Cro de Grandville Dite Grotte de Rouffignac

"vrais peintures préhistoriques avec accès en petit train"

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"Visite en train électrique Fresque très bien conservées "

@macreo

"grotte préhistorique, visite en petit train, 8,5€ par personne "

@josmont

"grotte, accès de plain pied mais il fait pouvoir se transférer dans le petit train"

@lfontaine4

"Au cœur du Périgord Noir, à quelques kilomètres de la prestigieuse Vallée de la Vézère, la grotte de Rouffignac est une immense caverne, l'une des plus grandes de France, avec plus de 8 kilomètres de galeries ! Elle fut successivement fréquentée par les ours des cavernes et les artistes préhistoriques, et en conserve de spectaculaires témoignages. Ce sont ainsi plus de 250 figurations animales vieilles de 160 siècles qui sont disséminées dans ce labyrinthe souterrain. Avec notamment près de 150 mammouths représentés, la grotte concentre le tiers des représentations du pachyderme à l'échelle des 350 cavités préhistoriques décorés d'Europe ! Le mystère de surcroit que selon les archéologues, bien peu de mammouths ont foulé la terre calcaire du Périgord… 𝐀 𝐑𝐨𝐮𝐟𝐟𝐢𝐠𝐧𝐚𝐜, 𝐝'𝐞𝐱𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐬𝐚𝐠𝐞𝐬 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 En plus de mammouths à foison, on peut également voir à un endroit des parois de la caverne une représentation assez rare aux temps paléolithiques : celle d'une figure humaine. Plus précisément deux dessins maladroits, intitulés malicieusement Adam et Ève, ainsi qu'un visage de Dieu ou d'homme que l'on a surnommé le "Grand Être" : "La cavité est riche de trois visages humains, disposés dans des recoins. Le premier, baptisé « le Grand être» (Fig. 16(13)), est tracé en noir dans une galerie inférieure, malaisée, au fond du puits du Grand plafond. C’est un visage en profil gauche, au front haut et saillant, au crâne au nez épaté, à la bouche entaillant profondément la joue; sa paupière close paraût recouvrir un œil globuleux. Les deux autres, assez caricaturaux, surnommés « Adam et ève» (Fig. 16(14, 15)), sont gravés face à face à l’extrémité de la galerie Henri – Breuil : nez retroussé, bouche ouverte, œil hypertrophié. Enfin, une étonnante « tête barbue» et chevelue, aux yeux en accent circonflexe et aux oreilles (ou cornes) pointues, figurée de face, gravée au tout début de la galerie principale, entre deux mammouths, est classée comme « anthropomorphe ou bison vu de face ». Le relevé de Claude Barrière (Barrière, 1982 : p. 17) peut en effet faire discuter un homme, mais on ne retrouve pas d’arguments convaincants sur le relevé plus récent de J. Plassar." On ne sait évidemment rien des aspirations religieuses des hommes préhistoriques. Cependant, on a pu remarquer dans les représentations artistiques l'idée d'un culte voué à la fécondité. Il s'agit, en effet, d'aider à la multiplication du troupeau, dont dépend l'existence des hommes. Dans ce but, les artistes répètent les mêmes thèmes : taureau flairant la vache, bison mâle suivant la femelle, juments pleines, scènes d'accouplement animal. Mais la fécondité humaine, nécessaire au développement de la tribu, est aussi en jeu, en untemps où la mortalité des jeunes est très élevée. les organes de reporduction masculins et féminins sont souvent représentés sur la pierre, parfois par des signes symboliques ou des dessins stylisés, parfois de façon plus réaliste (en fait, on trouve quantité de signes dont l'on ignore le sens). En ces temps lointaines, la culte de la déesse-mère est certainement à l'honneur. Les nombreuses statuettes féminines qui on été retrouvées présentent toutes le même caractre : seins volumineux, ventre saillant, ballonnement fessier ("Vénus de Grimaldi, de Lespugue, de Sireuil, bas-relief de Laussel, sculpture de Tursac). Cet art du quaternaire atteindra son apogée entre les XVe et Xe millénaires avant notre ère. Vers l'an 10.000, il disparaît, au moment où la brillante civilisation magdalénienne s'éteint brusquement (disparition qui demeure encore un mystère aujourd'hui). 𝐋𝐚 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞 À bord d'un train électrique, la visite permet, sans fatigue, de plonger dans l'univers mystérieux des grottes et de découvrir l'art des chasseurs-cueilleurs de la Préhistoire. Lieu privilégié de diffusion des connaissances, la grotte de Rouffignac accueille régulièrement des expositions scientifiques. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒈𝒓𝒐𝒕𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝑹𝒐𝒖𝒇𝒇𝒊𝒈𝒏𝒂𝒄 ; 𝑶𝒖𝒆𝒔𝒕 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 ; 𝑯𝒐𝒎𝒊𝒏𝒊𝒅𝒆́𝒔 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒊𝒍𝒍𝒖𝒔𝒕𝒓𝒆́𝒆 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@nathcharente

