Musée national du Danemark
Musée national du Danemark
Le Musée national du Danemark est un musée situé au centre de Copenhague, capitale du Danemark. Cet important musée centralise la majeure partie de la documentation historique relatant l'histoire et le patrimoine danois. Découvrez les expositions sur l'histoire du Danemark, les Vikings et les artefacts danois remontant à 20 000 ans. Une visite incontournable pour les amateurs de culture et de musées. Ne manquez pas l'exposition 'Meet the Vikings' et l'expo 'On Raid' sur les Vikings. Le musée propose également un musée pour enfants à l'intérieur. Ouvert de 10h à 17h tous les jours, sauf le lundi. Prix d'entrée : 15 € environ. Style architectural : Rococo architecture.
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Approuvé par 7 partenaires officiels
DANEMARK
@petitfute
31followers
34places
"Cet immense musée occupe tout un pâté de maisons encadré par Vester Voldgade, Frederiksholms Kanal, Stormgade et Ny Vestergade où se situe l'entrée. Celle-ci donne sur un grand atrium entouré de deux étages de galeries. Sur la gauche de ce premier hall, l'Egmont Hall est dédié aux expositions temporaires. Les autres salles sont vouées aux collections ethnographiques. Sur la droite, les jardins du palais traversés par un couloir vitré, sont entourés de trois niveaux de galeries. Bref, il y a de quoi passer une journée entière pour l'explorer à fond. Néanmoins, la richesse et la variété des collections étant tellement denses, il vaut mieux visiter en plusieurs fois ou cibler ses centres d'intérêt. Les salles du rez-de-chaussée présentent l'archéologie du Danemark et l'épopée viking. Des pièces uniques et exceptionnelles y sont exposées : le char solaire de Trundholm , un char miniature cultuel en bronze, découvert en 1902 par un paysan dans le marécage de Trundholm en Zélande-du-Nord, il est daté du premier âge du bronze soit aux alentours de 1400 av. J.-C ; le chaudron de Gudenstrup datant du I er siècle av. J.-C. qui fut retrouvé en 1891 dans une tourbière du Jutland. Il est constitué de l'assemblage de 13 plaques d'argent décorées de scènes mythologiques celtes. Impressionnant par sa taille, il mesure 42 cm de haut pour un diamètre de 69 cm ; la Pierre runique de Kingigtorssuaq trouvée en 1824 dans un cairn, sur l'île de Kingigtortagdlit à l'ouest du Groenland. Sur cette pierre figurent des inscriptions vikings datant probablement du XIII e siècle ; ou la tombe de la Fille d'Egtved (Egtvedpigen), une jeune femme morte vers 1370 av. J.-C. à l'âge de 16-18 ans, dont le corps momifié a été retrouvé dans un tumulus avec vêtements et offrandes. L'étage traite de l'histoire des temps modernes et de l'époque des colonies. Armures de chevaliers, bijoux, retables. Reconstitution de l'épicerie d'Aalborg de 1602, et son ensemble de plafonds à caissons et de sculptures en bois. Partez à la rencontre de chasseurs de morses, de marchands d'esclaves. Découvrez la vie des Danois partis aux colonies : Inde, Afrique de l'Ouest ou Groenland ! Autre département tout aussi garni d'objets sensationnels : la chambre du roi Frederik III. Un cabinet de curiosités pour ce passionné d'objets ingénieux témoignant du savoir-faire et des connaissances de son temps, tout autant que des objets exotiques venus des quatre coins du monde."
