Basilique souterraine de la porte Majeure
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"𝑪𝒆 𝒎𝒐𝒏𝒖𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒓𝒆𝒎𝒂𝒓𝒒𝒖𝒂𝒃𝒍𝒆, 𝒂𝒎𝒆́𝒏𝒂𝒈𝒆́ 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒆 𝒂̀ 𝒒𝒖𝒆𝒍𝒒𝒖𝒆𝒔 𝒑𝒂𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑷𝒐𝒓𝒕𝒆 𝑴𝒂𝒋𝒆𝒖𝒓𝒆, 𝒂 𝒆́𝒕𝒆́ 𝒅𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒕 𝒑𝒂𝒓 𝒉𝒂𝒔𝒂𝒓𝒅 𝒆𝒏 1917 𝒍𝒐𝒓𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅'𝒖𝒏𝒆 𝒗𝒐𝒊𝒆 𝒇𝒆𝒓𝒓𝒆́𝒆. 𝑺𝒊 𝒔𝒂 𝒏𝒂𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒎𝒆𝒖𝒓𝒆 𝒆𝒏𝒄𝒐𝒓𝒆 𝒔𝒖𝒋𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒂̀ 𝒅𝒆́𝒃𝒂𝒕 (𝒄𝒆𝒓𝒕𝒂𝒊𝒏𝒔 𝒚 𝒗𝒐𝒚𝒂𝒏𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒔𝒊𝒎𝒑𝒍𝒆 𝒃𝒂𝒔𝒊𝒍𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒇𝒖𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒐𝒖 𝒃𝒊𝒆𝒏 𝒍'𝒖𝒏 𝒅𝒆 𝒄𝒆𝒔 𝒏𝒚𝒎𝒑𝒉𝒆́𝒆𝒔 𝒅𝒐𝒏𝒕 𝒍𝒂 𝒇𝒓𝒂𝒊̂𝒄𝒉𝒆𝒖𝒓 𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒂𝒑𝒑𝒓𝒆́𝒄𝒊𝒆́𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝑹𝒐𝒎𝒂𝒊𝒏𝒔 𝒆𝒏 𝒆́𝒕𝒆́), 𝒍'𝒉𝒚𝒑𝒐𝒕𝒉𝒆̀𝒔𝒆 𝒂𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒅'𝒉𝒖𝒊 𝒍𝒂 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒄𝒐𝒖𝒓𝒂𝒎𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒂𝒅𝒎𝒊𝒔𝒆 𝒚 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒍'𝒖𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒓𝒂𝒓𝒆𝒔 𝒍𝒊𝒆𝒖𝒙 𝒅𝒆 𝒄𝒖𝒍𝒕𝒆 𝒏𝒆́𝒐𝒑𝒚𝒕𝒉𝒂𝒈𝒐𝒓𝒊𝒄𝒊𝒆𝒏 𝒒𝒖𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒚𝒐𝒏𝒔 𝒆𝒖 𝒍'𝒐𝒄𝒄𝒂𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒕𝒓𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒐𝒅𝒆 𝒂𝒏𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆, 𝒇𝒂𝒊𝒔𝒂𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒃𝒂𝒔𝒊𝒍𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒏𝒖𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒖𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒆́𝒎𝒐𝒊𝒈𝒏𝒂𝒏𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒂𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒄𝒖𝒍𝒕𝒆 𝒏𝒆́𝒐𝒑𝒚𝒕𝒉𝒂𝒈𝒐𝒓𝒊𝒄𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒍'𝑬𝒎𝒑𝒊𝒓𝒆 𝒓𝒐𝒎𝒂𝒊𝒏. 𝐔𝐧 𝐩𝐞𝐮 𝐝'𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐏𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐌𝐚𝐣𝐞𝐮𝐫 (𝐏𝐨𝐫𝐭𝐚 𝐌𝐚𝐠𝐠𝐢𝐨𝐫𝐞) La Porta Maggiore (Porte Majeure en français), probablement appelée ainsi car on la traversait pour rejoindre la basilique Sainte-Marie Majeure, dite aussi Porta Prenestina, fut construite sous l’empereur Claude en l’an 52 de notre ère pour permettre à l’aqueduc Claudio de traverser les routes des via Prenestina (menant à Preneste) et des via Labicana (menant à Labicum, aujourd’hui la Via Casilina). Ainsi, c’était à l’origine davantage une arche qu’une porte. Quand elle fut inaugurée, elle était désignée ad Spem Veterem (de l’ancienne espérance) en raison de la présence voisine d’un très ancien temple dédié à la déesse Spes (déesse de l’Espérance), consacré en 477 av. J.-C. Cette zone importante voyait aussi converger huit des onze aqueducs qui alimentaient Rome. A proximité, beaucoup d’autres vestiges antiques furent retrouvés, comme des tombes, et surtout une belle basilique souterraine. Plus tard, vers 271, elle est véritablement devenue une porte quand elle fut incorporée au Mur d’Aurélien. Elle fut fortifiée davantage à l’époque d’Honorius, renforcée par un rideau de pierre et flanquée d’un fort et de tours carrées. Une inscription de l’an 402 remonte à cette époque. En 1838, la Pape Grégoire XVI la fit restaurer et au cours des démolitions des édifices qui s’y étaient agrégés, est apparue la sépulture de l’époque républicaine du boulanger Eurisace et de sa femme Atinia. Depuis, le reste des fortifications d’Honorius a progressivement été supprimé. La basilique qui se trouve à près de 9 mètres sous la rue est formée de trois zones : le dromos qui était l’accès depuis la Via Praenestina, long couloir en pente ; le vestibule d’une largeur et d’une hauteur de 3,60 mètres qui précède la salle principale, surmonté d’une voûte en pavillon avec au centre une lucarne ; la salle basilicale de 12 mètres de long et 9 mètres de large, divisée en trois nefs couvertes de voûtes en berceau, avec au bout de la nef centrale une abside semi-circulaire. L’intérieur conserve de riches décorations, avec le sol couvert de mosaïques blanches à bandes noires, des fresques sur les murs et les voûtes, des stucs gravés dans la grande salle avec notamment des figures féminines et beaucoup d’objets comme instruments de musique, chandeliers, des guirlandes fleuries, etc., éléments typiques du début de la période impériale. Des scènes de la mythologie grecque sont représentées, dont Sappho se jetant de la falaise de Leucade, Ganymède kidnappé par un génie ailé et le l’enlèvement d’une des filles de Leucippe. Les murs portent de grandes représentations stylisées de paysages. Autant de décors dont la nature iraient dans le sens d'un lieu de culte néopythagoricien, datant des environs du Ier siècle (règnes d’Auguste ou de Tibère). 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒃𝒍𝒐𝒈 𝑹𝒐𝒎𝒆-𝑹𝒐𝒎𝒂 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

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