Église Saint-Gervais
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Église Saint-Gervais - Monument historique à découvrir

L'Église Saint-Gervais, située au cœur de la ville, est un monument historique d'une grande importance. Cette magnifique église, également connue sous le nom de Chiesa di San Gervasio, est un lieu incontournable pour les amateurs d'architecture. Son style unique et ses détails impressionnants en font un véritable joyau architectural. L'importance culturelle et historique de cette église en fait un lieu à ne pas manquer lors de votre visite. Explorez l'Église Saint-Gervais et plongez dans l'histoire et la beauté de ce monument emblématique.

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#Tags souvent utilisés
#Eglise #Église #Musée #Balade #Monument
Ce qu'en disent les utilisateurs

"Eglise magnifique, extérieur et voûte. le parvis donne sur l'arrière de l'hôtel de ville"

@julien.irchi

"Communauté Jérusalem moines "

@armelle.demadre

"Installation anamorphose lumiere"

@corentin.chevalier2

"L'église Saint-Gervais-Saint-Protais, située en face de l'Hôtel de ville de Paris, gagnerait à être davantage connue. C'est en effet l'une des plus belles de Paris, avec des vitraux Renaissance remarquables. 𝐋'𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐬𝐞 Conçue par les marguilliers de la paroisse comme une refonte et un agrandissement d'une précédente église consacrée en 1420, il fallut près de cent cinquante ans pour la bâtir. On éleva d'abord les chapelles du chœur au nord, celle de l'axe, puis celles au sud. On refit ensuite le vaisseau central du chœur. La façade occidentale, où s'imposent les trois ordres classiques, n'est achevée qu'en 1621. Cette façade va servir de modèle à d'autres églises parisiennes. À la Révolution, Saint-Gervais restera fermée pendant quelques années. Elle est rouverte sous le Directoire et souffrira peu de la tourmente. En 1802, elle retrouve son statut de paroisse catholique. En 1918, un obus allemand tombe sur le transept, pendant l'office du Vendredi Saint, tuant près d'une centaine de personnes. Ajoutons que l'église a fait l'objet d'une restauration approfondie au début du XXIe siècle. L'architecte de Saint-Gervais-Saint-Protais reste inconnu. Cependant les historiens ont de bonnes raisons d'attribuer les plans de l'édifice à Martin Chambiges. Quoi qu'il en soit, l'église possède une nef étroite, marquée par un effet d'élancement très étudié. Saint-Gervais s'inscrit dans l'histoire des églises Renaissance de Paris, au style gothique flamboyant, avec Saint-Étienne-du-Mont, Saint-Germain-l'Auxerrois, Saint-Séverin et Saint-Merry. Le XIXe siècle a paré ses nombreuses chapelles de peintures murales que l'exiguïté de l'architecture ou les reflets de la lumière ne permettent pas toujours d'apprécier dans de bonnes conditions. Dans le chœur (librement accessible), des stalles du XVIe siècle enchanteront le visiteur avec leur variété de scènes de la vie courante et de petits métiers sur les miséricordes. Au second niveau de la nef et du chœur, de magnifiques et grandes verrières du XVIe siècle illuminent l'église. Jean Cousin serait l'auteur des dessins de trois d'entre elles. Les vitraux de la chapelle de la Vierge et le célèbre vitrail de la Sagesse de Salomon dans une chapelle sud du déambulatoire sont dus au formidable talent de Jean Chastellain. La deuxième page consacrée à cette église vous propose l'intégralité des grandes verrières Renaissance de la nef et du chœur. À noter que les anciens verres blancs des verrières disparues ont été remplacés par des créations d'artistes modernes (Le Chevallier, Claude Courageux et Sylvie Gaudin). Quelques-unes de ces créations abstraites sont données ici. Pour ce qui est du culte, depuis 1975, l'église Saint-Gervais n'est plus paroissiale, mais affectée aux liturgies monastiques des Fraternités de Jérusalem. 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐆𝐞𝐫𝐯𝐚𝐢𝐬 𝐞𝐭 𝐏𝐫𝐨𝐭𝐚𝐢𝐬, 𝐬𝐚𝐢𝐧𝐭𝐬-𝐩𝐚𝐭𝐫𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐓𝐞𝐦𝐩𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 Gervais et Protais sont deux saints martyrs du début de l'ère chrétienne, toujours associés. Leur existence réelle est peu documentée et leur histoire relève essentiellement de l'hagiographie, principalement de la Légende dorée de Jacques de Voragine. Les jumeaux martyrs Gervais et Protais étaient d’ailleurs bien plus que les saints-patrons de nombreuses églises de France (dont la cathédrale de Mende). Bien davantage à l’époque qu’aujourd’hui, ils étaient surtout connus pour constituer l’un des premiers symboles des Templiers, un Ordre du Temple notoirement célèbre pour avoir versé dans l’initiation ésotérique – notamment numérologique. Le chiffre 9, en particulier, à l’instar du chiffre 3, jouait un fort rôle dans la symbolique templière (avec les 9 fondateurs traditionnels de l’Ordre, les 9 années de gestation du Temple, les 9 templiers nécessaires pour fonder une commanderie, les 9 provinces d’Occident de l’Ordre, etc.). En symbolisme, le 9 possède en effet une forte valeur rituelle : dernier des nombres simples, il annonce à la fois la fin et le commencement. De la même façon que le chiffre 1 représente l’Unité (et symbolise ce faisant Dieu et le Divin), le chiffre 9 symbolise la fin et le renouveau du cycle, la renaissance. Les deux chevaliers croisés à cheval constituaient pour leur part le plus célèbre symbole des Templiers. Aussi ces derniers, férus des principes de dualité, avaient-ils fait le rapprochement avec les jumeaux martyrs Protais et Gervais (on retrouvait d’ailleurs souvent des églises baptisées au nom de ces deux saints près des commanderies templières…). La Bête du Gévaudan (du moins la dernière Bête…) fut tuée par Jean Chastel le 19 juin 1767, c’est-à-dire le jour de la Saint-Protais et Saint-Gervais. Les deux martyrs chrétiens étaient à l'époque les patrons paroissiaux de la cathédrale de Mende (et donc, par extension, du Gévaudan). Ce qui fut que Chastel libéra le Gévaudan de son "fléau divin" précisément le jour de la fête de ses saints-patrons ! 