Gjirokaster Castle : un monument à voir en Albanie
Situé à Gjirokaster, en Albanie, le Gjirokaster Castle a été construit au 12ème siècle et demeure un symbole historique de la région. La ville, connue pour ses ruelles pavées et son patrimoine riche, a su préserver ce monument exceptionnel, qui attire chaque année de nombreux visiteurs. La visite du château permet d’explorer ses imposantes murailles, ses canons anciens et ses tours offrant une vue panoramique sur la vallée environnante.
Ce site remarquable est une étape incontournable pour les amateurs d’histoire et de patrimoine. Le château de Gjirokaster est également un point fort pour découvrir la culture locale, avec ses expositions et ses espaces dédiés à l’histoire de la région. Sa proximité avec le vieux village et le bazar traditionnel en fait un lieu idéal pour une visite complète, mêlant histoire, architecture et authenticité. La possibilité de se garer gratuitement juste devant l’entrée facilite également la visite.
L’ambiance du lieu est à la fois imposante et chaleureuse, avec un décor qui mêle vestiges anciens et vues imprenables sur la vallée. Le site, chargé d’histoire, offre une immersion dans le passé tout en conservant une atmosphère vivante et authentique, faisant du château un lieu à ne pas manquer lors d’un séjour en Albanie.
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Eline Bonnin
@patateetcornichon
"Village "
ALBANIE
@petitfute
"Érigée sur un éperon rocheux dominant la ville à 336 m d'altitude, cette immense forteresse médiévale (600 m de longueur et 70 m dans sa partie la plus large) fut en majeure partie construite par les despotes de l'Épire à partir du XII e s. Du haut de ses remparts bien préservés, on profite d'un superbe panorama sur la ville entière, la vallée du Drin et le massif du Mali i Gjerë (1 789 m d'altitude). Permettant de contrôler les communications dans la vallée, elle joua pendant des siècles un rôle stratégique important. Le site fut fortifié à partir du V e s. par les Byzantins qui le baptisèrent " Château d'argent " ( Argyrókastro ) , terme à l'origine du nom actuel de la ville. La citadelle fut prise en 1414 par les Ottomans. Ceux-ci renforcent alors les fortifications et y établissent une importante garnison. Conquise en 1811 par Ali Pacha, elle est dotée d'un aqueduc de 10 km de longueur apportant l'eau depuis le pied du mont Sopo. Cet ouvrage d'art fut détruit en 1932, mais on peut en voir les vestiges en prenant la route qui contourne la citadelle par le sud-ouest. À partir des années 1930, l'édifice est transformé en prison sous le règne du roi Zog, puis utilisé comme telle aussi bien par les Italiens, les Allemands que par le régime d'Enver Hoxha jusqu'en 1968. Au XIX e s., on accédait au château par trois portes ; seules celles du nord-est et du sud-ouest sont actuellement en service. Visite Mausolée des babës - À droite de la billetterie. Les voûtes, particulièrement impressionnantes (les traces d'un ancien plancher sont visibles à mi-hauteur), débouchent sur une petite cour abritant depuis les années 1990 le mausolée bektashi des babës (" pères ") Sulltan et Kapllan, deux dignitaires de cet ordre soufi qui vécurent à Gjirokastra respectivement au XVI e et au XVII e s. Grande allée - À gauche de la billetterie. Construit sous le règne d'Ali Pacha, ce passage souterrain servit jusqu'en 1990 de prison politique au régime communiste. La " grande allée " accueille aujourd'hui du matériel militaire de l'armée albanaise utilisé entre 1913 et les années 1970 : une vingtaine de pièces d'artillerie, de mortiers, de canons anti-aériens ainsi qu'un rare exemplaire de char léger italien de modèle Fiat L6/40 capturé en 1944. Musée de l'Armement - Au bout de Grande allée. Cette partie de l'ancienne prison a