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"Une de nos étapes favorites ! Nous avons pu dormir sur le parking sans soucis en hors saison (arrivée de nuit après la fermeture du site)"
@alexangel_21
"L'une des plus importantes cités de la Grèce antique, et l'ancienne capitale du Péloponnèse, qui a donné son nom à une civilisation dont l'existence s'étendit entre les XVIIe et XIe siècle avant notre ère ! Inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1999, Mycènes constitue ainsi l'un des grands sites majeurs de la Grèce antique et de l’Europe. Connues depuis l’Antiquité, les ruines de Mycènes sont notamment décrites par Pausanias au IIe siècle de notre ère. Les premières fouilles de la cité antique eurent lieu en 1841 et le site est étudié en détail depuis 1876. De nombreuses petites merveilles archéologiques sont ainsi à découvrir lors de la visite de cette cité antique ! 𝐋𝐞𝐬 𝐌𝐲𝐜𝐞́𝐧𝐢𝐞𝐧𝐬, 𝐚𝐧𝐜𝐞̂𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐆𝐫𝐞𝐜𝐬 Au II° siècle de notre ère, l'historien grec Pausanias décrivait ainsi le site de Mycènes : « Il n'en reste rien aujourd'hui, à part quelques murs en ruine et la porte d'entrée de la citadelle ornée d'un bas-relief représentant des lionnes ; on prétend que ces murs sont l'œuvre des Cyclopes... A Tirynthe, il ne reste plus rien que les murs, eux aussi élevés par les Cyclopes. Ils sont faits de pierres si énormes que deux mulets n'arriveraient pas à déplacer les plus petites. » Les ruines qui stupéfièrent Pausanias nous étonnent encore aujourd'hui. Elles rappellent le souvenir du peuple mycénien qui éleva ces titanesques forteresses, il y a près de 33 siècles, vers 1.400 av. J.-C. Elles sont le symbole d'une civilisation qui dut se défendre contre de fréquentes invasions. Mais les Mycéniens ne cherchaient pas qu'à se protéger, ils furent aussi conquérants et la "porte des lionnes" de Mycènes vit souvent passer des cortèges guerriers sous la conduite de rois et de généraux recouverts d'armures de bronze ou de cuir. Autour des acropoles vivaient paysans et artisans, dans des maisons d'argile et de bois. Les résidences des souverains étaient bâties au milieu des enceintes fortifiées. Ces palais, bien plus sommaires et rustiques que ceux de Crète, étaient dits "à mégaron", terme désignant une salle commune centrale, précédée d'un porche et dont le toit, muni d'une ouverture en guise de cheminée, était soutenu en son milieu par quatre colonnes encadrant le foyer. Au XIVe siècle av. J.-C., les Mycéniens donnèrent à leur architecture son faste monumental. Ils construisirent les formidables murailles de leurs cités et les souverains se firent inhumer dans de grandes tombes circulaires dites "à tholos", creusées dans les pentes des collines. Deux siècles plus tard, la civilisation mycénienne fut anéantie par des mouvements de populations venues du Nord, alors qu'éclataient des révoltes de paysans et d'esclaves, las de la domination d'implacables souverains. 𝐋𝐚 𝐜𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐢𝐯𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐲𝐜𝐞́𝐧𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 (𝐈𝐈𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐞́𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐚𝐯. 𝐉.-𝐂.) L'antique Mycènes est aujourd’hui connue, car elle a donné son nom à la civilisation qui domina la Grèce continentale et les îles de la mer Égée de 1.600 à 1.100 av. J.-C. L’Odyssée et surtout l’Iliade, poèmes épiques attribués à Homère, livrent plusieurs siècles plus tard un écho de cette Grèce alors divisée en petits royaumes. Chaque royaume était organisé autour d’une cité prédominante que protégeait une forteresse imposante. C’est dans cette cité que résidait l’aristocratie guerrière, ainsi qu’un gouverneur, ou roi, vivant dans un palais. Mais la majorité de la population était composée d’agriculteurs, d’éleveurs et d’artisans, les esclaves constituant le bas de l’échelle sociale mycénienne. Le palais était l’incarnation du pouvoir royal et l’expression d’un mode de gouvernement centralisé, responsable de la redistribution des biens, de l’approvisionnement en aliments (céréales, huile, miel, bétail…) et en matières premières (métaux, peaux, étoffes…), et des manufactures (de l’armement au mobilier). Pour tenter de comprendre comment les habitants de Mycènes vivaient au quotidien, les archéologues ont sondé les ruines du palais et des maisons, qui n’ont cependant livré que de maigres informations. En revanche, les nombreuses tombes situées dans la cité ont révélé les pratiques funéraires de ces anciens Grecs et ont dévoilé une caractéristique capitale de leur mentalité : leur culture de la guerre et de l’armement. 𝐋𝐚 𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐝’𝐀𝐠𝐚𝐦𝐞𝐦𝐧𝐨𝐧, 𝐜𝐡𝐞𝐟 𝐝𝐞𝐬 𝐀𝐜𝐡𝐞́𝐞𝐧𝐬 𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐠𝐮𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐓𝐫𝐨𝐢𝐞 La cité antique de Mycènes se trouve au cœur de la mythologie grecque, mais aussi de l’histoire civilisationnelle du continent. D’après la mythologie, elle aurait ainsi été fondée par Persée à la suite de l’homicide accidentel du roi d’Argos, Acrisios. Ayant cédé cette dernière cité au neveu du défunt, Persée serait parti fonder une nouvelle ville : Mycènes. Le nom serait une allusion au pommeau de son épée ou au champignon découvert sur place. Persée aurait ensuite demandé aux Cyclopes, des géants à la force surhumaine et bâtisseurs de Tirynthe, de construire des murailles pour la cité. Pour les Grecs de l’époque classique, les larges blocs de pierre utilisés ne pouvaient en effet qu’avoir été assemblés par ces géants, d’où leur nom de murs cyclopéens ! Dans le récit homérique, Mycènes est également le royaume d’Agamemnon, chef des Achéens lors de la guerre de Troie. Homère décrit alors la cité comme riche en or et importante pour la déesse Héra. Durant le IIe millénaire avant notre ère, Mycènes est ainsi un pôle majeur de la Grèce continentale. Elle forme avec les cités voisines la civilisation « mycénienne ». Elle atteint son apogée entre les XIVe et XIIIe siècles avant notre ère. Mais la puissante cité montre plusieurs signes de destructions, comme le reste des sites de la civilisation mycénienne, entre la fin du XIIIe et le début du XIe siècle avant notre ère. Les causes sont encore discutées parmi les experts : invasions étrangères, tremblements de terre, incendies ou conflits internes, ou plusieurs entremêlées ? Dans tous les cas, Mycènes devient dès lors une cité mineure. Ses fortifications sont même détruites après la mise à sac de la ville par Argos en 468 avant notre ère. 𝐌𝐲𝐜𝐞̀𝐧𝐞𝐬, 𝐜𝐫𝐞𝐮𝐬𝐞𝐭 𝐭𝐮𝐦𝐮𝐥𝐭𝐮𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐥'𝐇𝐞𝐥𝐥𝐚𝐝𝐞 (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑴𝒂𝒚 𝑽𝒆𝒃𝒆𝒓) 𝑴𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒂𝒏𝒔 𝒂𝒗𝒂𝒏𝒕 𝑷𝒆́𝒓𝒊𝒄𝒍𝒆̀𝒔 𝒆𝒕 𝒍𝒆 𝑷𝒂𝒓𝒕𝒉𝒆́𝒏𝒐𝒏, 𝒒𝒖𝒊 𝒇𝒖𝒓𝒆𝒏𝒕 𝒗𝒓𝒂𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒅𝒆 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒏𝒐𝒎𝒎𝒐𝒏𝒔 𝑮𝒓𝒆𝒄𝒔 ? 𝑺𝒄𝒉𝒍𝒊𝒆𝒎𝒂𝒏𝒏, 𝒊𝒍 𝒚 𝒂 𝒖𝒏 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆, 𝒇𝒂𝒊𝒔𝒂𝒊𝒕 𝒃𝒓𝒖𝒔𝒒𝒖𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒐𝒓𝒕𝒊𝒓 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒃𝒍𝒊 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒎𝒑𝒕𝒖𝒆𝒖𝒙 𝒃𝒂𝒓𝒃𝒂𝒓𝒆𝒔 𝒓𝒖𝒊𝒔𝒔𝒆𝒍𝒂𝒏𝒕𝒔 𝒅'𝒐𝒓 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒈. 𝐿𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒́𝑒, 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑜𝑙𝑖𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒, 𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒-𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠, 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔 𝑏𝑎𝑟𝑏𝑎𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́, 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑚𝑚𝑒𝑛𝑠𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑜𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑'ℎ𝑒𝑟𝑏𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒𝑠. 𝐿𝑒𝑠 𝐴𝑡𝑟𝑖𝑑𝑒𝑠 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑖 𝑑'𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑟𝑡, 𝑒𝑡 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟. 𝐸́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑡ℎ𝑢𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑢𝑑𝑖𝑡𝑒 ! 𝐹𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒 𝑛𝑜𝑏𝑙𝑒𝑠𝑠𝑒, 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡, 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒́𝑒, 𝑞𝑢𝑎𝑠𝑖 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑎𝑚𝑛𝑒́𝑒 𝑎𝑢 𝑚𝑎𝑙ℎ𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑡𝑟𝑜𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛 𝑛'𝑎 𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒́, 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠, 𝑑𝑒 ℎ𝑎𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑟𝑡𝑒𝑙𝑠. 𝑇𝑜𝑢𝑠, 𝑝𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠, 𝑙'𝑜𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡𝑒́𝑒. 𝐿𝑎 𝑣𝑖𝑜𝑙𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔 ! 𝐿𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛 ! 𝐼𝑛𝑒́𝑝𝑢𝑖𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙'𝑎𝑟𝑡, 𝑞𝑢'𝑖𝑛𝑐𝑎𝑟𝑛𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑛𝑖𝑐ℎ𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑢𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑚𝑒𝑢𝑟𝑡𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑒, 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑐𝑟𝑖𝑚𝑖𝑛𝑒𝑙𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠. 𝐴𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑇ℎ𝑦𝑒𝑠𝑡𝑒, 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑛𝑒𝑚𝑖𝑠, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑢𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑛'𝑒𝑢𝑡 𝑑'𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 ℎ𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝐴𝑔𝑎𝑚𝑒𝑚𝑛𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑡𝑒̂𝑡𝑒, 𝑙'𝑎𝑚𝑏𝑖𝑔𝑢 𝑠𝑖𝑛𝑜𝑛 𝑡𝑎𝑙𝑒𝑛𝑡𝑢𝑒𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑𝑒 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑒𝑛𝑎 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑐𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑖𝑚𝑚𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑎𝑟𝑚𝑒́𝑒. 𝑆𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑟𝑎𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑇𝑟𝑜𝑖𝑒, 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑖𝑥 𝑎𝑛𝑠 𝑑'𝑎𝑏𝑠𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑣𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑟 𝑚𝑒̂𝑚𝑒, 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒 𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑎𝑡, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑏𝑎𝑖𝑛. « 𝐶𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟, 𝑐𝑒𝑡 𝑒́𝑝𝑒𝑟𝑣𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑜𝑚𝑏 », 𝑐𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑡𝑠 𝑖𝑛𝑒𝑥𝑜𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑝𝑖𝑒̀𝑔𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑒̂𝑡𝑒. 𝐸𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑔𝑛𝑎𝑟𝑑 𝑟𝑒𝑑𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒́𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝐸́𝑔𝑖𝑠𝑡ℎ𝑒, 𝑙'𝑢𝑠𝑢𝑟𝑝𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟, 𝑎𝑖𝑑𝑒́ 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒 𝑎𝑚𝑎𝑛𝑡𝑒 – 𝐶𝑙𝑦𝑡𝑒𝑚𝑛𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑒́𝑝𝑜𝑢𝑥 𝑑'𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑖𝑓𝑖𝑒́ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑖̂𝑛𝑒́𝑒, 𝐼𝑝ℎ𝑖𝑔𝑒́𝑛𝑖𝑒, 𝑎𝑓𝑖𝑛 𝑑'𝑜𝑏𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑓𝑎𝑣𝑜𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑙𝑜𝑖𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑇𝑟𝑜𝑖𝑒. 