Vallée de Mai, Parc UNESCO à Praslin Seychelles
Fondée en 1966, la Vallée de Mai, située dans la Vallée de Mai, Praslin, Seychelles, est un site emblématique inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO. Ce parc naturel, classé parmi les plus belles réserves de la région, a été créé pour préserver une forêt tropicale unique, abritant des espèces endémiques telles que le célèbre coco de mer, ou coco fesses. La visite de ce parc est une immersion dans la nature sauvage, où l'on peut découvrir une biodiversité riche, notamment des oiseaux rares et des plantes endémiques, lors de circuits guidés ou en autonomie. La Vallée de Mai est réputée pour ses paysages luxuriants, ses sentiers balisés et ses points de vue spectaculaires, offrant une expérience authentique au cœur de la nature seychelloise. La tranquillité et la beauté du lieu en font un lieu de prédilection pour les amoureux de la nature et les passionnés de randonnée.
Le parc se distingue par son ambiance paisible, ses sentiers ombragés et son décor luxuriant, où la végétation dense et les arbres centenaires créent une atmosphère presque magique. La présence de cocotiers de mer, rares et protégés, ajoute à la singularité du site. La Vallée de Mai, avec ses paysages préservés, invite à la découverte et à la contemplation, dans un cadre naturel exceptionnel. Que ce soit pour une visite en famille, une balade en amoureux ou une exploration en solo, ce parc offre un véritable voyage au cœur de la nature, dans un environnement préservé et chargé d’histoire.
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Patrimoine Mondial de l'UNESCO
@unescoworldheritage
"In the heart of the small island of Praslin, the reserve has the vestiges of a natural palm forest preserved in almost its original state. The famous coco de mer, from a palm-tree once believed to grow in the depths of the sea, is the largest seed in the plant kingdom. 📸 © SIF"
Marion Bertorello
@marion.bertorello
Constance Lémuria Seychelles
Lémuria, Anse Kerlan, Seychelles
Ajouté par217 utilisateurs
"8:30-4:30 Chemins familles et prendre un guide pour un tour possible "
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"Recommandé par Marco & TchinTchin"
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"Quel lieu incroyable et apaisant. Le paradis des coco fesses. À voir absolument pour une balade au cœur de la végétation tropicale ."
@tchintchin
"Partez à la découverte d’une forêt inscrite au Patrimoine Mondial de l’UNESCO ! Cette jolie forêt tropicale est à visiter afin d’observer les « Cocos de fesses« , ou « Cocos de Mer« , les plus grandes noix au monde et spécialité des Seychelles. Composé essentiellement de palmiers qu'on ne trouve que sur cette île, le parc se visite seul ou en groupe avec guide. 3 circuits sont proposés entre 1h à 2h de marche pour admirer cette immense forêt tropicale. Vous y croiserez de nombreuses espèces d'oiseaux et pourrez observer de près le fameux coco fesses, graine du coco de mer. Ce parc est d'ailleurs la plus grande plantation au monde de ce type de palmiers. Nous n’avions malheureusement pas pu y aller, par manque de temps (et de beau temps…). Mais foncez ! L’entrée est tout de même à 450 roupies par personne, soit environ 29€. Le guide est à 1000 roupies pour un groupe (200 roupies pour 5 adultes)"
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"Coup de cœur pour Albert, le guide de la réserve naturelle! Cependant assez déçue du prix de cette réserve, on paye l’entrée 30€ par personne puis on nous demande seulement à la fin de payer le guide…20€…"
@dieteticook
"visite guidée il faut arriver le matin pour avoir un guide à payer en plus de l’entrée de 20€ par personne on attend que des groupes se forment et on fait la visite. C’est très intéressant pour voir les coco de mer "
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"30€ + 10€ guide, à faire avec guide !!! Rando Glacis Noir (payant) un peu avant de 2h avec arrivée au point culminant de l’île et point de vue "
@bere.mausen
"Blondie baby: il s’agit d’une des forêts de palmiers les plus vieilles - inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO - au monde et notamment l’un des rares lieux au monde où pousse les cocos de mer (ou coco fesses), ces noix de coco en forme de fesses qui poussent pendant 25 à 40 ans et peser plus de 20kg (il est interdit d’en manger car elles sont protégées en tant que patrimoine des Seychelles) – l’entrée de la Vallée se fait sur la route pour environ 40 euros pour 2 (accessible en voiture ou bus) Lonely: on a l’impression de rentrer dans une cathédrale végétale où la lumière peine à pénétrer. 3 sentiers bien balisés, faible dénivelé. N’oubliez pas l’anti moustique "