été transformée en musée en 1971. Celui-ci abrite quantité d'armes légères du XX e s. (fusils, mitrailleuses, revolvers, etc.), mais aussi quelques statues, peintures, uniformes et costumes, et relate, toujours selon la muséographie héritée de la période communiste, le combat des partisans contre les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Du fait de l'épaisseur des murs, et malgré les fenêtres et l'éclairage, on avance ici dans une pénombre inquiétante. Entouré d'armes menaçantes, le visiteur se retrouve plongé dans une atmosphère qui évoque les heures les plus sombres des dictatures de Zog et Hoxha. Rempart nord-ouest - Après le musée. On retrouve la lumière en empruntant un chemin longé par une série d'arcades. Sur l'une des première arcades, remarquez cette plaque portant une citation de l'écrivaine française Guy Chantepleure (pseudonyme de Mme Edgar Dussap, née Jeanne-Caroline Violet,1870-1950), consul de France à Athènes et témoin des Guerres balkaniques (1912-1913). Plus loin, sont présentés les canons de l'armée d'Ali Pacha. Avion américain - Rempart nord-ouest. Sur le rebord du rempart dominant la ville, gît la carcasse d'un chasseur de l'armée de l'air américaine Lockheed T-33 Shooting Star, forcé d'atterrir près de Tirana le 23 décembre 1957 alors qu'il survolait l'espace aérien albanais. En pleine guerre froide, le pilote fut capturé, accusé d'espionnage avant d'être relâché deux semaines plus tard grâce à l'intervention de l'ambassadeur français. C'est ainsi que l'appareil fut exposé dans le musée de l'armement comme un avion-espion. Il s'agissait en fait d'un appareil d'entraînement effectuant une liaison entre les bases américaines de Châteauroux et Naples. Cour de la forteresse - En continuant toujours vers le nord-est, on arrive sur un vaste espace dégagé où se dresse la scène érigée en 2000 où se déroule tous les cinq ans le Festival national folklorique de Gjirokastra. C'est à cet emplacement que fut découvert en 1983-1984 les plus anciennes traces d'habitat de la ville, des tuiles et poteries datant du IV e au II e s. av. J.-C. À droite de la scène, remarquez le petit mausolée bektashi du baba Sanxhaktari, haut dignitaire de la confrérie du XVII e s. Tour horloge - À l'extrémité nord-est de la citadelle. Dominant toute la ville, elle a été édifiée à l'emplacement d'une ancienne église orthodoxe au début du XIX e s., peu après la prise de la ville par Ali Pacha. Elle servait comme les traditionnelles horloges ottomanes à indiquer l'heure des prières. Son mécanisme très élaboré (prenant en compte le décalage progressif de la durée du jour) a cessé de fonctionner durant la Première Guerre mondiale et a depuis disparu. Au pied de la tour, se trouvent des casemates, des entrepôts de munitions et le poste de commandement de l'artillerie dominant la vallée du Drin. Tunnel - Sous la forteresse - accès libre. Il a été creusé selon un axe nord-ouest/sud-est. Il permet de combiner de façon agréable (avec un passage au frais) un tour du château par l'extérieur et une vue sur l'autre versant."
"grande collection de canons possibilité de se garer juste devant l entrée du château gratuitement "
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"château de Gjirokastër Imposant, chargé d’histoire, et avec des vues incroyables sur la vallée. Et pour une fois, j’ai bien fait de suivre une visite guidée !"
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"Tres beau village typique avec son chateau et son Bazar"
@sophie.meder
"Gjirokastra staat bekend als de stad van duizend trappen"
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"Hyper beau lieu, c’est grand ! L’entrée est à 6€ à peu près "
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"Très beau château à visiter absolument !"