"Au cœur du Périgord Noir, à quelques kilomètres de la prestigieuse Vallée de la Vézère, la grotte de Rouffignac est une immense caverne, l'une des plus grandes de France, avec plus de 8 kilomètres de galeries ! Elle fut successivement fréquentée par les ours des cavernes et les artistes préhistoriques, et en conserve de spectaculaires témoignages. Ce sont ainsi plus de 250 figurations animales vieilles de 160 siècles qui sont disséminées dans ce labyrinthe souterrain. Avec notamment près de 150 mammouths représentés, la grotte concentre le tiers des représentations du pachyderme à l'échelle des 350 cavités préhistoriques décorés d'Europe ! Le mystère de surcroit que selon les archéologues, bien peu de mammouths ont foulé la terre calcaire du Périgord… 𝐀 𝐑𝐨𝐮𝐟𝐟𝐢𝐠𝐧𝐚𝐜, 𝐝'𝐞𝐱𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐬𝐚𝐠𝐞𝐬 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 En plus de mammouths à foison, on peut également voir à un endroit des parois de la caverne une représentation assez rare aux temps paléolithiques : celle d'une figure humaine. Plus précisément deux dessins maladroits, intitulés malicieusement Adam et Ève, ainsi qu'un visage de Dieu ou d'homme que l'on a surnommé le "Grand Être" : "La cavité est riche de trois visages humains, disposés dans des recoins. Le premier, baptisé « le Grand être» (Fig. 16(13)), est tracé en noir dans une galerie inférieure, malaisée, au fond du puits du Grand plafond. C’est un visage en profil gauche, au front haut et saillant, au crâne au nez épaté, à la bouche entaillant profondément la joue; sa paupière close paraût recouvrir un œil globuleux. Les deux autres, assez caricaturaux, surnommés « Adam et ève» (Fig. 16(14, 15)), sont gravés face à face à l’extrémité de la galerie Henri – Breuil : nez retroussé, bouche ouverte, œil hypertrophié. Enfin, une étonnante « tête barbue» et chevelue, aux yeux en accent circonflexe et aux oreilles (ou cornes) pointues, figurée de face, gravée au tout début de la galerie principale, entre deux mammouths, est classée comme « anthropomorphe ou bison vu de face ». Le relevé de Claude Barrière (Barrière, 1982 : p. 17) peut en effet faire discuter un homme, mais on ne retrouve pas d’arguments convaincants sur le relevé plus récent de J. Plassar." On ne sait évidemment rien des aspirations religieuses des hommes préhistoriques. Cependant, on a pu remarquer dans les représentations artistiques l'idée d'un culte voué à la fécondité. Il s'agit, en effet, d'aider à la multiplication du troupeau, dont dépend l'existence des hommes. Dans ce but, les artistes répètent les mêmes thèmes : taureau flairant la vache, bison mâle suivant la femelle, juments pleines, scènes d'accouplement animal. Mais la fécondité humaine, nécessaire au développement de la tribu, est aussi en jeu, en untemps où la mortalité des jeunes est très élevée. les organes de reporduction masculins et féminins sont souvent représentés sur la pierre, parfois par des signes symboliques ou des dessins stylisés, parfois de façon plus réaliste (en fait, on trouve quantité de signes dont l'on ignore le sens). En ces temps lointaines, la culte de la déesse-mère est certainement à l'honneur. Les nombreuses statuettes féminines qui on été retrouvées présentent toutes le même caractre : seins volumineux, ventre saillant, ballonnement fessier ("Vénus de Grimaldi, de Lespugue, de Sireuil, bas-relief de Laussel, sculpture de Tursac). Cet art du quaternaire atteindra son apogée entre les XVe et Xe millénaires avant notre ère. Vers l'an 10.000, il disparaît, au moment où la brillante civilisation magdalénienne s'éteint brusquement (disparition qui demeure encore un mystère aujourd'hui). Selon certaines interprétations, certains motifs particuliers observables sur le plafond de la grotte seraient des représentations du célèbre phénomène des "aurores boréales". Si l'on excepte ce témoignage supposé de l'Âge de Pierre, la preuve la plus ancienne rapportant l'observation de la "lumière nordique" remonterait à 568 avant notre ère : elle serait visible sur la tablette du roi Babylonien Nabuchodonosor II (et ce malgré le fait que ce phénomène n'est théoriquement pas visible depuis la Mésopotamie). On trouve également trace de la description du phénomène dans l'Ancien Testament, au sein du Livre d'Ezéchiel, où le prophète, évoquant une aurore, la décrit comme « une rafale de vent arrivant du nord ». 𝐋𝐚 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞 À bord d'un train électrique, la visite permet, sans fatigue, de plonger dans l'univers mystérieux des grottes et de découvrir l'art des chasseurs-cueilleurs de la Préhistoire. Lieu privilégié de diffusion des connaissances, la grotte de Rouffignac accueille régulièrement des expositions scientifiques. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒈𝒓𝒐𝒕𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝑹𝒐𝒖𝒇𝒇𝒊𝒈𝒏𝒂𝒄 ; 𝑶𝒖𝒆𝒔𝒕 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 ; 𝑯𝒐𝒎𝒊𝒏𝒊𝒅𝒆́𝒔 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒊𝒍𝒍𝒖𝒔𝒕𝒓𝒆́𝒆 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Le petit train est idéal pour les enfants"

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"Belle présentation par un guide professionnel pour une immersion dans le passé"

@nathlgr

"C’était trop bien je conseille vraiment 😍"

@lola.jacob

"UNESCO : « sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère » "

@octave_ps

"Le site abrite plus de 250 gravures ainsi que des dessins au trait datant du Paléolithique supérieur (Magdalénien, plus de 13 000 ans)"

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"+ marche gourmand mercredi soir à vérifier "

@mangoffart

"Un très impressionnant plafond orné de gravures et peintures rupestres. La visite est en train 🚆. Bonne conditions de visite, se placer au devant du deuxième wagon."