Rock'N'Fiocc
@rockandfiocc
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2906places
Sovanna Mv
@sovanna.mv
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Louise Grenadine
@louisegrenadine
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marieandmood
@marieandmood
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Selma Kaci Sebbagh
@selmaksebbagh
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Sophia Roe
@bashparis
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"organisé en 3 époques : antiquité moyen âge renaissance/moderne"
@arthurpbal
"Très grand musée, à refaire pour voir les autres parties "
@erwan_d
"Billets valables toute la journée (peut sortir puis re-rentrer) "
@lauriauamelie
"Intéressant pour apprendre le passé du pays "
@clembous
"Le Musée national du Danemark est le musée le plus important du pays et il raconte l’histoire et la culture danoise depuis ses débuts jusqu’à aujourd’hui. La plupart des objets qui y sont exposés viennent de la collection privée que le roi Frédéric III gardait dans sa résidence au XVIIe siècle. Parmi les objets de valeurs du Musée National quelques-uns se distinguent comme le char solaire de Trundholm, les joyaux de l’époque viking et la célèbre Fille d’Egtved. L’un des trésors du Musée national étaient les cornes d’or vikings, qui avaient été volées en 1802 et remplacées par une réplique de moindre valeur. La collection du musée n’aborde pas seulement l’histoire de Copenhague et du Danemark, mais elle permet aussi aux visiteurs de voyager atour d’autres cultures du monde : la Polynésie, l’Arctique, el Japon, et bien plus. 𝐋'𝐞́𝐧𝐢𝐠𝐦𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐂𝐨𝐫𝐧𝐞𝐬 𝐝'𝐎𝐫 𝐝𝐞 𝐆𝐚𝐥𝐥𝐞𝐡𝐮𝐬 𝐝𝐞́𝐜𝐡𝐢𝐟𝐟𝐫𝐞́𝐞 ? (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒖 𝑴𝒚𝒔𝒕𝒆̀𝒓𝒆 𝒈𝒐𝒕𝒉𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆) 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑖𝑒̀𝑐𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑝𝑡𝑢𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑢𝑠𝑒́𝑒 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝐶𝑜𝑝𝑒𝑛ℎ𝑎𝑔𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐺𝑎𝑙𝑙𝑒ℎ𝑢𝑠. 𝐶𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠, 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝐷𝑎𝑛𝑒𝑚𝑎𝑟𝑘 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒- 𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 1639 𝑒𝑡 𝑒𝑛 1734 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑢 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡 𝑑𝑢 𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑒̀𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟𝑓𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑟𝑖𝑒, 𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑'ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑'𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑢𝑥 𝑟𝑒́𝑒𝑙𝑠 𝑜𝑢 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑔𝑟𝑎𝑣𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑎𝑛𝑔𝑠. 𝐶𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑏𝑜𝑖𝑟𝑒, 𝑡𝑦𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑝𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒̀𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑟𝑎𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑔𝑟𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑟𝑛𝑒́𝑠. 𝐿𝑒𝑢𝑟 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑚𝑚𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑟𝑓𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑙𝑒́𝑒 𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑏𝑟𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 : 𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑛𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑝𝑖𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑠'𝑎𝑏𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑏𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑎 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑠, 𝑜𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑒́𝑠 𝐿𝑒𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑖𝑠𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑎𝑚𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑒̀𝑚𝑒 𝐿𝑎 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑'𝐻𝑖𝑙𝑚𝑒𝑟, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑏𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒̀𝑟𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑎𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐵𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒. 𝐶𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐴 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑑'𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐿'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐵, 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑏𝑜𝑟𝑑 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑛 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝐹𝑈𝑇𝐻𝐴𝑅𝐾. 𝐸́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑢𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑒 𝑙𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 ; 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑜-𝑔𝑒𝑟𝑚𝑎𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑔𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑓𝑎𝑐𝑖𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒́𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒- 𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑓𝑒̀𝑣𝑟𝑒. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 : 𝑀𝑂𝐼, 𝐻𝐿𝐸𝑊𝐴𝐺𝐴𝑆𝑇𝐼𝑅, 𝐹𝐼𝐿𝑆 𝐷𝐸 𝐻𝑂𝐿𝑇, 𝐽'𝐴𝐼 𝐹𝐴𝐼𝑇 𝐿𝐴 𝐶𝑂𝑅𝑁𝐸. 𝑈𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑜𝑏𝑡𝑒𝑛𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑡𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑒𝑠 : 𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑜𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙𝑒𝑠, 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑠, 𝑒𝑡 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑎̀ 𝑡𝑜𝑢𝑡. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑢 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐵 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑚𝑝𝑒̂𝑐ℎ𝑎 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠, 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖, 𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑢𝑛 𝑚𝑒𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠-𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒 ℎ𝑖𝑒𝑟𝑜𝑔𝑙𝑦𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡-𝑖𝑙𝑠 𝑒𝑢 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑒́𝑟𝑜𝑔𝑙𝑦𝑝ℎ𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑢𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑎𝑢 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑔𝑟𝑒́ ? 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟 𝑑𝑒 𝐺𝑎𝑙𝑙𝑒ℎ𝑢𝑠, 𝑠𝑎𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑚𝑢𝑠𝑒́𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑑𝑚𝑖𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑙𝑒̀𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑜𝑟𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑎𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 : 𝑑'𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 ; 𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑝𝑒́𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑜𝑖𝑠, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖, 𝑑'𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑣𝑢𝑒 𝑝𝑢𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑎𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑜𝑡𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑖 𝑙'𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒̀𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́ 𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑜𝑡𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑠'𝑒𝑥𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑒́𝑟𝑜𝑔𝑙𝑦𝑝ℎ𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑝𝑒́𝑡𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑒́𝑐𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒́𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝ℎ𝑟𝑎𝑠𝑒𝑠. 𝑂𝑟 𝑎̀ 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑒 𝑡𝑦𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 - 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑜𝑏𝑒́𝑙𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜𝑛𝑐𝑜𝑟𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 « 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑖𝑛𝑒́𝑒𝑠 » 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟 𝑑𝑒 𝐺𝑎𝑙𝑙𝑒ℎ𝑢𝑠. 𝐼𝑙 𝑦 𝑎 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠, 𝑢𝑛 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑜𝑖𝑠, 𝐽𝑒𝑛𝑠 𝐽𝑢ℎ𝑙 𝐽𝑒𝑛𝑠𝑒𝑛, 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑒𝑢 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑢𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑟𝑦𝑝𝑡𝑜- 𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑠'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑒𝑓𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑟. 𝑀𝑎𝑙ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑖𝑙 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 ℎ𝑦𝑝𝑜𝑡ℎ𝑒̀𝑠𝑒 𝑙𝑖𝑛𝑔𝑢𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑟𝑟𝑜𝑛𝑒́𝑒, 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛'𝑜𝑏𝑡𝑖𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑢𝑙𝑡𝑎𝑡𝑠 𝑓𝑎𝑛𝑡𝑎𝑖𝑠𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒 𝑓𝑖𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝ℎ𝑖𝑙𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠. « 𝑀. 𝐽𝑒𝑛𝑠 𝐽𝑢ℎ𝑙 𝐽𝑒𝑛𝑠𝑒𝑛, 𝑑𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑟𝑎 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝐻𝑎𝑟𝑟𝑦 𝐴𝑛𝑑𝑒𝑟𝑠𝑒𝑛, 𝑎 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑢 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐺𝑎𝑙𝑙𝑒ℎ𝑢𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑟𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑒́𝑟𝑜𝑔𝑙𝑦𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑖𝑙 𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑣𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑛𝑜𝑟𝑟𝑜𝑖𝑠, 𝑖𝑙 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑛'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑏𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒́𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠. » 𝐼𝑙 𝑓𝑎𝑙𝑙𝑢𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 1969 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑠𝑝𝑒́𝑐𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑, 𝑊𝑖𝑙𝑙𝑖 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟, 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑙𝑖𝑛𝑔𝑢𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑡 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠, 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑙𝑒̀𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑠𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝑂𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑡𝑢𝑝𝑒́𝑓𝑖𝑎𝑛𝑡𝑒. 