@lemaire.delphine
"Érigée sur un éperon rocheux dominant la ville à 336 m d'altitude, cette immense forteresse médiévale (600 m de longueur et 70 m dans sa partie la plus large) fut en majeure partie construite par les despotes de l'Épire à partir du XIIe. Du haut de ses remparts bien préservés, on profite d'un superbe panorama sur la ville entière, la vallée du Drin et le massif du Mali i Gjerë (1 789 m d'altitude). Permettant de contrôler les communications dans la vallée, elle joua pendant des siècles un rôle stratégique important. Le site fut fortifié à partir du Ve par les Byzantins qui le baptisèrent " Château d'argent " (Argyrókastro), terme à l'origine du nom actuel de la ville. La citadelle fut prise en 1414 par les Ottomans. Ceux-ci renforcent alors les fortifications et y établissent une importante garnison. Conquise en 1811 par Ali Pacha, elle est dotée d'un aqueduc de 10 km de longueur apportant l'eau depuis le pied du mont Sopo. Cet ouvrage d'art fut détruit en 1932, mais on peut en voir les vestiges en prenant la route qui contourne la citadelle par le sud-ouest. À partir des années 1930, l'édifice est transformé en prison sous le règne du roi Zog, puis utilisé comme telle aussi bien par les Italiens, les Allemands que par le régime d'Enver Hoxha jusqu'en 1968. Au XIXe, on accédait au château par trois portes ; seules celles du nord-est et du sud-ouest sont actuellement en service. Visite Mausolée des babës - À droite de la billetterie. Les voûtes, particulièrement impressionnantes (les traces d'un ancien plancher sont visibles à mi-hauteur), débouchent sur une petite cour abritant depuis les années 1990 le mausolée bektashi des babës (" pères ") Sulltan et Kapllan, deux dignitaires de cet ordre soufi qui vécurent à Gjirokastra respectivement au XVIe et au XVIIe. Grande allée - À gauche de la billetterie. Construit sous le règne d'Ali Pacha, ce passage souterrain servit jusqu'en 1990 de prison politique au régime communiste. La " grande allée " accueille aujourd'hui du matériel militaire de l'armée albanaise utilisé entre 1913 et les années 1970 : une vingtaine de pièces d'artillerie, de mortiers, de canons anti-aériens ainsi qu'un rare exemplaire de char léger italien de modèle Fiat L6/40 capturé en 1944. Musée de l'Armement - Au bout de Grande allée. Cette partie de l'ancienne prison a été transformée en musée en 1971. Celui-ci abrite quantité d'armes légères du XXe (fusils, mitrailleuses, revolvers, etc.), mais aussi quelques statues, peintures, uniformes et costumes, et relate, toujours selon la muséographie héritée de la période communiste, le combat des partisans contre les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Du fait de l'épaisseur des murs, et malgré les fenêtres et l'éclairage, on avance ici dans une pénombre inquiétante. Entouré d'armes menaçantes, le visiteur se retrouve plongé dans une atmosphère qui évoque les heures les plus sombres des dictatures de Zog et Hoxha. Rempart nord-ouest - Après le musée. On retrouve la lumière en empruntant un chemin longé par une série d'arcades. Sur l'une des première arcades, remarquez cette plaque portant une citation de l'écrivaine française Guy Chantepleure (pseudonyme de Mme Edgar Dussap, née Jeanne-Caroline Violet,1870-1950), consul de France à Athènes et témoin des Guerres balkaniques (1912-1913). Plus loin, sont présentés les canons de l'armée d'Ali Pacha. Avion américain - Rempart nord-ouest. Sur le rebord du rempart dominant la ville, gît la carcasse d'un chasseur de l'armée de l'air américaine Lockheed T-33 Shooting Star, forcé d'atterrir près de Tirana le 23 décembre 1957 alors qu'il survolait l'espace aérien albanais. En pleine guerre froide, le pilote fut capturé, accusé d'espionnage avant d'être relâché deux semaines plus tard grâce à l'intervention de l'ambassadeur français. C'est ainsi que l'appareil fut exposé dans le musée de l'armement comme un avion-espion. Il s'agissait en fait d'un appareil d'entraînement effectuant une liaison entre les bases américaines de Châteauroux et Naples. Cour de la forteresse - En continuant toujours vers le nord-est, on arrive sur un vaste espace dégagé où se dresse la scène érigée en 2000 où se déroule tous les cinq ans le Festival national folklorique de Gjirokastra. C'est à cet emplacement que fut découvert en 1983-1984 les plus anciennes traces d'habitat de la ville, des tuiles et poteries datant du IVe au IIe av. J.