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"Inscribed by Unesco on its World Heritage List, and home to endangered birdlife and the rare and singularly beautiful coco de mer palms and a host of other endemic plants, Vallée de Mai is all about immersion in the lush tropical forest, being serenaded by birdsong and losing yourself along quiet hiking trails that meander agreeably through this verdant mini wilderness"
@nchavotier
"Réserve naturelle de 20 hectares classée au patrimoine mondial de l'Unesco. Belle faune et flore dont cocotiers de mer (coco fesses) et le Vaza, le perroquet noir des Seychelles. Payant. Randonnée jusqu'au Glacis Noir recommandée pour sa vue. Possibilité de le faire seul ou avec un guide pour emprunter les chemins non balisés et apprendre pas mal de choses sur la faune et la flore de l'île. "
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"1 heure, 1 heure et demie de balade à pieds"
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"Brevi e facili camminate attraverso una favolosa e antica foresta di palme. Patrimonio dell’Umanità, vivono volatili rari e crescono le palme coco de mer, presenti solo alle Seychelles,"
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"In the heart of the small island of Praslin, the reserve has the vestiges of a natural palm forest preserved in almost its original state. The famous coco de mer, from a palm-tree once believed to grow in the depths of the sea, is the largest seed in the plant kingdom. 📸 © SIF"
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"" C'est un arbre unique. C'est le prince des palmiers. Je pense que c'est l'arbre de la science du Bien et du Mal ", affirmait en 1881 le général britannique Charles Gordon, qui connaîtra une fin tragique à Khartoum. Fervent chrétien, mi-poète et mi-philosophe, celui qu'on appela aussi Gordon Pacha fut tellement subjugué par la Vallée de Mai qu'il pensa avoir localisé le mythique jardin d'Eden, le paradis originel. Dans un essai qu'il lui consacra, il précisait que le cocotier de mer était l'arbre de la Connaissance et l'artocarpe (arbre à pain), l'arbre de Vie. Paradis originel ? Au moins paradis tropical... En tout cas, ce fameux cocofesse constitue l'une des plus étonnantes curiosités du monde végétal. Il a même suscité de nombreuses convoitises et plusieurs légendes. Que serait d'ailleurs devenue cette Vallée de Mai sans cette noix bilobée de réputation planétaire ? La voilà en tout cas classée, depuis 1983, dans la liste des sites du Patrimoine mondial de l'Unesco - une consécration pour cette cathédrale de verdure qui, jusqu'en 1930, avait eu le rare privilège d'être peu affectée par l'homme. Son nouveau propriétaire décida alors de transformer cette forêt quasi primitive en jardin botanique, en y introduisant des arbres ornementaux et des plantes importées. Heureusement, vingt ans plus tard, la précieuse vallée allait de nouveau changer de main, l'Etat se l'étant appropriée dans le cadre du principal bassin de captation d'eau de l'île. Devenue Réserve naturelle en 1966, elle devint dès lors une priorité. Pour lui redonner son aspect d'origine, il allait falloir éradiquer les plantes exotiques, déjà envahissantes, revégétaliser les crêtes de sommets victimes du feu (les rangées de calices du pape, bois peu combustible, servant de pare-feu) et entretenir la forêt de cocos de mer. C'était un objectif de longue haleine, d'autant plus justifié qu'un incendie, en 1990, avait ravagé 40 hectares de la palmeraie de Fond Ferdinand, à la pointe sud de l'île, anéantissant ainsi la dernière forêt relique de Praslin. Trois décennies n'ont pas suffi pour que la Vallée de Mai retrouve sa quasi-virginité d'avant 1930, mais la reconquête est en bonne voie, d'autant plus que la Fondation des îles Seychelles, créée en 1979 pour gérer et protéger la faune et la flore d'Aldabra (autre site du Patrimoine mondial), assure depuis 1989 une gestion attentive de cette vallée préservée, néanmoins menacée par l'appétit du philodendron, cette plante grimpante parasite (qui suce la sève de l'arbre) ayant en effet résisté aux tentatives d'éradication. Quelque cinquante mille touristes se laissent chaque année happer par cette voûte de feuillages et cet enchevêtrement de racines, lianes, mousses, feuilles mortes et rochers. On n'y entend que le murmure des ruisseaux (la vallée comptant sept sources) et le sifflement des perroquets noirs, qui reviennent nicher là après s'être baladés à plusieurs lieues à la ronde. Il ne faut surtout pas manquer le ravin du sentier circulaire, ce bosquet comprenant cinq des six palmiers endémiques des Seychelles et trois des quatre espèces de vacoas propres aux îles granitiques. A cet endroit, on peut imaginer comment devait être le monde tropical, il y a des millions d'années, lorsque les palmiers prédominaient et que les arbres à fleurs, les oiseaux et les mammifères n'existaient