début du XVIIIe siècle, la compagnie investit l'océan Indien et se repositionne sur le commerce avec les Indes orientales (Inde, Indochine, Indonésie) et ses produits (épices, soie, porcelaine,...) très prisés des élites urbaines de l'époque. La compagnie possédait notamment Pondichéry et son gouverneur exerçait une grande influence en Inde, où certains comme Dupleix (ou sur le plan naval Suffren) y écriront l'Histoire… 𝐋𝐨𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭, 𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐜𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐢𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐈𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞 L’histoire de Lorient commence avec la fondation de la ville en 1666 avec l'objectif de fournir une base à la Compagnie française des Indes orientales. Ce rôle est renforcé en 1675 lors de la guerre de Hollande lorsqu'il est décidé d'abandonner l'autre implantation de la compagnie, au Havre, au seul profit de Lorient. D'autres compagnies commerciales à monopole s'installent par la suite et utilisent le port et l'enclos qui l'entoure jusqu'à la fin de l'ancien régime, participant ainsi à fournir à la ville ses équipements ; le site devient ainsi la principale agglomération du sud de la Bretagne dès le milieu du XVIIIe siècle. À partir de 1688, le port est également utilisé par la Marine royale qui y fait construire ou armer ses navires. La Compagnie française pour le commerce des Indes orientales est créée par Colbert en 1664, et vise à concurrencer la Compagnie néerlandaise des Indes orientales qui a alors un quasi-monopole pour le commerce vers l'océan Indien. Elle s'installe en octobre 1664 dans le port du Havre mais elle manque d'espace pour se développer et ce mouillage est en outre exposé aux agressions anglaises ou hollandaises. La compagnie achète alors à la fin de la même année des terrains à Bayonne. Des troubles éclatent dans la ville en 1665, les habitants étant opposés à cette implantation et la compagnie doit chercher un autre lieu pour s'implanter. La ville de Paimbœuf est envisagée, mais le gouverneur de Port-Louis, alors lieutenant général du roi en Bretagne, utilise toute son influence et Colbert ordonne aux directeurs de la Compagnie de s'implanter dans la rade bien protégée de Port-Louis. La Compagnie reçoit, par une ordonnance de Louis XIV de juin 1666, des terres à Port-Louis, ainsi que de l'autre côté de la rade au lieu-dit du Faouédic. L'un des directeurs de celle-ci, Denis Langlois, y achète en août 1666 des terres au fond de la rade, au confluent du Scorff et du Blavet et y fait construire des cales. Dans un premier temps, le lieu fonctionne seulement comme annexe des installations de Port-Louis où se trouvent les bureaux et les magasins de la Compagnie. Au cours des années suivantes, l'implantation est plusieurs fois menacée d'abandon, mais, en pleine Guerre de Hollande, la Compagnie française des Indes orientales décide en 1675 d'abandonner sa base du Havre, trop exposée en temps de guerre, et d'y transférer ses infrastructures. Dans le domaine qui prend le nom de « l'Enclos », la compagnie construit alors une chapelle, des ateliers, des forges et des bureaux, et quitte définitivement les berges de Port-Louis. La Marine royale s'implante également sur le site sous l'impulsion du Jean-Baptiste Colbert de Seignelay, fils de Colbert, qui a hérité de la charge de secrétaire d’État de la Marine de son père. Des corsaires venant de Saint-Malo y trouvent également refuge à la même époque. L'opération d'adaptation du port démarre en 1687. Le chantier est réquisitionné pour la Marine royale en 1688 lorsque la guerre de la Ligue d'Augsbourg éclate et, en 1690, les premiers navires de guerre y sont armés. La construction de plusieurs navires y est également assurée et, de 1690 à 1708, dix-huit bâtiments militaires sortent du chantier. Ces chantiers drainent entre 800 et 900 ouvriers, principalement des Provençaux, des Normands, des Basques ou des Nantais. La Compagnie des Indes doit également céder plusieurs structures à la Royale : le magasin général, la corderie et la voilerie sont cédés en 1689, ainsi qu'une partie des logements l'année suivante. La ville se développe en dehors du périmètre de l'Enclos dans le respect d'un arrêt de 1700 qui oblige les populations à quitter les abords de celui-ci pour s'installer sur la grande lande du Faouédic. En 1709, la paroisse de Lorient est créée à partir de celle de Plœmeur. La ville compte alors en 1702 quelque 6 000 habitants, mais les activités de la Compagnie des Indes orientales comme celles de la Marine royale restent réduites et la ville commence à décliner. La ville connaît un nouvel essor lorsque John Law de Lauriston crée en 1719 la Compagnie perpétuelle des Indes en achetant plusieurs autres compagnies commerciales et qu'il choisit Lorient comme base pour ses opérations. La Marine royale est peu disposée à laisser les installations de l'Enclos à la nouvelle compagnie, mais le Conseil de marine ordonne à celle-là le 28 juin 1719 de libérer les lieux, ce qui est effectif à la fin de la même année. Malgré l'effondrement du système de Law en 1720, la ville connaît une nouvelle phase de développement. Par la ville transitent annuellement en moyenne 400 000 livres de poivre, 500 000 livres de thé, 1,5 à 2 millions de livres de café, 150 000 pièces de cotonnades et de mousselines et 150 000 pièces de porcelaines de Chine. C'est pendant cette période que la ville prend part au commerce triangulaire et que 156 navires y participent entre 1720 à 1790 en déportant quelque 43 000 esclaves. À l'époque où la traite nantaise marque le pas et où la Compagnie des Indes obtient « le privilège exclusif de faire le commerce de Guinée, ce qui comprend la traite négrière », Lorient s'affirme comme le premier port négrier français entre 1723 et 1725. En 1732, la Compagnie perpétuelle des Indes décide de transférer de Nantes à Lorient le siège de toutes ses ventes, et demande à l'architecte Jean-Charles Gabriel de construire de nouveaux bâtiments en pierre de taille pour accueillir ces activités et embellir l'espace de l'Enclos. Les ventes s'y réalisent à partir de 1734 et on y traite jusqu'à vingt-cinq millions de livres tournois. Le monopole de la Compagnie est cependant aboli