-C. À droite de la scène, remarquez le petit mausolée bektashi du baba Sanxhaktari, haut dignitaire de la confrérie du XVIIe. Tour horloge - À l'extrémité nord-est de la citadelle. Dominant toute la ville, elle a été édifiée à l'emplacement d'une ancienne église orthodoxe au début du XIXe, peu après la prise de la ville par Ali Pacha. Elle servait comme les traditionnelles horloges ottomanes à indiquer l'heure des prières. Son mécanisme très élaboré (prenant en compte le décalage progressif de la durée du jour) a cessé de fonctionner durant la Première Guerre mondiale et a depuis disparu. Au pied de la tour, se trouvent des casemates, des entrepôts de munitions et le poste de commandement de l'artillerie dominant la vallée du Drin. Tunnel - Sous la forteresse - accès libre. Il a été creusé selon un axe nord-ouest/sud-est. Il permet de combiner de façon agréable (avec un passage au frais) un tour du château par l'extérieur et une vue sur l'autre versant."
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"Le château est ouvert toute l'année (d'avril à septembre de 9h00 à 19h00, d'octobre à mars de 9h00 à 17h00) et le prix d'entrée est de 200 Lekë. Un petit bar est situé dans les remparts où des rafraîchissements peuvent être achetés. Érigée sur un éperon rocheux dominant Gjirokastra à 336 m d’altitude, cette forteresse (Kalaja e Gjirokastrës) est la plus grande d’Albanie. Elle s’étend sur 600 m de longueur et 70 m dans sa partie la plus large. De ses remparts, on profite d’un superbe panorama sur la vieille ville, la vallée du Drino et le massif de la « large montagne » (Mali i Gjerë, 1 789 m d’altitude). Le site fut fortifié à partir du Ve siècle par les Byzantins. Ces derniers baptisèrent le lieu Argyrokastro (« Château d’argent »), ce qui a donné Gjirokastra en albanais. La citadelle prit sa forme actuelle sous les despotes (princes) byzantins de l’Épire au XIIe siècle, puis fut renforcée par les Ottomans après la prise de la ville en 1414, avant d'être capturée par Ali Pacha de Tepelena en 1811. La visite commence dans l’antre de la citadelle, dans des souterrains qui servirent d’entrepôts, de poudrière, puis de prison entre les années 1930 et 1990. À droite de la billetterie, les impressionnantes voûtes débouchent sur une petite cour abritant le mausolée de deux dignitaires bektashis des XVIe et XVIIe siècles. Citation française et avion américain. À gauche de la billetterie, la « grande allée » fut creusée sous le règne d’Ali Pacha. Elle accueille du matériel militaire de l’armée albanaise utilisé entre 1913 et les années 1970, dont un rare exemplaire de char léger italien de modèle Fiat L6/40 capturé en 1944. Au bout de cette galerie se trouve le musée des Armes. On retrouve la lumière sur le rempart nord-ouest bordé d’arcades. Remarquez cette plaque portant une citation de l’écrivaine française Guy Chantepleure, pseudonyme de Jeanne-Caroline Violet (1870-1950), épouse du consul de France à Athènes Edgar Dussap et témoin des Guerres balkaniques (1912-1913). Plus loin, sont présentés les canons de l’armée d’Ali Pacha et la carcasse d’un chasseur de l’armée de l’air américaine. Ce Lockheed T-33 Shooting Star fut forcé d’atterrir près de Tirana le 23 décembre 1957 et le pilote relâché deux semaines plus tard. On arrive ensuite dans la cour de la forteresse où une scène accueille différents festivals. C’est ici que furent découvertes les plus anciennes traces d’habitat de la ville (IVe-IIe siècles av. J.