𝑱𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒗𝒐𝒊𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒕𝒆́𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆́(𝒆)𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑩𝒆̂𝒕𝒆 𝒅𝒖 𝑮𝒆́𝒗𝒂𝒖𝒅𝒂𝒏, 𝒍𝒂 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒆́𝒏𝒊𝒈𝒎𝒆 𝒅𝒖 𝒓𝒆̀𝒈𝒏𝒆 𝒅𝒆 𝑳𝒐𝒖𝒊𝒔 𝑿𝑽, 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒆𝒖𝒙 𝒍𝒐𝒏𝒈𝒖𝒆𝒔 𝒔𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒔 𝒅𝒐𝒄𝒖𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒍𝒖𝒊 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝒃𝒍𝒐𝒈 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔 ⬇). On peut également voir enfin dans l'église représenté sur une miséricorde un superbe orme, arbre majestueux et vénéré durant des siècles, et probable référence ici à la légende de la coupure de l'Orme de Gisors (voir ci-dessous !). 𝐋𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐩𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐎𝐫𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐆𝐢𝐬𝐨𝐫𝐬 (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝑹𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔-𝒍𝒆-𝑪𝒉𝒂̂𝒕𝒆𝒂𝒖 𝑨𝒓𝒄𝒉𝒊𝒗𝒆𝒔) 𝑉𝑒𝑟𝑠 1187, 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝐺𝑒́𝑟𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝑅𝑖𝑑𝑒𝑓𝑜𝑟𝑡 (𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 1188), 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑆𝑎𝑟𝑟𝑎𝑠𝑖𝑛𝑠. 𝐶𝑒𝑡 𝑒́𝑣𝑒̀𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑒́𝑐𝑢 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑏𝑙𝑒 ℎ𝑢𝑚𝑖𝑙𝑖𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑏𝑙𝑖𝑔𝑒𝑎 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠. 𝑂𝑟𝑙𝑒́𝑎𝑛𝑠 𝑓𝑢𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑒́𝑒. 𝐶𝑒𝑡 𝑒́𝑝𝑖𝑠𝑜𝑑𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑝𝑖𝑟𝑎 𝑅𝑖𝑑𝑙𝑒𝑦 𝑆𝑐𝑜𝑡𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑚 "𝐾𝑖𝑛𝑔𝑑𝑜𝑚 𝑜𝑓 ℎ𝑒𝑎𝑣𝑒𝑛" 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝐵𝑎𝑙𝑖𝑎𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝐺𝑒́𝑟𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝑅𝑖𝑑𝑒𝑓𝑜𝑟𝑑… 𝑂𝑟, 𝑒𝑛 1188, 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝐷𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡𝑠, 𝑢𝑛 𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒́ "𝐿𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒" 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑎 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒𝑠, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒. 𝐶𝑒 𝑠𝑐ℎ𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖̂𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚. 𝐿𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑢 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐷𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟 𝐿𝑜𝑏𝑖𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑙'𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑢𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒́𝑟𝑜𝑢𝑙𝑒́ 𝑎̀ 𝐺𝑖𝑠𝑜𝑟𝑠 𝑒𝑛 1188. 𝐴̀ 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑢𝑡 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑎̀ 𝐺𝑖𝑠𝑜𝑟𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 (𝑝𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛) 𝑑𝑒 𝑙𝑎 3𝑒̀𝑚𝑒 𝐶𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒. 𝑃𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑜𝑐𝑐𝑎𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑜𝑛𝑡 : 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼 𝐴𝑢𝑔𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑙'𝐴𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝐺𝑢𝑖𝑙𝑙𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑦𝑟, 𝐻𝑒𝑛𝑟𝑖 𝐼𝐼 𝑃𝑙𝑎𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒𝑛𝑒̂𝑡 𝑅𝑜𝑖 𝑑'𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑙𝑒 𝐷𝑢𝑐 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑟𝑚𝑎𝑛𝑑𝑖𝑒, 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐹𝑙𝑎𝑛𝑑𝑟𝑒𝑠, 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐶ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒. 𝑄𝑢𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒𝑠 ? 𝑃𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑢 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝐺𝑖𝑠𝑜𝑟𝑠 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒́𝑒 "𝐿𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́". 