avec la disparition de celle-ci en 1769 sous l'influence des physiocrates. Les capacités de construction navale augmentent avec la mise en chantier en 1728 d'une cale et un premier vaisseau de 600 tonneaux, le Philibert, en sort en 1730. À partir de 1732, trois navires en sortent chaque année, permettant un renouvellement total de la flotte de la compagnie en douze ans. En 1755, trois nouvelles cales sont ouvertes à Caudan sur l'autre rive du Scorff. La ville profite à cette époque de la prospérité fabuleuse de la Compagnie. Elle compte 14 000 habitants en 1738 et 20 000 en incluant la population des faubourgs de Kerentrech, de Merville, de La Perrière, de Calvin et de Keryado. La population de la ville vient majoritairement de Bretagne. Le personnel navigant présent vient pour 42,8 % de la paroisse de Port-Louis et pour 25,1 % de celle de Saint-Malo. Quant aux officiers, ils sont issus pour 40 % de la paroisse de Saint-Malo et pour 28 % de celle de Port-Louis. Le reste de l'immigration provient pour 88 % des départements bretonnants du Morbihan, du Finistère et des Côtes-d'Armor, ce qui oblige la ville à prendre en compte à plusieurs reprises cet élément linguistique pour sa gestion. En 1735, de nouvelles rues tirées au cordeau sont tracées intra-muros. En 1738, la ville acquiert le statut de communauté de ville. Des travaux d'embellissement commencent alors, comme le pavage des rues, la construction de quais et de cales en bordure du ruisseau du Faouédic, ou encore la démolition de chaumières remplacées par des maisons calquées sur les modèles de l'Enclos. Des murailles sont érigées en 1744 pour fermer la ville, et sont mises à contribution dès septembre 1746 par un raid britannique contre la ville (siège de Lorient). Un hôpital municipal, l'Hôtel-Dieu, est ouvert en 1740 grâce au don d'une philanthrope à la ville et dès 1754 la ville et la Compagnie perpétuelle des Indes projettent la construction d'un établissement de santé commun. Celui-ci est obtenu en 1766 par la fusion de la structure municipale et d'une autre structure de la compagnie et, en 1771, il accède au rang d'hôpital de deuxième classe. La disparition de la Compagnie perpétuelle des Indes en 1769 provoque une diminution de l'ordre d'un septième de la population de la ville. Grâce au statut de communauté de ville accordé en 1738, la ville peut envoyer des représentants au parlement de Bretagne. Elle y obtient entre 1738 à 1751 quelque 170 000 livres afin de moderniser ses installations portuaires, ainsi qu'une baisse de sa capitation (impôt par tête) entre 1746 et 1750 à la suite du raid britannique contre la ville. Le poids administratif et politique de la ville reste cependant en deçà de son poids économique et elle dépend d'autres villes proches comme Hennebont pour la justice ou d'autres aspects. La guerre d'indépendance américaine amène à la ville un surcroît d'activité à partir de 1775 et plusieurs corsaires utilisent la ville comme port d'attache. John Paul Jones utilise à partir de 1778 la ville et son port comme lieu d'attache pour son navire, le Bonhomme Richard et plusieurs de ses prises de guerre y sont rapatriées. Au total, 121 prises effectuées sur les Britanniques par John Paul Jones et par d'autres sont acheminées puis vendues à Lorient. À la fin de la guerre en 1783, plusieurs lignes transatlantiques sont ouvertes de Lorient vers les États-Unis. La ville commence sa reconversion avec l'achat par le roi des installations de la Compagnie pour 17 500 000 livres tournois pour y installer sa marine. La construction navale privée se développe et, entre 1769 et 1777, l'équivalent de 13 000 tonneaux sont ainsi mis en chantier. Le tonnage construit par la Compagnie puis par la Royale ne représente plus que 39 % de la production totale lorientaise. Le commerce privé se développe dans le même temps et, entre 1769 et 1785, date de la création de la Compagnie de Calonne, Lorient compte pour 57 800 des 151 955 tonneaux armés en France. Dès 1785, à la demande de Charles Alexandre de Calonne, contrôleur général des Finances, une nouvelle compagnie commerciale est créée, la Compagnie des Indes orientales et de la Chine, qui s'installe à Lorient. Une bourgeoisie commence à émerger et représente 6 % de la population lors de la capitation de 1788. Celle-ci est issue pour 24 % de la construction navale et pour 43,7 % du commerce. Son développement induit l'éclosion d'une vie culturelle : une salle de spectacle est ouverte en 1778 et compte 790 places. L'année suivante, la ville compte une troupe de théâtre permanente. La loge maçonnique lorientaise est influente à l'époque et compte 105 membres en 1786. Celle-ci est liée initialement à la présence de la Compagnie des Indes. La Révolution française et les guerres contre le Royaume-Uni qui suivent mettent fin aux activités commerciales à Lorient pour près de deux décennies. Elle connaîtra encore une activité importante durant le XIXe siècle (en particulier sous le Troisième Empire, époque où Napoléon III redote le pays d'une marine conséquente), mais finira peu à peu par décliner et ne retrouvera jamais la prospérité formidable qu'elle avait pu connaître au XVIIIe siècle. 𝑱𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒗𝒐𝒊𝒆 𝒄𝒆𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒆 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑪𝒐𝒎𝒑𝒂𝒈𝒏𝒊𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑰𝒏𝒅𝒆𝒔 𝒐𝒓𝒊𝒆𝒏𝒕𝒂𝒍𝒆𝒔 (𝒆𝒕 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒈𝒍𝒐𝒃𝒂𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒈𝒍𝒐𝒃𝒂𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝒆𝒎𝒑𝒊𝒓𝒆 𝒄𝒐𝒍𝒐𝒏𝒊𝒂𝒍 𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒂𝒊𝒔) 𝒊𝒏𝒕𝒆́𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆𝒏𝒕, 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒍𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒆́𝒒𝒖𝒆𝒏𝒕 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔 ⬇) ! 𝑆𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒(𝑠) : 𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑤𝑒𝑏 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑊𝑖𝑘𝑖𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑎 (ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒) ; 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝐼𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒"