-C.). À droite de la scène, se trouve un petit mausolée bektashi du XVIIe siècle. À l’extrémité, la tour de l’horloge domine toute la ville. Elle a été édifiée au début du XIXe siècle à l'emplacement d'une église orthodoxe. Au pied de la tour, se trouvent des casemates et un ancien poste d’artillerie dominant la vallée du Drino. A voir au château : Bektashi Turbe (tombeau) Situé à droite, à environ 50 m à l'intérieur de la porte principale, vous verrez un petit bâtiment niché dans les murs du château au milieu d'un joli jardin. Il contient les restes de deux Bektashi Babas. Galerie d'artillerie En tournant à gauche de l'entrée principale, vous entrerez dans une longue galerie bordée de pièces d'artillerie. Toutes ces pièces ont été abandonnées ou capturées par les forces d'occupation italiennes et allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans cette galerie se trouve également un petit char italien construit par Fiat. Musée national de l'armement Ouvert en 1971, le Musée national de l'armement est situé dans ce qui était autrefois une partie de la prison. Les expositions actuelles couvrent les armes albanaises depuis l'indépendance en 1912 jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et la majeure partie du musée est consacrée à la lutte des partisans contre les forces d'occupation italiennes et allemandes de 1939 à 1944. Pour plus d'informations et un dépliant gratuit, rendez-vous au Centre d'information touristique. La prison L'entrée de la prison se fait par la première galerie du Musée national de l'Armement. Achevée en 1932, la prison fut utilisée par le régime du roi Zog puis par les forces d'occupation italiennes et allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale, et enfin par le régime communiste jusqu'en 1968. La seule partie de la prison accessible aux visiteurs a été aménagée en musée par le régime communiste dans les années 1970. On peut également accéder au toit de la prison en empruntant la rampe située à droite de la porte principale. L'avion américain Les restes d'un T33 Shooting Star de l'armée de l'air américaine sont exposés sur les remparts qui surplombent la ville. L'avion a dû atterrir à l'aéroport de Rinas, près de Tirana, en décembre 1957, en raison de problèmes techniques. Vue de la scène du festival lors du dernier festival national de folklore Scène du Festival La scène a été érigée dans les années 1980 et accueille depuis quelques années le Festival national folklorique albanais, qui a lieu tous les quatre ans (la dernière fois en 2004). Au cours de l'année, la scène est utilisée par la municipalité les jours fériés pour présenter des spectacles de musique et de danse."
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"Point de vue et musées historiques "
@clothidsm
"400 lek / 4€ par personne "
@clairelyse
"Known as the city of stone, Gjirokastra is a UNESCO city in the south of Albania. It was the birthplace of the former communist dictator, Enver Hoxha. One of the best things to do here, apart from walking the bazaar and visiting the castle of Gjirokastra, is to wander around Zekate House. This traditional family home was built between 1811-1812 and is a beautiful example of some of the most fascinating Albanian home and marriage traditions. When you visit, one of the family members will show you around and explain the different rooms and their purposes. If you love wine and want a foodie experience, then you need to take a trip to Te Fucite (The Barrels). This family restaurant and winery specializing in smooth handmade wine offers platters of local cuisine for you to try while overlooking their vineyard and the surrounding mountains. Planning tip: Try the dish called pasha qofte, which is essentially a cream soup made from milk with small meatballs inside. It’s a delicious dish you can only find in Gjirokastër."