𝐵𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡, 𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 « 𝑐𝑟𝑎𝑐ℎ𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑎̂𝑚𝑒 », 𝑒𝑡 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑒́𝑡𝑎𝑡 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑜𝑐, 𝑓𝑟𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑢𝑟. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑎𝑙𝑒 ℎ𝑎𝑙𝑙𝑢𝑐𝑖𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑜𝑙𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑏𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑛𝑎 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝐶𝑎𝑟 𝑂𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒, 𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑒𝑥𝑖𝑙𝑒́, 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑢𝑡 𝑢𝑛 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑣𝑒𝑛𝑔𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑒̀𝑟𝑒. 𝐼𝑙 𝑠'𝑒𝑛 𝑎𝑙𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙'𝑜𝑟𝑎𝑐𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐷𝑒𝑙𝑝ℎ𝑒𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑒𝑡 𝐴𝑝𝑜𝑙𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑢𝑖 𝑒𝑛𝑗𝑜𝑖𝑔𝑛𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑡𝑢𝑒𝑟 𝑠𝑎 𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑚𝑎𝑛𝑡. 𝐶𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑓𝑖𝑡 𝑒𝑡 𝑐𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖, 𝑎̀ 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑠𝑢𝑖𝑣𝑖 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝐸́𝑟𝑖𝑛𝑦𝑒𝑠, 𝑖𝑙 𝑓𝑢𝑡 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑙𝑖𝑒. 𝐸𝑡 𝐸́𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒, 𝑠𝑎 𝑡𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑠œ𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒, 𝐸́𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟𝑒 𝑙'ℎ𝑢𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒́𝑒, 𝐸́𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑠𝑜𝑢𝑚𝑖𝑠𝑒, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡 𝑎𝑙𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒- 𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑟 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠. 𝐶𝑟𝑖𝑠, 𝑐𝑙𝑎𝑚𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑖𝑚𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠, ℎ𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑒𝑥𝑝𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠, 𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠, 𝑎𝑑𝑢𝑙𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑠, 𝑟𝑎𝑝𝑡𝑠, 𝑒́𝑔𝑜𝑟𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑐𝑎𝑟𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠... 𝐸𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑟, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑜𝑏𝑙𝑖𝑔𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑐𝑟𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑜 𝑚𝑎𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑔𝑟𝑎𝑑𝑢𝑒́, 𝑙'𝑖𝑚𝑚𝑜𝑟𝑡𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠. 𝐶𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒𝑠, 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑢𝑟𝑒. 𝐴 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒-𝑐𝑖, 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑚𝑜𝑑𝑒𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑜𝑟𝑑𝑢 𝑎̀ 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑛𝑡𝑠. 170 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝐽𝑒́𝑠𝑢𝑠-𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡. 𝐴 𝑝𝑖𝑒𝑑, 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑡𝑖𝑔𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑢𝑛 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑔𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒 𝑟𝑜𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒, 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑠𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑝𝑢𝑡𝑒́𝑠. 𝑆𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 : 𝑃𝑎𝑢𝑠𝑎𝑛𝑖𝑎𝑠. 𝐶𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑖𝑙 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑒𝑛𝑢, 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑒́𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑙𝑜𝑐𝑎𝑙𝑒. 𝐿𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑝𝑎𝑟𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐶𝑜𝑟𝑖𝑛𝑡ℎ𝑒, 𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠'𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑣𝑢𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠, 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑒̀𝑠, 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠'𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑛𝑜̂𝑡𝑟𝑒. « 𝑄𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛 𝑟𝑢𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑎𝑑𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑜𝑟𝑛𝑒́𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑏𝑎𝑠-𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒𝑓 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑠. 𝑂𝑛 𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙'œ𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑦𝑐𝑙𝑜𝑝𝑒𝑠... 𝑂𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝐴𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑠, 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙𝑠 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑣𝑒𝑙𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑟𝑠 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑖𝑎𝑢𝑥. 𝐸𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑑'𝐴𝑡𝑟𝑒́𝑒, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑'𝐴𝑔𝑎𝑚𝑒𝑚𝑛𝑜𝑛... 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑'𝐸́𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟𝑒. » 𝐷𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒𝑠, 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑠𝑒𝑠. 𝐸𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑎 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒, 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑚𝑒𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑟𝑡𝑒, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚, 𝑠𝑒𝑢𝑙, 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑖𝑡. « 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝐺𝑟𝑒𝑐 𝑠𝑎𝑖𝑡, 𝑛𝑜𝑡𝑒 𝑃𝑎𝑢𝑠𝑎𝑛𝑖𝑎𝑠, 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑃𝑒𝑟𝑠𝑒́𝑒 », 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠, 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝑍𝑒𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝐷𝑎𝑛𝑎𝑒́, 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑒́𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎 𝑙𝑎 𝐺𝑜𝑟𝑔𝑜𝑛𝑒 𝑀𝑒́𝑑𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎 𝑙𝑎 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝐴𝑛𝑑𝑟𝑜𝑚𝑒̀𝑑𝑒. 𝑴𝒚𝒄𝒆̀𝒏𝒆𝒔 𝒓𝒆𝒅𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒕𝒆 𝐴𝑜𝑢̂𝑡 1806. 𝐴 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙, 𝑠𝑜𝑛 𝑃𝑎𝑢𝑠𝑎𝑛𝑖𝑎𝑠 𝑒𝑛 𝑝𝑜𝑐ℎ𝑒, 𝑣𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑆𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚, 𝐶ℎ𝑎𝑡𝑒𝑎𝑢𝑏𝑟𝑖𝑎𝑛𝑑 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒 𝑒𝑛 𝐴𝑟𝑔𝑜𝑙𝑖𝑑𝑒, 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛𝑠 « 𝑟𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒𝑠 » 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑀𝑜𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑔𝑎𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑐ℎ𝑎𝑠. « 𝐿'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑡𝑡𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑙ℎ𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑢𝑟𝑠 » 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑢𝑛𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢, 𝑖𝑙 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑔𝑢𝑖𝑑𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 « 𝑢𝑛 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑛𝑢, 𝑢𝑛 𝑝𝑎̂𝑡𝑟𝑒 ». 𝐿𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑙'𝑖𝑚𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. « 𝐷𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠... 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑛𝑢𝑒𝑠. » 𝐸𝑛𝑓𝑖𝑛, « 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎̂𝑚𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑟𝑢𝑦𝑒̀𝑟𝑒 : 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑠𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑏𝑟𝑖𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑡𝑒𝑙𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑢𝑠𝑎𝑛𝑖𝑎𝑠... ». 𝐼𝑚𝑚𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑖𝑟𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑠𝑡𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒, 𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑞𝑢𝑖, 𝑒𝑛 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑'𝑎𝑏𝑠𝑜𝑙𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑎 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑢𝑚𝑎𝑡𝑖𝑠𝑒́ 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑂𝑐𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡. « 𝐸𝑡 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡, 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑎𝑖𝑡 𝐶ℎ𝑎𝑡𝑒𝑎𝑢𝑏𝑟𝑖𝑎𝑛𝑑, 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑜𝑛𝑛𝑒́. » 𝐸́𝑡𝑜𝑛𝑛𝑒́, 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑛 1876. 𝐶𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒-𝑙𝑎̀, 𝑔𝑟𝑎̂𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑎𝑚𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑛𝑖𝑒 𝑓𝑜𝑢 𝑑'𝐻𝑜𝑚𝑒̀𝑟𝑒, 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑓, 𝑜𝑏𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒́, 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑙𝑜𝑛𝑔 𝑠𝑖𝑙𝑒𝑛𝑐𝑒. 𝑆𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑝𝑡𝑢𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎̂𝑔𝑒 𝑑𝑢 𝑏𝑟𝑜𝑛𝑧𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑑𝑎𝑖𝑛 𝑣𝑖𝑒. 𝐸𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑎𝑐𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢, 𝑓𝑖𝑡 𝑓𝑙𝑜𝑟𝑒̀𝑠. 𝐿𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑚𝑝𝑎𝑟𝑡𝑠 𝑐𝑦𝑐𝑙𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑛𝑠, 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐿𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑒́𝑝𝑢𝑙𝑐𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑢𝑐ℎ𝑒𝑠, 𝑐'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑙𝑎̀ 𝑙𝑒𝑠 « 𝑑𝑒́𝑏𝑟𝑖𝑠 » 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑜𝑝𝑢𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒́𝑐ℎ𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑔𝑙𝑜𝑖𝑟𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑠𝑡𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑖𝑛𝑡𝑒𝑙𝑙𝑖𝑔𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠. 𝐷𝑒𝑠 𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑏𝑟𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑛𝑢𝑙𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑏𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑖𝑡. 𝑆𝑒𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑙'𝐼𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑂𝑑𝑦𝑠𝑠𝑒́𝑒, 𝑎𝑢𝑥 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠, 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑓𝑓𝑟𝑖𝑟 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑢, 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑐𝑙𝑒́𝑠 ; 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑏𝑟𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑖𝑡𝑒. 𝑂𝑟 𝑣𝑜𝑖𝑐𝑖 𝑞𝑢𝑒, 𝑎𝑢 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑒́𝑟𝑒𝑖𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑'𝑒𝑥𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑒́𝑝𝑜𝑝𝑒́𝑒 𝑜𝑢 𝑑𝑟𝑎𝑚𝑒, 𝑏𝑎𝑠𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒. 