@histoireitinerante

"Super ! un peu long la visite"

@eva.janvier.77

"La Compagnie française des Indes a, de 1664 à 1793, fait rêver bien des esprits conquérants : décidés à faire fonctionner le commerce mondial, ceux-ci partaient sur les mers pendant des mois et rapportaient de leurs longs voyages des porcelaines de Chine, des étoffes d’Inde et du mobilier. Ces collections, tâchées du sang du commerce triangulaire auquel la compagnie participait activement, restituent la soif d’exotisme de ces épopées maritimes. Des maquettes de bateaux et quelques portraits peints complètent l’évocation."

@justine_lcve

"La Compagnie française des Indes a, de 1664 à 1793, fait rêver bien des esprits conquérants : décidés à faire fonctionner le commerce mondia"

@infernalmonster

"La Compagnie française des Indes a, de 1664 à 1793, fait rêver bien des esprits conquérants : décidés à faire fonctionner le commerce mondial, ceux-ci partaient sur les mers pendant des mois et rapportaient de leurs longs voyages des porcelaines de Chine, des étoffes d’Inde et du mobilier. Ces collections, tâchées du sang du commerce triangulaire auquel la compagnie participait activement, restituent la soif d’exotisme de ces épopées maritimes. Des maquettes de bateaux et quelques portraits peints complètent l’évocation."

@beauxarts

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