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"cité classée au patrimoine mondial de l'UNESCO"
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"Después de dejar el coche en algún parking situado cerca del centro histórico, en la parte más alta de la ciudad, una de las mejores cosas que hacer en Gjirokastra es visitar su impresionante castillo. Situada en la cima de una colina y visible desde todos los puntos del casco antiguo, esta fortaleza, que tiene sus orígenes en el siglo III d.C. fue una prisión para políticos durante el régimen comunista y es el segundo castillo más grande de los Balcanes, además de uno de los mejor conservados. Durante el recorrido por su interior, que suele durar una o dos horas, tendrás unas increíbles vistas del Valle del Drina, las Montañas Lunxhëeria y la ciudad de Gjirokastra desde sus imponentes murallas levantadas entre los siglos XIII y XIV "
@felimarina07
"Cité ottomane préservée classée UNESCO."
@marinedrean
"Château de argent, citadelle de pierres "
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"Oltre al castello obbligatoria la tappa al tunnel della guerra fredda e Skenduli House! "
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"Czynne codziennie 9-19. Ok 10 zł. Zamek jest ulokowany na wysokim skalistym wzniesieniu, dominującym nad południową, starą częścią miasta. Pierwsze fortyfikacje w tym miejscu wzniesiono w tym miejscu w XII wieku. Współcześnie zamek jest otwarty dla zwiedzających. W jego murach znajduje się muzeum militariów z okresu II wojny światowej oraz amerykański samolot zwiadowczy Lockheed T-33, który w 1957 lądował awaryjnie na terytorium Albanii. Na dziedzińcu zamku corocznie odbywa się festiwal folklorystyczny."
@asiawarowna97
"Stadt mit einer berühmten Burg und Bunkern. Es gibt vom Tourismusverband vor Ort eine Bunker Tour um 2€"
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"Ouvert de 9h à 19h Entrée 400 Lek A faire - très beau monument "
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"hold ww2 weapons at firearms museum"
@kogutbartosz1
"Ville mignonne + eaux chaudes thermales bernet benje pas très loin d’ici"
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"A voir ville unesco Le ville de Pierre Aller au sommet vers la citadelle pour le point de vue "
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"Bazar, ruelles pavées, forteresse / citadelle, terrasses "
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"Érigée sur un éperon rocheux dominant la ville à 336 m d'altitude, cette immense forteresse médiévale (600 m de longueur et 70 m dans sa partie la plus large) fut en majeure partie construite par les despotes de l'Épire à partir du XII e s. Du haut de ses remparts bien préservés, on profite d'un superbe panorama sur la ville entière, la vallée du Drin et le massif du Mali i Gjerë (1 789 m d'altitude). Permettant de contrôler les communications dans la vallée, elle joua pendant des siècles un rôle stratégique important. Le site fut fortifié à partir du V e s. par les Byzantins qui le baptisèrent " Château d'argent " ( Argyrókastro ) , terme à l'origine du nom actuel de la ville. La citadelle fut prise en 1414 par les Ottomans. Ceux-ci renforcent alors les fortifications et y établissent une importante garnison. Conquise en 1811 par Ali Pacha, elle est dotée d'un aqueduc de 10 km de longueur apportant l'eau depuis le pied du mont Sopo. Cet ouvrage d'art fut détruit en 1932, mais on peut en voir les vestiges en prenant la route qui contourne la citadelle par le sud-ouest. À partir des années 1930, l'édifice est transformé en prison sous le règne du roi Zog, puis utilisé comme telle aussi bien par les Italiens, les Allemands que par le régime d'Enver Hoxha jusqu'en 1968. Au XIX e s., on accédait au château par trois portes ; seules celles du nord-est et du sud-ouest sont actuellement en service. Visite Mausolée des babës - À droite de la billetterie. Les voûtes, particulièrement impressionnantes (les traces d'un ancien plancher sont visibles à mi-hauteur), débouchent sur une petite cour abritant depuis les années 1990 le mausolée bektashi des