𝑁𝑒 𝑠𝑒 𝑓𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢'𝑎̀ 𝐻𝑜𝑚𝑒̀𝑟𝑒, 𝑠𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑢𝑠𝑎𝑛𝑖𝑎𝑠, 𝐻𝑒𝑖𝑛𝑟𝑖𝑐ℎ 𝑆𝑐ℎ𝑙𝑖𝑒𝑚𝑎𝑛𝑛 𝑒𝑡 𝑠𝑎 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑝𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑔𝑟𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒, 𝑆𝑜𝑝ℎ𝑖𝑒, 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑟𝑐𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑓𝑜𝑠𝑠𝑒, 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑐𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑚𝑒𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑡𝑟𝑖𝑑𝑒𝑠 ! 𝑌 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑟𝑎𝑛𝑔, 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑠 𝑑'𝑜𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑙'𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡 𝑑'𝑢𝑠𝑎𝑔𝑒. 𝐸𝑥𝑢𝑙𝑡𝑎𝑛𝑡, 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑒𝑥ℎ𝑢𝑚𝑒, 𝑝𝑖𝑒̀𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑝𝑖𝑒̀𝑐𝑒, 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑏𝑢𝑙𝑒𝑢𝑥 𝑡𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑛 𝑠𝑎𝑖𝑡 : 𝑚𝑎𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑝𝑎𝑟𝑢𝑟𝑒𝑠, 𝑏𝑖𝑗𝑜𝑢𝑥, 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑣𝑎𝑠𝑒𝑠... 𝐸𝑡 « 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒 𝑒𝑛 𝑜𝑟 », 𝑟𝑒𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑟𝑒̀𝑡𝑒, 𝑡𝑎𝑛𝑔𝑖𝑏𝑙𝑒, 𝑠'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑢𝑙𝑠𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟. 𝐿𝑎 𝑟𝑒́𝑠𝑢𝑟𝑟𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒́, 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑎𝑛𝑡. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑠𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑠𝑢𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠, 𝑒𝑛 𝑢𝑛 𝑓𝑒𝑒𝑑-𝑏𝑎𝑐𝑘 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑎𝑛𝑒𝑛𝑡, 𝑎̀ 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑚𝑒̂𝑚𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑎̀ 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒, 𝑜𝑢̀ 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑓𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑠, 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑀𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑛𝑒́𝑒, 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑟𝑑𝑖𝑠 𝑛𝑎𝑣𝑖𝑔𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠. 𝑈𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑎𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛 𝑑'𝑜𝑏𝑗𝑒𝑡𝑠 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒́𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑒𝑛𝑛𝑖𝑒𝑠. 𝑃𝑎𝑟 𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑛 1952, 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑖𝑛𝑒́𝑎𝑖𝑟𝑒 𝐵 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑚𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑛𝑖𝑒, 𝑀𝑖𝑐ℎ𝑎𝑒𝑙 𝑉𝑒𝑛𝑡𝑟𝑖𝑠, 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑠𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝐽𝑜ℎ𝑛 𝐶ℎ𝑎𝑑𝑤𝑖𝑐𝑘, 𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑖𝑠 𝑢𝑛 « 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑏𝑜𝑛𝑑 𝑒𝑛 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 » 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒. 𝐿𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟-𝑜𝑏𝑠𝑐𝑢𝑟, 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑢𝑝, 𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑐𝑟𝑢𝑒 – 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠'𝑖𝑙 𝑠𝑢𝑏𝑠𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑧𝑜𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 –, 𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑒𝑟𝑡𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑡𝑖𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐸𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒𝑠, 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒𝑠, 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑖𝑛𝑒́, 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑣𝑒𝑠, 𝑎𝑢 𝑓𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑒́𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑝𝑢𝑧𝑧𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑠𝑐𝑖𝑛𝑎𝑛𝑡. 𝐶𝑎𝑟 𝑠𝑖 𝑙'ℎ𝑒́𝑔𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑡𝑟𝑖𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒 1.400 𝑎𝑣. 𝐽.-𝐶., 𝑖𝑙 𝑦 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑃𝑒́𝑙𝑜𝑝𝑜𝑛𝑛𝑒̀𝑠𝑒 – 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑡𝑜𝑚𝑖𝑠𝑒́ 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡 𝑛𝑒𝑡𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝐵𝑒́𝑜𝑡𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝐴𝑡𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 – 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡𝑒́ 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠- 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑠𝑖 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠, 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 : 𝐻𝑜𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑛'𝑒𝑛 𝑚𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒-𝑡-𝑖𝑙 𝑝𝑎𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑚𝑒𝑢𝑥 𝐶𝑎𝑡𝑎𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑎𝑢 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡 𝐼𝐼 𝑑𝑒 𝑙'𝐼𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑝𝑎𝑟 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑃𝑦𝑙𝑜𝑠, 𝐴𝑟𝑔𝑜𝑠 𝑒𝑡 𝑇𝑖𝑟𝑦𝑛𝑡ℎ𝑒, 𝐿𝑎𝑐𝑒́𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝐴𝑟𝑐𝑎𝑑𝑖𝑒 ? 𝑪𝒆𝒔 𝒐𝒖𝒃𝒍𝒊𝒆́𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑀𝑒̂𝑚𝑒 𝑠𝑖 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑜𝑖𝑟, 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 « 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑'𝑜𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔 » 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑒𝑛𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑢𝑎𝑛𝑐𝑒́𝑒, 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑒́𝑟𝑒́𝑒. 𝐷𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 « 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 » 𝑑𝑒 𝑆𝑐ℎ𝑙𝑖𝑒𝑚𝑎𝑛𝑛, 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠𝑎𝑔𝑒 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑎 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑒́. 𝐼𝑙 𝑎 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑙𝑙𝑢 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒, 𝑡𝑟𝑜𝑝 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝐴𝑡𝑟𝑖𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑙𝑒́𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑐𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒́ 𝑙𝑒𝑠 𝑀𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝑜𝑢𝑏𝑙𝑖𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒, 𝑐𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑐ℎœ𝑢𝑟 𝑎𝑛𝑜𝑛𝑦𝑚𝑒 𝑒𝑡 𝑚𝑢𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑛'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒́ 𝑑𝑒 𝑟𝑦𝑡ℎ𝑚𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑟𝑎𝑚𝑎𝑡𝑢𝑟𝑔𝑖𝑒. 𝐶𝑒𝑢𝑥-𝑐𝑖 𝑜𝑛𝑡 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑠𝑢𝑟𝑔𝑖, 𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑢𝑟𝑑𝑖𝑛𝑒. 𝐸𝑡 𝑞𝑢𝑜𝑖𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑢 𝑠𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑒𝑢 𝑏𝑟𝑢𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒, 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒́ (𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑣𝑒) 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟. 𝐷𝑒 𝑟𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒, ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 – 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑖𝑚𝑝𝑟𝑒́𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 – 𝑑'𝑖𝑛𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑠, 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑠 𝑏𝑜𝑢𝑡𝑖𝑞𝑢𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑎𝑣𝑖𝑠𝑒́𝑠 𝑒𝑡 – 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑡𝑢𝑝𝑒́𝑓𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 – 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑢𝑠𝑖𝑛𝑒𝑠𝑠𝑚𝑒𝑛 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑠 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢𝑐𝑟𝑎𝑡𝑒𝑠 𝑢𝑙𝑡𝑟𝑎-𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑥 ! 𝑆𝑎𝑛𝑠 𝑜𝑢𝑏𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑛𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑟, 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑜𝑢 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑟, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑢 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑣𝑢 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎𝑐𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑒 𝑒𝑥𝑖𝑔𝑢𝑒̈ 𝑡𝑎𝑝𝑖𝑒 𝑎̀ 𝑓𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑒𝑚𝑏𝑢𝑠𝑞𝑢𝑒́𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 15 𝑘𝑖𝑙𝑜𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜̂𝑡𝑒. 𝑉𝑜𝑖𝑙𝑎̀ 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑀𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒́𝑠 𝑒̂𝑡𝑟𝑒. 𝑅𝑒𝑡𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒́𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒́𝑛𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑛𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑒𝑠𝑞𝑢𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑟𝑖𝑔𝑢𝑒𝑠, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑛𝑖 𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑠 𝑚𝑜𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑖 𝑝𝑎𝑛𝑡𝑜𝑢𝑓𝑙𝑎𝑟𝑑𝑠 – 𝑒𝑛 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠. 𝑈𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑒́ 𝑓𝑟𝑢𝑠𝑡𝑒, 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑖̈𝑞𝑢𝑒, 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒𝑥𝑖𝑡𝑒́ 𝑛𝑖 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑓𝑓𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐸𝑡 𝑙'𝑜𝑛 𝑎 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑞𝑢'𝑎𝑢 𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑑𝑢 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑟𝑖𝑚𝑒 𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡 – 𝑚𝑖𝑐𝑟𝑜-𝑝𝑜𝑙𝑖𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 – 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑟𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑟𝑡𝑢𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑛𝑡𝑢𝑒𝑠, 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒, 𝑜𝑝𝑢𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑒́𝑐ℎ𝑜𝑝𝑝𝑒𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑡𝑒𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑡𝑎𝑑𝑖𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑢𝑛 𝑚𝑒𝑛𝑢 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒, ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒̂𝑡𝑒, 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟, 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑔𝑢𝑒̀𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑒𝑚𝑝𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔, 𝑟𝑒́𝑒𝑙𝑠 𝑜𝑢 𝑓𝑖𝑐𝑡𝑖𝑓𝑠, 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒 𝑑'𝑒𝑛 ℎ𝑎𝑢𝑡. 𝑇𝑎𝑛𝑡 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑣𝑟𝑎𝑖 𝑞𝑢𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑞𝑢𝑜𝑡𝑖𝑑𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 𝐺𝑟𝑒𝑐𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑢𝑟𝑔𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒 𝑔𝑟𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒 𝑠'𝑎𝑣𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑟𝑜𝑚𝑎𝑛𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑖𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑒 𝑙'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑛𝑐𝑢𝑙𝑞𝑢𝑒́ 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑔𝑎 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑡𝑟𝑖𝑑𝑒𝑠. 