pas. On est en effet là dans une forêt de fougères et de palmes à la Jurassic Park . Quelque sept mille cocotiers (dont 56 % de mâles) ont été recensés dans cette vallée, 80 % étant encore trop jeunes pour produire, le tronc n'apparaissant qu'à leur quinzième année. Devenant adulte à quarante ans, l'arbre peut vivre plus de quatre cents ans ; le plus âgé, d'une trentaine de mètres a actuellement environ trois cents ans. Ce Casanova de la Vallée de Mai reste d'ailleurs vaillant à en juger par son appendice phallique. De combien de cocos de mer a-t-il été le géniteur ? De la fécondation de l'arbre femelle à la chute de la grosse noix bilobée (de 14 kg à 23 kg lorsqu'elle est pleine), il faut en tout cas sept ans, alors qu'une noix de coco normale tombe à six mois. On estime à trois mille le nombre de ces noix extraordinaires annuellement ramassées (seules l'étant les plus callipyges), tant dans la vallée qu'à Fond Ferdinand, quelques propriétaires en produisant aussi avec leurs cocotiers privés. Lesquels heureux producteurs n'en sont pas moins contraints de céder leurs cocos au ministère de l'Environnement, qui leur achète à prix bas et les revend plus cher, le producteur ne pouvant récupérer qu'une moitié seulement de sa production. Avant leur mise en vente, les précieuses noix auront bien sûr été vidées de leur chair avant d'être recollées et éventuellement polies. Les deux hémisphères de ce sacré coco prendront alors place sur les rayons des boutiques de souvenirs, habilitées à ne commercialiser chaque mois que deux de ces merveilles nationalisées, dûment numérotées, leur prix variant selon leur perfection. Si les palmiers règnent en maîtres dans cette sylve d'exception (ce sanctuaire de huit espèces - dont six endémiques - représentant la plus vaste concentration au monde de palmes diversifiées dans un milieu originel), d'autres arbres y prospèrent également dans une atmosphère quasi mystique. Les passionnés de botanique seront ravis. Ils pourront observer le manguier, le jacquier, le capucin, le calice du pape, l'arbre du voyageur, l'arbre à pain, l'albizzia, le filao, le bois dur, le bois rouge et le cacaoyer. Mais l'essentiel n'est-il pas de voir, sentir, écouter et de se laisser envelopper par la végétation protectrice de cette fascinante ex-île de Palmes la bien nommée ! On ressort un peu transporté de ces sentiers qu'il est préférable de découvrir tôt le matin, avant que les groupes d'excursionnistes ne viennent en troubler la sérénité et que certains couples en lune de miel ne gravent leurs prénoms sur le tronc des arbres, ces graffitis en affaiblissant certains. Un coffee-snack et une boutique sont aménagés dans la maisonnette où sont délivrés les billets, mais on n'y trouve pas de crème anti-moustiques. Il arrive pourtant qu'on en ait besoin. L'enfer n'est jamais très loin du paradis... Circuits. Trois circuits fléchés empruntent les sentiers, remarquablement entretenus, de cette forêt si parfaite qu'on la croirait reconstituée pour un nouveau Indiana Jones, et dont la partie classée couvre 19,5 ha. Du plus court (environ 1 km) au plus long (environ 2 km), chacun de ces itinéraires se révèle de toute façon enchanteur. A l'entrée, on vous indiquera que les itinéraires se font respectivement en 1 heure, 1 heure 30 et 2 heures. En réalité, ces randonnées s'effectuent beaucoup plus vite et ne présentent aucune difficulté majeure. Guides. A l'entrée de la Vallée de Mai, on vous proposera les services d'un guide. Est-ce une bonne idée de s'offrir ses services ? Oui, si vous êtes en solo. Cela vous permettra de profiter de la quiétude de l'endroit tout en ayant toutes les informations sur ce petit bout de paradis terrestre. Non, si cela signifie que vous allez vous retrouver avec un groupe de 15 à 20 personnes (ce qui est souvent le cas). Vous aurez certes des informations, mais, d'une part, il n'est pas certain que vous entendiez tout, vu que vous ne serez pas seul et, surtout, vous ne profiterez pas du charme principal de l'endroit, à savoir, son caractère calme et sauvage. A la Vallée de Mai, une bonne partie du plaisir réside en effet dans le fait de se retrouver seul au milieu de la nature, avec pour seul bruit celui des feuilles bruissant au gré du vent. Se promener avec un groupe ruine franchement l'expérience. Donc, si vous n'avez pas les moyens de vous offrir un guide pour vous seul(e) et votre conjoint, visitez le parc par vous-même. Les panneaux explicatifs sont nombreux, vous ne serez pas perdus ! Prix moyen d'un guide : de 100 à 120 SR par personne (à négocier pour les visites à 2 ou 3 personnes). Depuis 2016, deux tours gratuits sont proposés chaque jour (départ à 9h et à 14h)."
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"Janvier 2000 avec Frédéric "
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