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟 𝑎 𝑟𝑢𝑖𝑛𝑒́ 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑑𝑒́𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑛'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑚𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑢𝑖 : 𝑙'𝑖𝑑𝑒́𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛'𝑦 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐴 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑖𝑛𝑔𝑢𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒, 𝑙𝑎 « 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 ». 𝐼𝑙 𝑎 𝑛𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑦 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐴 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑔𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑟𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑡𝑦𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒. 𝐸́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑡𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒, 𝑖𝑙 𝑎 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒́ 𝑞𝑢𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑'𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑣𝑜𝑞𝑢𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑠𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑢𝑛𝑒. 𝑃𝑎𝑟 𝑒𝑥𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒, 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒̀𝑣𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑥𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑡𝑦𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑖𝑟𝑡ℎ𝑟𝑎, 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑎𝑢 𝑠𝑜𝑛 𝑃. 𝑆𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 12 𝑒𝑡 10 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠, 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒 22. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒, 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑝𝑒́𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑜𝑖𝑠 ; 𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑙𝑒̀𝑣𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 12 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠. 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟 𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒́ 𝑙𝑒 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 12 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑𝑟𝑒. 𝐿𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛 ℎ𝑦𝑝𝑜𝑡ℎ𝑒̀𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑦𝑝𝑡𝑜-𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖𝑡𝑜̂𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑐𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 22 𝑙𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑡 : 𝑃𝑈𝐼𝑆𝑆𝐸 𝐿𝐸 𝑃𝐻𝐼𝐿𝑇𝑅𝐸 𝑀𝐴𝐺𝐼𝑄𝑈𝐸 𝐷𝐸 𝐶𝐸𝑇𝑇𝐸 𝐶𝑂𝑅𝑁𝐸 𝐴𝐼𝐷𝐸𝑅 𝐿𝐴 𝐶𝑂𝑀𝑀𝑈𝑁𝐴𝑈𝑇𝐸́ 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑛'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑙𝑎̀ 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑛𝑖𝑔𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟. 𝐿𝑒𝑠 𝐺𝑜𝑡ℎ𝑠, 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑓𝑢𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 « 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑠 » 𝑜𝑢 « 𝑏𝑟𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠. 𝐽𝑜𝑟𝑛𝑎𝑛𝑑𝑒̀𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑠 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑒 𝑑𝑒̀𝑠 𝑙𝑒 𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑎𝑣. 𝐽𝑒́𝑠𝑢𝑠-𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑟𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝐷𝑖𝑐𝑖𝑛𝑒𝑢𝑠. 𝑊𝑢𝑙𝑓𝑖𝑙𝑎, 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑖𝑙 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒́𝑑𝑎 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑙𝑝ℎ𝑎𝑏𝑒𝑡 𝑟𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝐺𝑜𝑡ℎ𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝐵𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑘𝑎𝑏𝑏𝑎𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠, 𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑑'𝑎𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑐ℎ𝑎𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐸𝑡 𝑐𝑒 𝑛𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑒𝑖𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑢𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑎 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡 𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝐴𝑟𝑎𝑔𝑜𝑛, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑎𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑛 𝐽𝑢𝑎𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑒𝑛𝑎, 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑤𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝐿𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑁𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑛𝑑𝑟𝑖𝑒𝑟, 𝑑'𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑢𝑡 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑦𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑢𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑥-𝑛𝑒𝑢𝑓 𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑢𝑒́𝑒 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑙𝑝ℎ𝑎𝑏𝑒𝑡 𝑔𝑜𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝑂𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑠𝑖 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑎 𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑖 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑟𝑖𝑒 𝑛'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 ℎ𝑦𝑝𝑜𝑡ℎ𝑒̀𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑖𝑛𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑊𝑖𝑙𝑙𝑖 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑝𝑜𝑢𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟 𝑑𝑒 𝐺𝑎𝑙𝑙𝑒ℎ𝑢𝑠. 𝑂𝑛 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢'𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑟𝑎𝑛𝑔 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑙𝑝ℎ𝑎𝑏𝑒𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 24 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝐹𝑈𝑇𝐻𝐴𝑅𝐾. 𝐷𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠, 𝑐𝑒𝑠 21 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑠 𝑑𝑒 ℎ𝑢𝑖𝑡, 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒́𝑠 𝑎𝑒𝑡𝑡𝑖𝑟 (𝑠𝑖𝑛𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟: 𝑎𝑒𝑡𝑡). 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟 𝑎 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑎𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑒́ 𝑠𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 22 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠-𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐴 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 32 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐵. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐴, 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑒𝑠𝑡 288, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐵 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 108. 𝐶𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠, 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟, 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑠𝑖𝑠 𝑎𝑢 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑 𝑐𝑎𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 24, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝐹𝑈𝑇𝐻𝐴𝑅𝐾. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 288 = 24 𝑥 12 𝑒𝑡 108 = 21 𝑥 17. 𝐿𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐵 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐴 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛 12/17. 𝑂𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑐𝑎𝑟𝑟𝑒́ 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑑𝑖𝑎𝑔𝑜𝑛𝑎𝑙𝑒 : 𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑟𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 12 𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑖𝑎𝑔𝑜𝑛𝑎𝑙𝑒 17. 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐴, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑛𝑞𝑢𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑢 ℎ𝑎𝑢𝑡, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑟𝑟𝑒́. « 𝐶𝑒𝑐𝑖, 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡-𝑖𝑙, 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑒 𝑓𝑟𝑢𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑖̈𝑛𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒́ℎ𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑖𝑐𝑜𝑛𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠. 𝑂𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑟𝑒́ 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑎̀ 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝐶𝑎𝑟𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑃𝑒́𝑔𝑎𝑠𝑒. 𝐷𝑒̀𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑒 𝑚𝑒́𝑠𝑜𝑝𝑜𝑡𝑎𝑚𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙𝑒𝑟 𝑙'𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑖𝑥𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑎 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 : 𝐶𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑟𝑒́ 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒, 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑒́ 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑗𝑒𝑢 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑜𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑠 𝑑'𝑜𝑟 (𝑔𝑜𝑙𝑙𝑛𝑎𝑟 𝑡𝑜𝑓𝑙𝑢𝑟) 𝑑𝑢 𝑆𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙, 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐿𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠, 𝑗𝑜𝑢𝑒 𝑢𝑛 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑖𝑓 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑒𝑠𝑐ℎ𝑎𝑡𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐸𝑑𝑑𝑎𝑠: 𝑉𝑜𝑖𝑟 𝑉𝑜𝑙𝑢𝑠𝑝𝑎, 60. » 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟, 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠-𝑐𝑖 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑐𝑜𝑛𝑐̧𝑢𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑒̀𝑠 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝐻𝑙𝑒𝑤𝑎𝑔𝑎𝑠𝑡𝑖𝑟 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒́ 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑎 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑓𝑎𝑏𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒́ 𝑙𝑎 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑏𝑢𝑡 ? 