𝑂𝑛 𝑜𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑛𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑒́𝑔𝑎𝑟𝑑. 𝑆𝑖 𝑐𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑥𝑡𝑒. 𝑆𝑖 𝑐𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢'𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑒𝑢𝑥, 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙'𝑎𝑣𝑒𝑛𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑔𝑟𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒. 𝐵𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑢-𝑑𝑒𝑙𝑎̀ 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑒́𝑝𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 – 𝑠𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒 –, 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑎 𝑓𝑜𝑢𝑟𝑛𝑖 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙'𝑎 𝑑'𝑜𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑎𝑚𝑝𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑜𝑓𝑓𝑒́𝑒. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 « 𝑟𝑒́𝑒𝑙𝑙𝑒 » 𝑠𝑒 𝑙𝑖𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢. 𝐸𝑛 𝑒𝑠𝑞𝑢𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒, 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑙𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝑙𝑎 « 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑑𝑒 » 𝑐ℎ𝑒̀𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒́𝑒 𝑔𝑟𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒 : 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑎𝑝𝑜𝑔𝑒́𝑒, 𝑑𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑛. 𝑉𝑒𝑟𝑠 1.800 𝑎𝑣. 𝐽.-𝐶., 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙'𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑜𝑛𝑠 𝐺𝑟𝑒𝑐𝑠, 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑖𝑛𝑖-𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑑'𝑢𝑛 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑡 𝑛𝑒́𝑜𝑙𝑖𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐹𝑟𝑎𝑖̂𝑐ℎ𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡𝑠 𝑚𝑜𝑑𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠. 𝑃𝑢𝑖𝑠, 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒 1.600, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒, 𝑝𝑟𝑜𝑠𝑝𝑒̀𝑟𝑒, 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒 𝑎̀ 𝑚𝑎𝑡𝑢𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑠𝑖 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒, 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 1.400 𝑒𝑡 1.100 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑝𝑒𝑟𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙𝑒 – 𝐴𝑔𝑎𝑚𝑒𝑚𝑛𝑜𝑛 𝑎𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑢̂ 𝑣𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑋𝐼𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡 𝑎̂𝑔𝑒 𝑑'𝑜𝑟. 𝑃𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑡𝑖𝑒́ 𝑑𝑢 𝐼𝐼𝑒 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑛𝑜𝑚𝑒, 𝑟𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑙𝑎 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟𝑒 𝐻𝑒𝑙𝑙𝑎𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑣𝑖𝑟𝑖𝑙𝑒, 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑖𝑡𝑠, 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠𝑠𝑒. 𝐿𝑒𝑛𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, ℎ𝑎𝑏𝑖𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑖𝑒𝑟𝑡 𝑙𝑎 𝑀𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑛𝑒́𝑒 𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙𝑒. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 ℎ𝑖𝑡𝑡𝑖𝑡𝑒𝑠, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑝ℎ𝑎𝑟𝑎𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑋𝑉𝐼𝐼𝐼𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑋𝐼𝑋𝑒 𝑑𝑦𝑛𝑎𝑠𝑡𝑖𝑒. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑙𝑎 𝐶𝑟𝑒̀𝑡𝑒 – 𝑞𝑢𝑖 𝑙'𝑎 « 𝑠𝑒́𝑑𝑢𝑖𝑡𝑒 », 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑛𝑣𝑎ℎ𝑖𝑡 𝑛𝑒́𝑎𝑛𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 1.400 –, 𝑒𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟. 𝐿'𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ : 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠𝑎𝑛𝑛𝑒, 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑔𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑡𝑖𝑚𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐̧𝑎𝑛𝑡𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑀𝑖𝑛𝑜𝑒𝑛𝑠, 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎 𝑏𝑟𝑖𝑙𝑙𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑚𝑖𝑙𝑒́ 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒́𝑝𝑎𝑛𝑜𝑢𝑖𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝐻𝑒𝑙𝑙𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑟𝑎 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟, 𝑠'𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑠'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑚𝑎𝑒𝑠𝑡𝑟𝑖𝑎, 𝑚𝑜𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑣𝑟𝑒. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑔𝑟𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒, 𝑢𝑛 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑖. 𝐿𝑒 𝑑𝑒́𝑛𝑜𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠, 𝑑𝑟𝑎𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐶𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑎𝑜𝑟𝑑𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑛𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑠'𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑎𝑡𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑝ℎ𝑒𝑠, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑣𝑎𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑚𝑎𝑗𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑜𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒́ 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒. 𝐿'𝑢𝑛𝑒, 𝑣𝑒𝑟𝑠 2.000 𝑎𝑣. 𝐽.-𝐶., 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑒𝑢𝑥-𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑎𝑔𝑜𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒, 𝐼𝑛𝑑𝑜-𝐸𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑛𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑒́𝑚𝑜𝑢𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑣𝑎𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑅𝑢𝑠𝑠𝑖𝑒 𝑜𝑢 𝑑'𝐸𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑟𝑟𝑢𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝐸́𝑔𝑒́𝑒. 𝐿'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒, 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑙𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 1.200 𝑎𝑣. 𝐽.-𝐶., 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑙𝑙𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑏𝑖𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑜𝑢𝑟𝑖𝑟 : 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢𝑥 𝐺𝑟𝑒𝑐𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑑𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑, 𝑙𝑒𝑠 𝐷𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑦𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑝𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑢𝑟𝑠. 𝐿𝑒 𝑠𝑐𝑒́𝑛𝑎𝑟𝑖𝑜 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑒́𝑡𝑎. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑣𝑎𝑔𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑏𝑚𝑒𝑟𝑔𝑒𝑎 𝑙'𝐻𝑒𝑙𝑙𝑎𝑑𝑒, 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑖𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑓𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑓𝑒𝑢. 𝑈𝑛𝑒 𝑎𝑝𝑜𝑐𝑎𝑙𝑦𝑝𝑠𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑐𝑡𝑖𝑚𝑒. 𝑆𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟 𝑟𝑜𝑖, 𝑇𝑖𝑠𝑎𝑚𝑒́𝑛𝑜𝑠, 𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑'𝑂𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒, 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑓𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑦𝑠. 𝑆𝑜𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑣𝑎𝑐𝑖𝑙𝑙𝑎, 𝑠'𝑒́𝑐𝑟𝑜𝑢𝑙𝑎, 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠, 𝑎𝑛𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑖 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑏𝑎𝑟𝑏𝑎𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠'𝑎𝑏𝑎𝑡𝑡𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠. 𝑃𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑒, 𝑒𝑚𝑏𝑟𝑎𝑠𝑒́𝑒, 𝑑𝑒́𝑣𝑎𝑠𝑡𝑒́𝑒, « 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒 𝑒𝑛 𝑜𝑟 » 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑎𝑦𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒. 𝑄𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑐𝑎𝑝𝑒́𝑠 𝑟𝑒́𝑢𝑠𝑠𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑒́𝑚𝑖𝑔𝑟𝑒𝑟 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙'𝐸́𝑔𝑒́𝑒 𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑖𝑛𝑒, 𝑖𝑛𝑒́𝑙𝑢𝑐𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒. 𝐴𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑢𝑚𝑢𝑙𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑎 𝑓𝑖𝑛𝑖 𝑝𝑎𝑟 𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟, 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑎 𝑏𝑟𝑖𝑠𝑒́ : 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒. 𝐿𝑒 𝑝ℎ𝑒́𝑛𝑜𝑚𝑒̀𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑜𝑟𝑑𝑖𝑎𝑙. 𝐿𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑓𝑖𝑐ℎ𝑒́𝑒 𝑎𝑢 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑒́ 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠. 𝐿𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑛'𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑟𝑐𝑜𝑛𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐼𝑙𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑢𝑡, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑠 𝑐𝑦𝑐𝑙𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒́𝑙𝑎𝑏𝑜𝑟𝑒́𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒. 𝐿'𝑜𝑟 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖. 𝐶𝑎𝑟 « 𝑙'𝑜𝑟 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑐𝑖 𝑙'𝑒𝑛𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑛𝑔 », 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑡𝑖𝑛𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝐽𝑎𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠 𝐿𝑎𝑐𝑎𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒. 𝐿'𝑜𝑟, 𝑏𝑢𝑡𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒. 𝐴 𝑒𝑛 𝑗𝑢𝑔𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑓𝑠-𝑑'œ𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑎𝑣. 𝐽.-𝐶. 𝑚𝑖𝑠 𝑎𝑢 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑆𝑐ℎ𝑙𝑖𝑒𝑚𝑎𝑛𝑛, 𝑖𝑛𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑢̂ 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑢𝑟𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝐶𝑟𝑒̀𝑡𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑓𝑠 𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒́𝑟𝑖𝑟 𝑙'𝑖̂𝑙𝑒. 𝐼𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑠'𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑒 « 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 ». 𝐴𝑢 𝑠𝑢 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑙𝑖𝑡𝑠 𝑑'𝑒𝑛𝑣𝑒𝑟𝑔𝑢𝑟𝑒. 𝐴 𝑙'𝑒𝑥𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑠𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑙𝑙𝑖𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑟𝑒́𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑒́𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑'𝑢𝑛 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑠𝑢𝑝𝑟𝑒̂𝑚𝑒 – 𝐴𝑔𝑎𝑚𝑒𝑚𝑛𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑟𝑜𝑖𝑒 –, 𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑜𝑡𝑖𝑑𝑖𝑒𝑛, 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑐𝑎𝑙𝑎𝑚𝑖𝑡𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑠 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒, 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑖𝑜𝑠𝑒. 