Al Ain Oasis
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"Alimentata da sorgenti naturali e immersa tra piantagioni di palme da dattero, Al Ain è il luogo di nascita dello sceicco Zayed, padre fondatore degli Emirati Arabi Uniti, e in passato era un punto di sosta vitale sulla rotta carovaniera tra l’Oman e il Golfo. Si tratta di una città estesa dall’atmosfera rilassata, che si irradia dal cuore verde costituito dalla sua oasi centrale. L’assenza di grattacieli ultramoderni e la presenza, per contro, di un forte tutelato e di alcuni siti UNESCO le hanno procurato la fama di centro culturale, mentre lo zoo e il parco acquatico Wadi Adventure sono mete molto frequentate dalle famiglie nei weekend. Il tutto è dominato dal frastagliato profilo dal Jebel Hafeet, che si erge poco più a sud della città. Salendo lungo la strada sinuosa che si inerpica fino alla cima del monte godrete di un ampio panorama sull’arido splendore del Quarto Vuoto Oasi di Al Ain OASI (%03 712 8429; West Gate (ingresso principale); h8-17) F Questa tranquilla oasi fatta di ampi sentieri che si snodano tra giardini cinti da palme da dattero, nel pieno centro di Al Ain, offre un gradito rifugio dalla confusione della città. Primo sito degli Emirati Arabi Uniti proclamato dall’UNESCO Patrimonio dell’Umanità, l’oasi è formata da circa 150.000 palme da dattero di un centinaio di varietà ed è tuttora irrigata con un sistema vecchio di 3000 anni, costituito da una serie di canali chiamati falaj (canali di irrigazione), che potrete osservare passeggiando lungo i viottoli. Vi sono otto porte d’ingresso all’oasi, ma vi consigliamo di entrare dal West Gate (poco più a nord dell’Al Ain Palace Museum, nei pressi di Sultan Bin Zayed the First St), che funge anche da principale centro informazioni e fornisce una discreta cartina gratuita delle piantagioni. Accanto all’ingresso c’è il piccolo Eco Centre, dove sono allestite mostre multimediali (tra cui un vistosissimo documentario multischermo che catturerà l’attenzione dei bambini) che spiegano la storia dell’oasi di Al Ain e forniscono informazioni di carattere generale sulle palme da dattero. Presso il West Gate si possono anche noleggiare biciclette od organizzare brevi tour in buggy. In inverno c’è anche la possibilità di fare escursioni a cavallo o su pony."

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"Oasis classée patrimoine mondial unesco"