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑐𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑡𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑙𝑙𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑎𝑜𝑟𝑑𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐿𝑒 16 𝑎𝑣𝑟𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑛 413, 𝑎̀ 14 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 16 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑠𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑝ℎ𝑒́𝑛𝑜𝑚𝑒̀𝑛𝑒 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑚𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑟 𝑣𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡𝑠 : 𝑐'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑝𝑠𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙, 𝑒𝑡 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝐺𝑎𝑙𝑙𝑒ℎ𝑢𝑠 (𝐽𝑢𝑡𝑙𝑎𝑛𝑑) 𝑜𝑢̀ 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠. 𝐿𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑝𝑢 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑓𝑎𝑏𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙'𝑎𝑛 400 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑛 425. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑝𝑠𝑒, 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟, 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑝𝑠𝑒 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒́𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐴. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒 3 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒, 𝑎̀ 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒, 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑠 𝑒𝑛 𝑟𝑎𝑦𝑜𝑛𝑠. 𝑆𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒 4, 𝑎𝑢 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢, 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑙 𝑑𝑢 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑛𝑜𝑚. 𝐴𝑢- 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑢 𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢, 𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑠𝑡𝑦𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑉𝑒́𝑛𝑢𝑠. 𝑆𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒 1, 𝑎̀ 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒, 𝑑𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑡𝑦𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑥 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠. 𝑂𝑟 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑝𝑠𝑒, 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑎̀ 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑉𝑒́𝑛𝑢𝑠 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 90°. 𝐷𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐴 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝐵 𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝐷𝑟𝑎𝑔𝑜𝑛 𝑜𝑢 𝑆𝑒𝑟𝑝𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑒́𝑚𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑆𝑎𝑔𝑖𝑡𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑇𝑒̂𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑄𝑢𝑒𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝐷𝑟𝑎𝑔𝑜𝑛 - 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑝𝑠𝑒 - 𝑠𝑜𝑛𝑡 « 𝑒𝑛 𝑒𝑥𝑎𝑙𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 ». 𝑇𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑊𝑖𝑙𝑙𝑖 𝐻𝑎𝑟𝑡𝑛𝑒𝑟. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐺𝑎𝑙𝑙𝑒ℎ𝑢𝑠. 𝐸𝑡 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑝, 𝑙'𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠-𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑙𝑙𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑠 : 𝐶𝑜𝑛𝑓𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑝𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑖𝑔𝑒 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑗𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒, 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑟𝑒𝑐𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑏𝑟𝑒𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒́. 𝐴𝑢 𝑋𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑆𝑜𝑒𝑚𝑢𝑛𝑑 𝑆𝑖𝑔𝑓𝑢𝑠𝑠𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝐼𝑠𝑙𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑒̀𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐸𝑑𝑑𝑎𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟 𝑑𝑒 𝐺𝑎𝑙𝑙𝑒ℎ𝑢𝑠, 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑠𝑖𝑥 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑎𝑛𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑, 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑢𝑒𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝐶ℎ𝑎𝑛𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝐺𝑢𝑑𝑟𝑢𝑛 𝑒𝑛 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́ 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑒𝑡 𝑐𝑒́𝑙𝑒́𝑏𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑝𝑙𝑒𝑛𝑑𝑒𝑢𝑟, 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟𝑠. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒖 𝑴𝒚𝒔𝒕𝒆̀𝒓𝒆 𝒈𝒐𝒕𝒉𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆 (𝒑𝒑 165-177) ; 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑪𝒐𝒑𝒆𝒏𝒉𝒂𝒈𝒖𝒆 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"La Galleria Nazionale Danese, o Museo di Belle Arti, è il più importante museo di Copenaghen e dell’intera Danimarca. Il museo ospita tre collezioni principali: la Collezione Reale di dipinti e sculture; la Collezione Reale di arti grafiche; la Collezione Reale di calchi in gesso. Il Museo di Belle Arti di Copenaghen Il Museo di Belle Arti di Copenaghen Più di 10.500 opere suddivise due sezioni che rappresentano l’arte europea dal 1300 al 1800 e l’arte danese ed europea dal 1800 al 1900. Tra i capolavori esposti spiccano le opere dei grandi maestri della pittura come Cranach il Vecchio (Venere e Cupido in foto) Mantegna, Tintoretto, Lorenzo Lotto, Tiziano, Memling, van Dyck, Bruegel il Vecchio, Rembrandt. Una galleria detta “Via delle Statue”, caratterizzata dalla presenza di una ricca esposizione di sculture, collega l’antico edificio a quello nuovo che ospita l’arte del XX secolo. La raccolta di arte moderna si fregia di autentiche meraviglie firmate da Matisse, Picasso, Modigliani, Chagall. Notevole anche la sezione dedicata alla pittura scandinava rappresentata da opere di Munch, Krohg, Abildgard, Juel. Più di 240.000 opere grafiche che includono stampe, litografie, disegni, acquerelli, fotografie e molti altri tipi di opere che coprono il periodo dal 1400 fino ad oggi. In un solo percorso si possono ammirare opere di Dürer (foto), Rembrandt, Goya, Toulouse-Lautrec, Bruce Nauman e Louise Bourgeois. Statue egizie e greche, di mostri e di dei, provenienti da palazzi e templi, d’amore o di guerra. Il meglio delle opere dell’arte di tutti i tempi riprodotte nei 4.000 calchi in gesso ospitati in questa collezione. Nata nel 1800 come strumento per educare i cittadini danesi alla bellezza dell’arte classica, la raccolta ha poi assunto una propria dignità arricchendosi negli anni con le riproduzioni in gesso delle più importanti opere della storia dell’arte mondiale. Orari di apertura e costo del biglietto per il Museo di Belle Arti Orari di apertura: Lunedì: chiuso Da martedì a domenica: dalle 11.00 alle 17.00 Mercoledì: dalle 11.00 alle 20.00 "
@catediego
"LE musée sur l'histoire du Danemark de la préhistoire à nos jours, bien présenté mais sans les 109807 explications qu'on ne lit jamais "
@ptitepom
"Adulti e bambini potranno fare un tuffo nella storia del regno danese con una visita al Museo Nazionale di Copenaghen, attraverso una vivace rappresentazione degli avvenimenti storici basata su giochi di luce e suoni, all’interno del palazzo costruito originariamente per il re Federico V. Museo Nazionale di Copenaghen Museo Nazionale di Copenaghen Un viaggio nel tempo che parte da una concezione pagano-mistica della preistoria, passa attraverso i secoli medievali ed arriva fino alle opere dell’arte contemporanea. Potrete dare un’occhiata al corpo imbalsamato della giovane Egtved o ascoltare i discorsi dello scrittore e critico danese Georg Brandes. Anche se il Museo Nazionale è ispirato principalmente alla storia della Danimarca, a volte si possono trovare anche delle mostre temporanee sulla storia di luoghi esotici come la Groenlandia e l’America Latina. Se non avete molto tempo a disposizione, potrete usufruire di una veloce guida fai da te che vi offrirà una panoramica dei 10.000 oggetti più significativi del museo in una sola ora."
@elisabettagregori
"there was a really really cool viking exhibit on. the building itself was beautiful and slightly hard to navigate"
@addielaide
"Expo "On Raid" sur les vikings"
@pandore
"The children’s museum is inside"
@aplatedstory
"Géant. Pas eu le temps de tout visiter."
@jumasso29
"Danish artefacts going back 20,000 years. The most interesting, however, is the viking exhibit. Can be a bit dry, but then you can pick the age you'd like to know more about."
@pitours
"Museo nazionale, valgono la pena le collezioni preistoriche e vichinge, trascurabile il resto"
@leo.anti
"Getting lost in the middle of all those beautiful exposition on the cultures of all over the worldone need an entire day for tgat museum"
@setbyeol
"Musée sur l'histoire du Danemark Parmi les oeuvres les plus célèbres de ce musée, on trouve le chaudron de Gundestrup, le char solaire de Trundholm ou encore la pierre runique de Kingigtorssuaq."
@aurores6
"Raconte l'histoire et la culture Danoise Horaires : 10h - 17h, fermé le lundi Tarif : 12,80€"
@milefy
"Compris dans la Copenhaguen Card"
@Crevette
"Centré sur l’histoire et le patrimoine danois le musée national du Danemark et très instructif c’est clairement l’endroit où aller à Copenhague pour en savoir plus sur l’histoire du pays, depuis la Préhistoire à nos jours en passant par les vikings. Le musée national est assez vaste. Pour une découverte complète du musée il faut compter au moins trois heures "
@manonfu
"The National Museum of Denmark covers the history of Denmark from the Stone Age, Viking Age, Middle Ages, Renaissance, and Modern History. So if you want to learn more about the history of Denmark then you’ll want to check this out."
@jazz.blath3
"We can recommend the viking exhibition and the kids section"
@dittenie
"Musée à visiter dans copenague"
@florence.lazime
"Musée (recommandé par blog) "
@eatwithvanessa
"Vaut le détour pour l’expo sur les Vikings au premier étage. "
@nadam49