𝑅𝑎𝑧𝑧𝑖𝑎𝑠, 𝑟𝑎𝑝𝑖𝑛𝑒𝑠, 𝑝𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒𝑠, 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑎𝑢𝑑𝑎𝑐𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑢𝑖𝑡, 𝑙𝑢𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒𝑙𝑒𝑡𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑣𝑖𝑜𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑒́𝑐ℎ𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝐿𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐻𝑜𝑚𝑒̀𝑟𝑒, 𝑙𝑎̀-𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠, 𝑛'𝑎 𝑔𝑢𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒́𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́ 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑠. 𝐵𝑒𝑙𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑢𝑥, 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠, ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑜𝑙𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑠'𝑖𝑙 𝑒𝑛 𝑓𝑢𝑡, 𝑐𝑒𝑠 𝑏𝑙𝑜𝑛𝑑𝑠 𝐴𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠 « 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑙𝑢𝑠 » – 𝑖𝑙𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑠, 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑟𝑏𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑢𝑠𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒 – 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑟𝑎𝑧𝑧𝑖𝑒𝑟, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑟𝑎𝑣𝑖𝑟. « 𝑆𝑎𝑐𝑐𝑎𝑔𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 », 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑣𝑜𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠, 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑑'𝑜𝑟. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒-𝑙𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑓𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑒𝑢𝑠𝑒, 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑙𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑙𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑙'𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑜𝑙, 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑑𝑖𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒. 𝑅𝑒𝑡𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑟𝑒𝑑𝑜𝑢𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑔𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑓𝑎𝑛𝑡𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑠, 𝑐𝑎𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑑𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑒́𝑟𝑜𝑐𝑒𝑠, 𝑒𝑛𝑖𝑣𝑟𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑣𝑖𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑒𝑟𝑝𝑒́𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑖- 𝑣𝑖𝑣𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑡𝑡𝑎𝑞𝑢𝑒, 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑖𝑚𝑝𝑎𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑝𝑖𝑒̀𝑐𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑔𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥-𝑐𝑖 𝑣𝑖𝑛𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑜𝑢 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑒𝑟, 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑚𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑟𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒̂𝑙𝑒́𝑒𝑠. 𝐿𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑙𝑒𝑢𝑟 « 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑟𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 » 𝑓𝑎𝑣𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒. 𝐸𝑡 𝑒𝑛 𝑐𝑒 𝑑𝑜𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 « 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙𝑒𝑟𝑖𝑒 » 𝑏𝑎𝑟𝑏𝑎𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑠'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑎𝑟𝑒 𝑣𝑖𝑔𝑢𝑒𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑎𝑑𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑚𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑙𝑜𝑢𝑟𝑑𝑠 𝑣𝑎𝑛𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑏𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐿𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑠'𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑖𝑎𝑓𝑓𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡 𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑢𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑟𝑜𝑖 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑑𝑎𝑡𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒. 𝐴 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑓𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑'𝐴𝑟𝑔𝑜𝑠, 𝑣𝑜𝑛𝑡-𝑖𝑙𝑠 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑠𝑖𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑡𝑟𝑜𝑝 𝑒𝑛𝑣𝑎ℎ𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑜𝑢 𝑠𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑛𝑛𝑒𝑚𝑖 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑙𝑜𝑖𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛, 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑎𝑢 𝑓𝑖𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑑 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝐴𝑟𝑐𝑎𝑑𝑖𝑒 ? 𝑉𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑜𝑢𝑏𝑙𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒, 𝑒𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑎𝑠, 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑙𝑒́ 𝑑𝑒 « 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑏𝑟𝑜𝑛𝑧𝑒 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑥 𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑡 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑙𝑒𝑛𝑑𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡, 𝑎̀ 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙'𝑒́𝑡ℎ𝑒𝑟, 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎𝑢 𝑐𝑖𝑒𝑙 » – 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖-𝑙𝑎̀ 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 𝐻𝑜𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑟𝑜𝑖𝑒. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 𝐺𝑟𝑒𝑐𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠'𝑒𝑛𝑟𝑎𝑐𝑖𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟, 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑢𝑑𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒, 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑓 𝑑𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑒𝑟, 𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑚𝑜𝑛𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡, 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́ 𝑒𝑡, 𝑝𝑎𝑟 𝑣𝑜𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒́𝑞𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑡𝑦𝑝𝑒 𝑝𝑎𝑡𝑟𝑖𝑎𝑟𝑐𝑎𝑙, 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 ℎ𝑖𝑒́𝑟𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑠𝑒́𝑒, 𝑠𝑜𝑢𝑐𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑑'𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑑𝑒́𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝑈𝑛𝑒 « 𝑓𝑒́𝑜𝑑𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ » 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒, 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒. 𝐻𝑜𝑟𝑚𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑛𝑔𝑢𝑙𝑎𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑖𝑛𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑢𝑒𝑠, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑝𝑒́𝑒 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́ 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑢 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑖𝑛𝑒́𝑎𝑖𝑟𝑒 𝐵, 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡, 𝑎̀ 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑎̀ 𝑃𝑦𝑙𝑜𝑠 𝑜𝑢 𝑎̀ 𝐶𝑛𝑜𝑠𝑠𝑜𝑠, 𝑜𝑢̀ 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑚𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑗𝑜𝑢𝑟, 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑡𝑖𝑎𝑙𝑒𝑠. 𝐸𝑛 𝑔𝑟𝑜𝑠, 𝑙𝑎 𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑜-𝑒𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑡𝑟𝑖𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑡𝑟𝑖𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒́𝑒 : 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑒́𝑠, 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒́𝑒𝑠 – 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠-𝑠𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠 – 𝑑𝑖𝑟𝑖𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑖𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠𝑖𝑒̀𝑚𝑒, 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑣𝑎𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒, 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒, 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑠. 𝐶𝑒 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑠 𝑑'𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑 𝑝𝑎𝑦𝑠𝑎𝑛, 𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑠'𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑝𝑒́𝑐𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑠𝑠𝑒́𝑒. 𝐴 𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑠𝑢̂𝑟, 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑓𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠. 𝐼𝑙 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑣𝑒́𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑢̂ 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑝𝑒𝑟𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑒́𝑑𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑑'𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒 𝑎𝑛𝑎𝑡𝑜𝑙𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑠'𝑎𝑚𝑎𝑙𝑔𝑎𝑚𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡. 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑒𝑛 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 ℎ𝑖𝑒́𝑟𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑒, 𝑑𝑜𝑛𝑐, 𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑖 – 𝑙𝑒 𝑤𝑎-𝑛𝑎-𝑘𝑎, 𝑙𝑒 𝑤𝑎𝑛𝑎𝑥 𝑑𝑢 𝑔𝑟𝑒𝑐 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝑈𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡-𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡, 𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠𝑝𝑜𝑡𝑒, 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑐𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑡ℎ𝑒́𝑜𝑐𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑚𝑜𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑚𝑎𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑠'𝑜𝑐𝑡𝑟𝑜𝑖𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑠 – 𝑑𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑡. 𝑃𝑟𝑜𝑡𝑜𝑡𝑦𝑝𝑒, 𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒, 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑏𝑠𝑜𝑙𝑢, 𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑛 𝑐𝑒𝑙𝑎, 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠. 𝐴 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑝𝑟𝑒̀𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑓𝑜𝑖𝑠, 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝐸́𝑡𝑎𝑡. 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑠𝑡𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛 « 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑 », 𝑙𝑒 𝑟𝑎-𝑤𝑎-𝑘𝑒-𝑡𝑎 (𝑙𝑎𝑤𝑎𝑔𝑒́𝑡𝑎𝑠), 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑚𝑎𝑙ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑓𝑙𝑜𝑢, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒̀𝑑𝑒, 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑟 𝑑𝑢 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛, 𝑠𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑣𝑎𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒́𝑚𝑒́𝑛𝑒́. 