@seb.ganzer

"Voici la plus grande des oasis d'Al Aïn. C'est un bonheur que de déambuler dans ce poumon de 147 000 dattiers. Les 1 200 hectares de cette oasis, qui à l'instar des 5 autres de la ville, est inscrite au Patrimoine mondial de l'Humanité, comportent 550 vergers qui appartiennent à autant de propriétaires, dont le président des Emirats arabes unis, Sheikh Khalifa Bin Zayed. Les oasis ne ressemblent pas à celles de  Tintin au pays de l'or noir . Ici pas d'étendue d'eau entourée de palmiers et des tentes bédouines autour. Les oasis d'Al Aïn, plusieurs fois centenaires, sont des parcelles parfaitement entretenues. Un peu d'histoire.  A l'époque, chaque oasis était un village. On en comptait 9. Chacune avait une mosquée, souvent un fort et des bâtiments fortifiés avec à sa tête un cheikh. Cet ensemble défensif protégeait non seulement les habitants, mais aussi les cultures et surtout l'eau... L'été les Bédouins du désert s'y installaient, pouvant y trouver de l'eau et un peu d'ombre en échange d'un loyer. Des travailleurs qui ne faisaient pas partie des tribus appelés  bidar  s'occupaient de leur entretien. Des neuf oasis, sept subsistent : Al Jahili, la plus petite, Al Muatared, Al Jimi, Al Muaiji, Al Qattara, Al Hili et Al Aïn Oasis, la plus grande d'entre elles. Cette dernière a été nommée " système agricole traditionnel d'importance mondiale " par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Et les vrais rois de ces oasis sont les palmiers : tout est valorisé dans le palmier, car les branches s'utilisent dans la vannerie, les troncs des plus vieux finissent comme poutres, gouttières ou piliers. Bien sûr, la priorité de la phoeniciculture est le fruit. Dans la palmeraie les mâles sont en minorité : un pour cinquante à cent femelles, alors pas question de laisser à la nature seule le soin de décider le fruit de la récolte. Chaque printemps, l'homme, avec grande agilité, monte aux arbres et aide à la pollinisation. Il détache précieusement les épillets mâles pour les ligoter dans l'inflorescence femelle après éclatement des spathes. Il est roi, mais pas seul, car on cultive aussi les arbres fruitiers (mangues, citrons, oranges, bananes), des légumes, du blé et des arbres aux vertus médicinales comme le ghaf ( Prosopis cineraria ). Et rien de tout cela n'aurait été possible sans le développement unique des  falaj  qui a permis le développement des oasis depuis plus de trois mille ans. Le  falaj (au pluriel  aflaj ), qui en arabe signifie " division " ou " canaux ", est un ancien système d'irrigation très ingénieux qui a permis la sédentarisation de la population et son développement dans une région privée de rivières. Il est aussi devenu un élément culturel et un patrimoine qui donne lieu à une promenade dans une palmeraie un charme incomparable. Captant les reflets de la lumière, il enchante les lieux du son de l'eau qui court... et s'y rafraîchir les mains ou les pieds lorsqu'il fait très chaud est un vrai délice ! Mais d'où vient cette eau ? La chaîne de montagnes Al Hajar qui domine la ville d'Al Aïn apparaît au premier regard si aride qu'il est impossible de deviner qu'elle abrite plusieurs réservoirs souterrains naturels d'eau de pluie (aquifère) qui stockent cette dernière depuis des millions d'années. C'est de cette source que le  falaj , tunnel souterrain qui peut être long de plusieurs kilomètres, achemine l'eau par simple gravité. Il rejoint la surface aux abords des plantations où il se divise alors en plusieurs canaux qui parcourent les cultures ou les palmeraies. Selon les besoins, les canaux sont ouverts ou fermés, ainsi vous pourrez voir certaines branches où l'eau circule, tandis que d'autres canaux dans les parcelles voisines seront à sec. L'eau ainsi acheminée est cependant d'abord utilisée pour la consommation humaine, animale puis pour les ablutions, enfin pour la toilette et les tâches ménagères et en dernier lieu seulement pour l'arrosage des plantations. Ce savoir-faire est plusieurs fois millénaire ! Les hommes qui ont creusé ces galeries ont su depuis des temps immémoriaux mettre en oeuvre un certain nombre de compétences techniques pour assurer le bon fonctionnement du système. Il leur a notamment fallu calculer le degré de la pente afin de favoriser le débit optimal : si l'eau s'écoule trop doucement, elle stagne et dépose des sédiments, si elle arrive trop rapidement, la pression risque de provoquer l'écroulement des murs. Outre les dizaines d'années de labeur nécessaires pour creuser les galeries, il a aussi fallu creuser depuis la surface des puits verticaux à intervalles réguliers pour ventiler et nettoyer la galerie, mais aussi y accéder pour d'éventuelles réparations. Dans la ville d'Al Aïn, des dizaines d' aflaj  ont été creusés. Les aquifères sont presque tous à sec et aujourd'hui si la plupart des vingt et un  aflaj  portent encore un nom connu, ils sont malheureusement asséchés. Cinq d'entre eux fonctionnent toujours et trois ont été découverts suite à des fouilles archéologiques notamment. Datant de l'âge de bronze et vieux de 3 000 ans, ils ont été classés en 2001 comme site culturel au Patrimoine mondial de l'Humanité et sont reconnus comme les plus anciens exemples de  falaj  découverts jusqu'à présent. L'eau a toujours été un enjeu capital ! En 1946, lorsque Sheikh Zayed bin Sultan Al Nayhan devient gouverneur d'Al Aïn à l'âge de 28 ans, il entame immédiatement une réforme de l'eau, la rendant gratuite pour tous les habitants et abolissant de ce fait tout commerce autour d'elle."

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"Oasis 🌴🌴🌴 Palms do their best but even in the shadow it's HOT!!! 🔥🔥🔥"

@laura_lapassi

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