babës (" pères ") Sulltan et Kapllan, deux dignitaires de cet ordre soufi qui vécurent à Gjirokastra respectivement au XVI e et au XVII e s. Grande allée - À gauche de la billetterie. Construit sous le règne d'Ali Pacha, ce passage souterrain servit jusqu'en 1990 de prison politique au régime communiste. La " grande allée " accueille aujourd'hui du matériel militaire de l'armée albanaise utilisé entre 1913 et les années 1970 : une vingtaine de pièces d'artillerie, de mortiers, de canons anti-aériens ainsi qu'un rare exemplaire de char léger italien de modèle Fiat L6/40 capturé en 1944. Musée de l'Armement - Au bout de Grande allée. Cette partie de l'ancienne prison a été transformée en musée en 1971. Celui-ci abrite quantité d'armes légères du XX e s. (fusils, mitrailleuses, revolvers, etc.), mais aussi quelques statues, peintures, uniformes et costumes, et relate, toujours selon la muséographie héritée de la période communiste, le combat des partisans contre les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Du fait de l'épaisseur des murs, et malgré les fenêtres et l'éclairage, on avance ici dans une pénombre inquiétante. Entouré d'armes menaçantes, le visiteur se retrouve plongé dans une atmosphère qui évoque les heures les plus sombres des dictatures de Zog et Hoxha. Rempart nord-ouest - Après le musée. On retrouve la lumière en empruntant un chemin longé par une série d'arcades. Sur l'une des première arcades, remarquez cette plaque portant une citation de l'écrivaine française Guy Chantepleure (pseudonyme de Mme Edgar Dussap, née Jeanne-Caroline Violet,1870-1950), consul de France à Athènes et témoin des Guerres balkaniques (1912-1913). Plus loin, sont présentés les canons de l'armée d'Ali Pacha. Avion américain - Rempart nord-ouest. Sur le rebord du rempart dominant la ville, gît la carcasse d'un chasseur de l'armée de l'air américaine Lockheed T-33 Shooting Star, forcé d'atterrir près de Tirana le 23 décembre 1957 alors qu'il survolait l'espace aérien albanais. En pleine guerre froide, le pilote fut capturé, accusé d'espionnage avant d'être relâché deux semaines plus tard grâce à l'intervention de l'ambassadeur français. C'est ainsi que l'appareil fut exposé dans le musée de l'armement comme un avion-espion. Il s'agissait en fait d'un appareil d'entraînement effectuant une liaison entre les bases américaines de Châteauroux et Naples. Cour de la forteresse - En continuant toujours vers le nord-est, on arrive sur un vaste espace dégagé où se dresse la scène érigée en 2000 où se déroule tous les cinq ans le Festival national folklorique de Gjirokastra. C'est à cet emplacement que fut découvert en 1983-1984 les plus anciennes traces d'habitat de la ville, des tuiles et poteries datant du IV e au II e s. av. J.-C. À droite de la scène, remarquez le petit mausolée bektashi du baba Sanxhaktari, haut dignitaire de la confrérie du XVII e s. Tour horloge - À l'extrémité nord-est de la citadelle. Dominant toute la ville, elle a été édifiée à l'emplacement d'une ancienne église orthodoxe au début du XIX e s., peu après la prise de la ville par Ali Pacha. Elle servait comme les traditionnelles horloges ottomanes à indiquer l'heure des prières. Son mécanisme très élaboré (prenant en compte le décalage progressif de la durée du jour) a cessé de fonctionner durant la Première Guerre mondiale et a depuis disparu. Au pied de la tour, se trouvent des casemates, des entrepôts de munitions et le poste de commandement de l'artillerie dominant la vallée du Drin. Tunnel - Sous la forteresse - accès libre. Il a été creusé selon un axe nord-ouest/sud-est. Il permet de combiner de façon agréable (avec un passage au frais) un tour du château par l'extérieur et une vue sur l'autre versant."
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"Village classe patrimoine de l’Unesco "
@chanelle.luz
"1€60, accès + vieille ville sympa UNESCO"
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"is a fortress in Gjirokastër, Albania. Gjirokastër Castle is situated at a height of 336 metres.The castle dominates the… "
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