𝑂𝑛 𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑝 𝑠'𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑣𝑖𝑧𝑖𝑟 𝑜𝑢 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑢 𝑡𝑖𝑡𝑟𝑒 « 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 », 𝑛'𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒́𝑐𝑎𝑛𝑖𝑠𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑙 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑠. 𝐸𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑎𝑠, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙'ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑢 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑚𝑒 𝑚𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛, 𝑢𝑛 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑚𝑒 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑐𝑒́𝑝ℎ𝑎𝑙𝑒. 𝐸𝑡 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑖𝑚𝑝𝑢𝑙𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡 𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢𝑜 𝑞𝑢𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑎 𝑝𝑢 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑡𝑒́ 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝐿'𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑛𝑜𝑣𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑙𝑒 « 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑢 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑒 », 𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑛𝑜𝑛𝑦𝑚𝑒 𝑐𝑜𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑝𝑖𝑒𝑟. 𝑇𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝑩𝒖𝒓𝒆𝒂𝒖𝒄𝒓𝒂𝒕𝒊𝒆 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒕𝒂𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́ 𝐽𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑎𝑢-𝑑𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑟𝑖𝑔𝑒𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑟𝑒̂𝑚𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒́𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑠 𝑑𝑖𝑔𝑛𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑎𝑟𝑖𝑠𝑡𝑜𝑐𝑟𝑎𝑡𝑒𝑠 𝑜𝑢 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒̀𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑑𝑜𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑖𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑠 : 𝑡𝑒-𝑟𝑒-𝑡𝑎 (𝑡𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑎𝑖), 𝑒-𝑞𝑒-𝑡𝑎 (ℎ𝑒́𝑘𝑒́𝑡𝑎𝑖), 𝑝𝑎-𝑠𝑖-𝑟𝑒-𝑢 (𝑏𝑎𝑠𝑖𝑙𝑒𝑢𝑠)... 𝐶𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑡𝑟𝑎-𝑚𝑢𝑟𝑜𝑠, 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑜𝑥𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠. 𝐵𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑣𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑏𝑎𝑠𝑠𝑒, 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒. 𝐶𝑎𝑟 𝑖𝑙𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 – 𝑙'𝑒𝑛𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 – 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑓𝑓𝑖𝑐𝑎𝑐𝑒, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑑'𝑒𝑚𝑝𝑙𝑜𝑦𝑒́𝑠 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡, 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑑𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑙𝑙𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒́𝑒𝑠. 𝐿𝑎̀, 𝑙𝑎 𝑠𝑡𝑢𝑝𝑒́𝑓𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑓𝑢𝑡 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑖𝑛𝑒́𝑎𝑖𝑟𝑒 𝐵 𝑝𝑎𝑟𝑣𝑖𝑛𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑦𝑝𝑡𝑒́𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑤𝑎-𝑛𝑎-𝑘𝑎 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑟𝑎-𝑤𝑎-𝑘𝑒-𝑡𝑎, 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑒, 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑜̂𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒, 𝑖𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑠'𝑒𝑓𝑓𝑜𝑟𝑐̧𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑑'𝑒𝑛 𝑒́𝑙𝑒𝑣𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑛𝑖𝑣𝑒𝑎𝑢. 𝐼𝑙𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑖𝑑𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑎̂𝑐ℎ𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜ℎ𝑜𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑒́𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑎𝑖𝑔𝑢 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑑𝑒́𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐹𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑧𝑒́𝑙𝑒́𝑠, 𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑒́𝑜𝑡𝑦𝑝𝑒́𝑠, 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑜𝑏𝑜𝑡𝑖𝑠𝑒́𝑠. 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑎𝑑𝑟𝑖𝑙𝑙𝑒́, 𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑔𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑛𝑒́ 𝑎̀ 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑟𝑒𝑛𝑓𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒𝑠. 𝐼𝑙 𝑦 𝑟𝑒́𝑔𝑛𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑣𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐴𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 – 𝑐𝑎𝑟 𝑐'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑙𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 – 𝑐𝑜𝑢𝑐ℎ𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑢 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑑'𝑖𝑛𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑔𝑖𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑝𝑦𝑟𝑢𝑠 𝑜𝑢 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑒̀𝑣𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑢𝑡𝑜𝑛, 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑚𝑒 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑛𝑐𝑟𝑒 – 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑙'ℎ𝑦𝑝𝑜𝑡ℎ𝑒̀𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑢𝑙𝑒 𝐽𝑜ℎ𝑛 𝐶ℎ𝑎𝑑𝑤𝑖𝑐𝑘, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑑'𝑎𝑟𝑔𝑖𝑙𝑒 𝑛'𝑎𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢̂ 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑟𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑠. 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒́, 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑦 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡, 𝑑𝑢 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑'𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑜𝑏𝑙𝑖𝑔𝑎𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑐ℎ𝑜𝑛𝑠, 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑖𝑑𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑟𝑜𝑛𝑧𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑔𝑒𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑐𝑖𝑛𝑞 𝑐𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑙𝑒̀𝑐ℎ𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑜𝑢𝑒́𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑎𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒, 𝑑𝑢 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑓𝑓𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 (ℎ𝑢𝑖𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑢𝑚𝑒́𝑒, 𝑏𝑙𝑒́, 𝑣𝑖𝑛, 𝑚𝑖𝑒𝑙, 𝑓𝑟𝑜𝑚𝑎𝑔𝑒, 𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢, 𝑏𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟...) 𝑑𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛𝑖𝑡𝑒́𝑠. 𝐸𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒́, 𝑒́𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑡𝑒́, 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑜𝑖𝑠 𝑜𝑢 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑏𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑠𝑖𝑒𝑟, 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑖𝑒̀𝑐𝑒 𝑠𝑝𝑒́𝑐𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠, 𝑙𝑎 𝑠𝑎𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑣𝑒𝑠 – 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑'𝑒́𝑚𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑙𝑖𝑛𝑔𝑢𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑎𝑖𝑛𝑠. 𝑅𝑒𝑐𝑒𝑛𝑠𝑒𝑟 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑢𝑛𝑒 𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑎𝑛𝑒𝑛𝑡𝑒, 𝑜𝑏𝑠𝑒́𝑑𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑒𝑡 𝑐𝑒 𝑑𝑒́𝑙𝑖𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑢𝑟𝑚𝑖𝑠 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑢̂ 𝑚𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑑'𝑜𝑓𝑓𝑟𝑖𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑢𝑙𝑒 𝑑'𝑒𝑚𝑝𝑙𝑜𝑖𝑠 𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 ! 𝐸𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒, 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑢𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑛𝑟𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 – 𝑜𝑛 𝑙'𝑎 𝑣𝑢 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑏𝑟𝑜𝑛𝑧𝑒. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒 𝑠𝑖 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑡𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑛𝑛𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑠 𝑎𝑢 𝑝𝑖𝑙𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑓𝑖𝑛 𝑑'𝑒𝑥𝑒𝑟𝑐𝑖𝑐𝑒. 𝐸𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑒𝑛𝑢𝑒 𝑒𝑛 𝑔𝑟𝑒𝑐 – 𝑜𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 𝑒𝑛 𝑢𝑛 𝑑𝑖𝑎𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑔𝑟𝑒𝑐, 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛, 𝑙'𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛. 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑠𝑐𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑎𝑢𝑡𝑒́𝑠 𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑔𝑛𝑎𝑖𝑡, 𝑜𝑚𝑛𝑖𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢𝑐𝑟𝑎𝑡𝑖𝑒 𝑡𝑎𝑡𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒, ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑒́𝑒, 𝑚𝑜𝑑𝑒̀𝑙𝑒 𝑑'𝑎𝑑𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑠𝑖𝑛, 𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡, 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑢 𝑃𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒-𝑂𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝐸́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒. 𝐿𝑒 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑦 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑎𝑛𝑡. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑡𝑒𝑛𝑡, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒-𝑐𝑖 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑎𝑝𝑎𝑛𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 « 𝑐𝑎𝑠𝑡𝑒 » 𝑑𝑒 𝑠𝑐𝑟𝑖𝑏𝑒𝑠. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 « 𝑙'𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑓𝑎𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 » (𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝐿𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒) : 𝑖𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑎𝑑𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑛𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 – 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑢𝑡 𝑑'𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒, 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒 𝑚𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑛𝑖 𝑙𝑖𝑟𝑒 𝑛𝑖 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑟𝑒. 𝐽𝑜ℎ𝑛 𝐶ℎ𝑎𝑑𝑤𝑖𝑐𝑘 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑢𝑚𝑒 : « 𝐿'𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑛'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑔𝑎𝑔𝑛𝑒́ 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑒𝑛 𝑑𝑒ℎ𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢𝑥 : 𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑒́, 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑏𝑙𝑒𝑠, 𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑖𝑙𝑙𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒́𝑠. 