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑋𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑑'𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐶𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒́𝑑𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑢 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙 𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑎̂𝑔𝑒́ 𝑑'𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 800 𝑎𝑛𝑠. 𝐶𝑒𝑡 𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑛𝑐 𝑛𝑒́𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑡𝑎𝑖𝑡 9 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒. 𝐸𝑛 1188, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑠'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼 𝐴𝑢𝑔𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝐻𝑒𝑛𝑟𝑦 𝐼𝐼 𝑑'𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑛𝑒́𝑔𝑜𝑐𝑖𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑢𝑛 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑜𝑚𝑏, 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒𝑠, 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎 𝑒𝑛 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑑𝑎𝑡𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑠𝑢𝑟𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑠'𝑒́𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑓𝑢𝑔𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑎𝑑𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑖𝑠𝑜𝑟𝑠. 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼, 𝑓𝑜𝑢 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎 𝑎̀ 𝑃𝑎𝑟𝑖𝑠. 𝑈𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑛𝑒𝑐𝑑𝑜𝑡𝑒 𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒 : 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝐻𝑒𝑛𝑟𝑦 𝐼𝐼 𝑑'𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑠𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑 𝑒𝑛 1188 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑠𝑢𝑗𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒́ 𝑜𝑏𝑠𝑐𝑢𝑟 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖, 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑠𝑒́ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒. 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑑𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑢ℎ𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑒𝑟 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒, 𝑒𝑡 𝐻𝑒𝑛𝑟𝑦 𝐼𝐼 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑔𝑒́ 𝑙'𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑛𝑐 𝑑𝑒 𝑙𝑎𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑒𝑟 (𝑑'𝑜𝑢̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 𝑑'𝑜𝑟𝑚𝑒𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑓𝑒𝑟𝑟𝑒́). 𝑈𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑠'𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑣𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑛𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 5 𝑒𝑠𝑐𝑎𝑑𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑑𝑎𝑡𝑠 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑖𝑟𝑖𝑔𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑅𝑖𝑐ℎ𝑎𝑟𝑑 𝐶œ𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝐿𝑖𝑜𝑛, 𝑓𝑖𝑙𝑠 ℎ𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑑'𝐻𝑒𝑛𝑟𝑦 𝐼𝐼. 𝑅𝑖𝑐ℎ𝑎𝑟𝑑 𝐶œ𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝐿𝑖𝑜𝑛 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒́𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑢𝑡 𝑒𝑚𝑝𝑒̂𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠, 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑟 𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑒́. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑽𝒆𝒙𝒊𝒏 𝑵𝒐𝒓𝒎𝒂𝒏𝒅 𝑻𝒐𝒖𝒓𝒊𝒔𝒎𝒆 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑶𝒖𝒆𝒔𝒕-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔) ; 𝑹𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔-𝒍𝒆-𝑪𝒉𝒂̂𝒕𝒆𝒂𝒖 𝑨𝒓𝒄𝒉𝒊𝒗𝒆𝒔 (𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒆𝒏 𝒍𝒊𝒆𝒏) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆 𝑆𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒(𝑠) : 𝑃𝑎𝑡𝑟𝑖𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒 & 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 (𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑏𝑙𝑜𝑔) ; 𝑊𝑖𝑘𝑖𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑎 ; 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝐼𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒"

@histoireitinerante

"150 ans de travaux, consacrée en 1621. Mélange de Gothique et de classique avec la première façade classique de Paris. touchée par la Grosse Bertha en 1918 qui fait 92 morts. Assez sombre mais les restaurations dévoilent de magnifiques chapelles XIXe, des vitraux anciens et contemporains et une foison d'œuvres d'art dont un Christ en souffrance scandaleux et une adoration des Mages acclamée."

@hugo.ripolles

"Église charmante, à tester en messe"

@tristan.kania

"https://lateteenlair.net/ou-trouver-les-traces-de-la-premiere-guerre-mondiale-a-paris/"

@latete_enlair

"6eme siècle pour Gervais et protais martyr sous Néron. Fils de louis 6 mort chute de cheval donc interdit cochons dans les rues "

@octave_ps

"Derrière pleins de restos et petites rues"

@juliette.deproux

"http://patrimoine-histoire.fr/Patrimoine/Paris/Paris-Saint-Gervais-Saint-Protais.htm"

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"http://patrimoine-histoire.fr/Patrimoine/Paris/Paris-Saint-Gervais-Saint-Protais.htm"

@chrismeli

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