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"Accès au ventre de la terre par un petit train électrique qui éclair les parois "

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"La Grotte préhistorique de Rouffignac, en Dordogne, se visite à bord d'un petit train, afin de préserver le site. C'est une très vaste grotte, où vous pourrez admirer des peintures rupestres représentant surtout des mammouths, ce que l'on voit peu souvent, les chevaux et bisons étant plus fréquemment illustrés par les artistes magdaléniens. C'est ce qui a valu à la grotte de Rouffignac le surnom mérité de  "la grotte aux cent mammouths"."

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"Grotte avec vraies peintures de l’époque préhistorique (comparé à Lascaux qui est une reconstitution!). Superbe visite! "

@chloebou

"Avec ses 8 kilomètres de galeries, la Grotte de Rouffignac est l'une des plus grandes grottes ornées d'Europe. Elle est située à 4 km au sud du village de Rouffignac Saint-Cernin de Reilhac. Avant d'être ornée de peintures et gravures par la main de l'homme il y a environ 15 000 ans, la grotte fut le repaire de l'ours des cavernes. Différentes traces témoignent de cette présence animale, comme des parois griffées, des sols creusés à la manière d'un nid (ou bauge) pour hiberner ou encore des ossements d'ours retrouvés dans ces mêmes nids. La présence humaine attendra que ces premiers occupants eurent quitté les lieux, sans doute à cause de leur côté un peu ours. Les hommes préhistoriques ont ensuite marqué de leur talent artistique les plafonds et parois de ce labyrinthe souterrain. Plus de 250 représentations, pour la plus part animales, ont été recensées. Bisons, chevaux, bouquetins, rhinocéros... Mais c'est bien le mammouth, avec ses 158 représentations, qui "écrase la concurrence". Cette quantité exceptionnelle en un même lieu, qui représente à elle seule un tiers de l'ensemble des représentations de mammouths dénombrés dans toute l'Europe occidentale, vaudra à la grotte de Rouffignac le surnom de "Grotte aux cent mammouths". Pour une visite des plus originales, vous embarquerez à bord d'un petit train électrique. La mise en place de cet unique moyen de visite, qui évite la fatigue et apporte un confort indéniable, est également lié à la préservation de ce sanctuaire. Le nombre de visiteurs peut ainsi être régulé et l'éclairage, qui est transporté par le train, ne trouble pas en permanence l'équilibre fragile de l'interieur de la grotte. Le Rouffignac express fera différents arrêts le long du parcours, comptez une heure environ, pour vous permettre d'apprécier au mieux les peintures et gravures."

@francois.gigandet6

"A l'entrée, une exposition gratuite présente les grottes avant 1956 et l'archéologie actuelle qui utilise des technologies comme l'analyse des pigments in situ et sans destruction. Cette grotte, inscrite au patrimoine mondial, a été redécouverte en 1956, mais des traces témoignent qu'elle était déjà visitée au XV e siècle. L'architecture est inhabituelle, avec des proéminences de silex et de coupoles naturelles. Il faut parcourir plus de 8 km de galeries dans un petit train électrique pour visiter 1 km de parois et plafonds ornés : une conférence d'une heure évoque la géologie à la préhistoire et l'abîme de nos origines. Le mammouth est ici le thème dominant, à 154 exemplaires, soit la moitié des représentations de cette espèce parmi les 300 cavités décorées d'Europe occidentale. Ce choix des artistes locaux de l'époque est d'autant plus surprenant que les ossements de mammouths demeurent rares dans le Sud-ouest, ce qui ajoute du mystère à l'ornementation de la caverne. C'est ce qui vaut au site d'être parfois surnommé " la grotte aux cent mammouths ". A voir aussi, un magnifique ensemble de dessins au trait noir et de gravures du magdalénien représentant des chevaux, des bisons. Les commentaires sont assurés en français par l'un des membres de la famille Plassard, propriétaire des lieux, et depuis des visio-guides (IPod touch) disponibles en anglais, néerlandais, allemand, espagnol, italien portugais, hébreu, chinois, japonais, etc. Conseil : prévoir un bon lainage car il fait assez froid dans la grotte (environ 13 °C quelle que soit la saison) et arriver le plus tôt possible car les billets pour la visite du matin sont vendus en tout début de matinée et à partir de 14 heures, pour les visites de l'après-midi. Les visites sont limitées à 500 personnes par jour afin de protéger le site."

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