𝑃𝑎𝑠𝑠𝑒́𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑚𝑖𝑛𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑖𝑟𝑖𝑔𝑒𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑙𝑎 𝑝𝑦𝑟𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒 ℎ𝑖𝑒́𝑟𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑠'𝑒́𝑣𝑎𝑠𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑐𝑜𝑢𝑝 : 𝑙𝑒 𝑑𝑒̂𝑚𝑜𝑠 𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒. 𝐿𝑎̀ 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖, 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́ 𝑟𝑒𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑒́ 𝑔𝑟𝑎̂𝑐𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠. 𝐿𝑎 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒́𝑠ℎ𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑢 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑐𝑙𝑎𝑣𝑒𝑠, 𝑎𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑐ℎ𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑎𝑙𝑒. 𝐷𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑐𝑙𝑎𝑣𝑒𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝑎 : 𝑙𝑒 𝑤𝑎-𝑛𝑎-𝑘𝑎, 𝑙𝑒 𝑟𝑎-𝑤𝑎-𝑘𝑒-𝑡𝑎, 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑔𝑛𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑓𝑜𝑟𝑔𝑒𝑟𝑜𝑛𝑠. 𝐿𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑢𝑡 𝑗𝑢𝑟𝑖𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑠'𝑖𝑙𝑠 𝑒𝑛 𝑜𝑛𝑡 𝑢𝑛, 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢. 𝑃𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑒𝑢𝑥, 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠, 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑑'𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 : 𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 « 𝑐𝑎𝑝𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑢𝑡𝑖𝑛 », 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑖𝑑𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑖𝑟𝑎𝑡𝑒𝑟𝑖𝑒. 𝑁𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠, 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑣𝑜𝑢𝑒́𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑑𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑚𝑒𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 : 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑙'𝑒𝑎𝑢, 𝑚𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑖𝑛, 𝑓𝑖𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑛… 𝑨 𝒍'𝒆𝒏𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝑴𝒚𝒄𝒆̀𝒏𝒆𝒔 𝐿'𝑖𝑚𝑚𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑚𝑎𝑗𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑚𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛, 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑖𝑡 ℎ𝑜𝑟𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠-𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒, 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠𝑎𝑛𝑠. 𝑃𝑎𝑠𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 – 𝑏𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠, 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑏𝑜𝑢𝑣𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑝𝑜𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟𝑠, 𝑠𝑖 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝐻𝑜𝑚𝑒̀𝑟𝑒 –, 𝑞𝑢𝑖 𝑒́𝑙𝑒̀𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑒́𝑛𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑢𝑡𝑜𝑛𝑠 (𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑒̂𝑡𝑒𝑠), 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠, 𝑑𝑒 𝑏𝑜𝑣𝑖𝑛𝑠, 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑐𝑠, 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑢𝑥 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑠𝑖 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠. 𝐴𝑔𝑟𝑖𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖, 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑐𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒, 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑙'𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑙𝑎𝑏𝑜𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠. 𝐷𝑒𝑠 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑒𝑠 (𝑏𝑙𝑒́ 𝑒𝑡 𝑜𝑟𝑔𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡), 𝑏𝑎𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑜𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑒𝑠, 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐷𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑝𝑎𝑟 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑙𝑖𝑣𝑖𝑒𝑟𝑠 (𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙'ℎ𝑢𝑖𝑙𝑒), 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 – 𝑜𝑛 𝑏𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑏𝑖𝑒̀𝑟𝑒 – 𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑏𝑢𝑠𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑡𝑦𝑝𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑛𝑒́𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑢𝑛 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐴 𝑙'𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑠, 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑙𝑜𝑝𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑎𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑔𝑟𝑖𝑔𝑛𝑜𝑡𝑒́𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒. 𝑃𝑙𝑢𝑠 𝑙𝑜𝑖𝑛, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑'𝐴𝑟𝑔𝑜𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑎̂𝑡𝑢𝑟𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑡𝑎𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑡 𝑡𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒, 𝑏𝑟𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑑'𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑣𝑖𝑣𝑒𝑠, 𝑔𝑜𝑟𝑔𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑖̂𝑐ℎ𝑒𝑢𝑟. 𝐸𝑡 𝑢𝑛𝑒 ℎ𝑢𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑏𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑛𝑜𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑚𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒𝑠, ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑡 𝑟𝑢𝑟𝑎𝑙 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑒𝑟𝑠𝑒́ 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎 𝑎𝑢 𝑓𝑖𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠. « 𝐻𝑢𝑡𝑡𝑒𝑠 », « 𝑐𝑎𝑏𝑎𝑛𝑒𝑠 » 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑟𝑐ℎ𝑖𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑟𝑢𝑑𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑟𝑢𝑒, 𝑎̀ 𝑝𝑖𝑒̀𝑐𝑒 𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡, ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑁𝑒́𝑜𝑙𝑖𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐸𝑛 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙, 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑒̀𝑔𝑙𝑒, 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑒 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑒́𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑜-𝑒𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 : 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑘𝑒́-𝑘𝑒́-𝑚𝑒́-𝑛𝑎 𝑘𝑜-𝑡𝑜-𝑛𝑎. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑖𝑒́𝑡𝑒́𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒𝑠. 𝑂𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑡𝑒́𝑚𝑒́𝑛𝑒́, 𝑎̀ 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠, 𝑒𝑛 𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑏𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑜𝑦𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐𝑒𝑠 : 𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑙𝑎 𝑘𝑖-𝑡𝑖-𝑚𝑒́-𝑛𝑎 𝑘𝑜-𝑡𝑜-𝑛𝑎, 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑎𝑐𝑞𝑢𝑖𝑠𝑒, 𝑠𝑎𝑖𝑠𝑖𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑎𝑢𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠. 𝐸𝑡 𝑝𝑢𝑖𝑠, 𝑝𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢, 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑟𝑐𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 : 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑛𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 (𝑜-𝑛𝑎-𝑡𝑎). 𝐸𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑟𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑛 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑣𝑒𝑠𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑞𝑢'𝑒𝑥𝑖𝑔𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑡𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑏𝑢𝑠𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠. 𝑂𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑖𝑒́𝑡𝑒́ 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑣𝑖𝑑𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑖𝑒́𝑡𝑒́ « 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑒́𝑒 » 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛 𝑒𝑠𝑠𝑜𝑟 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝐼𝑒𝑟 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑣. 𝐽.-𝐶. 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑎𝑢 𝑙𝑜𝑛𝑔 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑚𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒̀𝑟𝑒 𝑎𝑔𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒́ 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒́. 𝐸𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑚𝑎𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́𝑒𝑠, 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒́𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑠𝑖𝑛𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐̧𝑎 𝑝𝑎𝑟 𝑣𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑎𝑟𝑐𝑖𝑒, 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑒 𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑒 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒, 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛 𝑚𝑜𝑡. 𝑀𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒́𝑒𝑠. 𝐶𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒́𝑣𝑒̀𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒𝑥𝑖𝑡𝑒́, 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒, 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑒 « 𝑢𝑟𝑏𝑎𝑖𝑛𝑒 » 𝑎̀ 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠. 𝐸𝑡 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑑𝑢 𝑑𝑜𝑖𝑔𝑡 𝑙'𝑖𝑚𝑚𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑟𝑒̀𝑡𝑒, 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑙'𝑖𝑚𝑝𝑎𝑐𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑀𝑖𝑛𝑜𝑒𝑛𝑠 𝑢𝑙𝑡𝑟𝑎-𝑟𝑎𝑓𝑓𝑖𝑛𝑒́𝑠 𝑞𝑢𝑖 « 𝑒́𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑛𝑡 » 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑟𝑏𝑎𝑟𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑙 𝑑𝑒́𝑔𝑟𝑜𝑠𝑠𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠. 𝑃𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑑𝑒 𝐶𝑟𝑒̀𝑡𝑒 : 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑑𝑒́𝑒𝑠 – 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒, 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟-𝑣𝑖𝑣𝑟𝑒 : 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 ℎ𝑜𝑟𝑠 𝑝𝑎𝑖𝑟, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑙𝑔𝑟𝑒́ 𝑒𝑢𝑥. « 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑚𝑖-𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒́ 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑖𝑒𝑟𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒́, 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑑𝑤𝑖𝑐𝑘, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖𝑒 𝑑'𝑎𝑏𝑠𝑜𝑟𝑏𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑠'𝑎𝑠𝑠𝑖𝑚𝑖𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒. » 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠, 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑚𝑢𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑛 𝑟𝑒́𝑠𝑢𝑙𝑡𝑎 𝑙𝑒𝑠 𝑎 𝑛𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑜𝑑𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑠, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒́𝑠. « 𝐿𝑎 𝐶𝑟𝑒̀𝑡𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑣𝑎𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑖𝑡 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑎̂𝑡𝑒, 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢𝑒-𝑙𝑎̀ 𝑎𝑚𝑜𝑟𝑝ℎ𝑒, 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑒𝑙𝑙𝑒́𝑛𝑖𝑠𝑚𝑒 », 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑝𝑟𝑖𝑚𝑒 𝑒𝑥𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝐿𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒. 𝑷𝒐𝒕𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒆𝒕 𝒐𝒓𝒇𝒆̀𝒗𝒓𝒆𝒔 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑀𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑠𝑖 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑒 𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́ 𝑎𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑑𝑒𝑔𝑟𝑒́ 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑚𝑎𝑙𝑔𝑎𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑐𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠, 𝑝𝑢𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑝𝑖𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑙𝑎𝑔𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑠𝑡𝑒, 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑎𝑡𝑠 𝑓𝑙𝑜𝑟𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑙𝑒 𝑚𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑'𝑒𝑢𝑥-𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 : 𝑙𝑎 𝑐𝑒́𝑟𝑎𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑑𝑢 𝑚𝑒́𝑡𝑎𝑙. 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑢𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟. 𝐿𝑎 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑'𝐴𝑟𝑔𝑜𝑙𝑖𝑑𝑒, 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑟𝑔𝑖𝑙𝑒 𝑝𝑢𝑟𝑒, 𝑟𝑜𝑢𝑔𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟 𝑜𝑢 𝑗𝑎𝑢𝑛𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙'𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑚𝑖𝑛𝑜𝑒𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑞𝑢'𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡. 𝐴𝑏𝑎𝑛𝑑𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑢𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑝𝑖𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑜𝑝𝑖𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑓𝑖𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑒́𝑟𝑎𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑠𝑒. 𝐼𝑙𝑠 𝑙'𝑎𝑔𝑟𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑒̂𝑚𝑒, 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑎̀ 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒, 𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑣𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑟𝑢. 𝐸𝑡 𝑖𝑙𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑟𝑛𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠, 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒̀𝑐𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒̂𝑡 : 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑡𝑠 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑚𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑖𝑔𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑐𝑢𝑖𝑡𝑒 – 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑢𝑏𝑠, 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 – 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 ; 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 œ𝑢𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑑'𝑎𝑟𝑡, 𝑠𝑡𝑦𝑙𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑟𝑟𝑒́𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑢𝑡 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡𝑒, 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒́ 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑠. 𝐿𝑎 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑠'𝑎𝑐𝑐𝑒𝑛𝑡𝑢𝑎𝑛𝑡, 𝑙'𝑒𝑥𝑡𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́ 𝑎𝑖𝑑𝑎𝑛𝑡, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑟 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑒𝑥𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠, 𝑖𝑙𝑠 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑒́𝑡𝑒𝑟, 𝑖𝑛𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑖𝑓𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑟𝑎𝑡𝑖𝑓𝑠. 𝐴 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑒́𝑡𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡𝑒́ 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́, 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑒𝑛𝑔𝑙𝑢𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 « 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑎𝑙 », 𝑝𝑟𝑜𝑠𝑎𝑖̈𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑜𝑛𝑜𝑡𝑜𝑛𝑒𝑠, 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑑𝑢 𝑣𝑖𝑙𝑎𝑖𝑛, 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑒́𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎. 𝐼𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑜𝑐𝑒 𝑒𝑥𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒́𝑓𝑎𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑑𝑢𝑠𝑡𝑟𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 ℎ𝑎̂𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑐𝑒̀𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑜𝑟𝑚𝑖𝑠𝑚𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠, 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑙 𝑔𝑟𝑒𝑐, 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 « 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑒 » 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑛𝑒́𝑒. 𝐿𝑎 𝑠𝑒̀𝑣𝑒 𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑠𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 « 𝑖𝑛𝑑𝑢𝑠𝑡𝑟𝑖𝑒 » 𝑝𝑟𝑜𝑠𝑝𝑒̀𝑟𝑒, 𝑙𝑎 𝑚𝑒́𝑡𝑎𝑙𝑙𝑢𝑟𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝑀𝑒́𝑡𝑎𝑙𝑙𝑢𝑟𝑔𝑖𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑢𝑖𝑣𝑟𝑒, 𝑑𝑢 𝑏𝑟𝑜𝑛𝑧𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑜𝑟𝑓𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑟𝑖𝑒, 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑦 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑒𝑟𝑡𝑠, 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑟𝑡 – 𝑙𝑎̀, 𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒𝑟 – 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑣𝑒̀𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑒. 𝐹𝑜𝑟𝑔𝑒𝑟, 𝑚𝑎𝑟𝑡𝑒𝑙𝑒𝑟, 𝑐𝑖𝑠𝑒𝑙𝑒𝑟, 𝑠𝑒𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑛'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑢𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑑𝑟𝑜𝑛𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑜𝑟𝑓𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑔𝑜𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑡𝑖𝑎𝑙𝑒𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑛'𝑦 𝑒𝑢𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑞𝑢'𝑒𝑢𝑥 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑'𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠, 𝑙𝑎 𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑚𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑢𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑢 𝑏𝑜𝑖𝑠 (𝑐ℎ𝑎𝑟𝑝𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑒́𝑏𝑒́𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠...) 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥, 𝑙'𝐻𝑒𝑙𝑙𝑎𝑑𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 : 𝑚𝑎𝑐̧𝑜𝑛𝑠, 𝑠𝑒𝑙𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑐𝑜𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 – 𝑞𝑢𝑜𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑒𝑟, 𝑐𝑎𝑟𝑑𝑒𝑟, 𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟, 𝑙𝑎 𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑜𝑢 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑛, 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑛𝑒𝑠 –, 𝑓𝑜𝑢𝑙𝑜𝑛𝑠... 𝐸𝑡 𝑑𝑒𝑠 « 𝑠𝑝𝑒́𝑐𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 », 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑒𝑛 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 : 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑝𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑛𝑎𝑣𝑎𝑙𝑠, 𝑐𝑎𝑙𝑓𝑎𝑡𝑠, 𝑓𝑎𝑏𝑟𝑖𝑐𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑎𝑟𝑐𝑠, 𝑏𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑'𝑜𝑛𝑔𝑢𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑢𝑚𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑞𝑢𝑖 œ𝑢𝑣𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑏𝑎𝑠𝑒 𝑑'ℎ𝑢𝑖𝑙𝑒 𝑑'𝑜𝑙𝑖𝑣𝑒... 𝑇𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑢𝑡 : 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐𝑒 𝑑𝑢 𝑤𝑎-𝑛𝑎-𝑘𝑎 𝑜𝑢 𝑑𝑢 𝑟𝑎-𝑤𝑎-𝑘𝑒-𝑡𝑎, 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒. 𝐷𝑒𝑠 « 𝑔𝑢𝑖𝑙𝑑𝑒𝑠 » 𝑚𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑣𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑟. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑓𝑖𝑙, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑓𝑟𝑖𝑛𝑔𝑎𝑙𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑒́ 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒, 𝑑𝑦𝑛𝑎𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑣𝑖𝑡𝑒, 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡 𝑙𝑒 𝑛𝑒́𝑔𝑜𝑐𝑒. 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐̧𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑣𝑜𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑙𝑜𝑐𝑎𝑢𝑥, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑏𝑎𝑠𝑠𝑒, 𝑠𝑒𝑟𝑟𝑒́𝑒, 𝑡𝑎𝑠𝑠𝑒́𝑒 𝑎𝑢 𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑑𝑢 « 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 », 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑔𝑔𝑙𝑜𝑚𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑠𝑠𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒, ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟, 𝑡𝑜𝑛𝑖𝑡𝑟𝑢𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑙𝑜𝑖𝑒 𝑎𝑢 𝑠𝑢𝑑-𝑜𝑢𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑐𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖, 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒, 𝑔𝑟𝑜𝑠 𝑛𝑒́𝑔𝑜𝑐𝑖𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑎𝑑𝑒, 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 : 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑠'𝑒𝑛 𝑣𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑐ℎ𝑒𝑡𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑖𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑎̀ 𝑇𝑟𝑜𝑖𝑒, 𝑑𝑒 𝑙'𝑖𝑣𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑂𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟 𝑒𝑛 𝐸́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒, 𝑜𝑢̀ 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖-𝑐𝑖, 𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑑𝑒 𝑁𝑢𝑏𝑖𝑒, 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑒. 𝐸𝑡 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑠'𝑒𝑛 𝑣𝑜𝑛𝑡 𝑣𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 : 𝑑𝑢 𝑏𝑙𝑒́, 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑑𝑢 𝑚𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒, 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑎𝑟𝑟𝑒𝑠, 𝑝𝑎𝑟 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠... 𝐸𝑛 𝑝𝑒𝑟𝑝𝑒́𝑡𝑢𝑒𝑙 𝑚𝑜𝑢𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑖𝑙𝑠 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑡𝑖𝑚𝑒𝑠 𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑀𝑖𝑛𝑜𝑒𝑛𝑠, 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑎𝑥𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑠'𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒̂𝑡𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠 – 𝑒𝑡 𝑙'𝑒𝑛𝑟𝑖𝑐ℎ𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝑀𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑜𝑢 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛𝑑𝑒, 𝑙'𝑒𝑥𝑝𝑎𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑛𝑒́𝑙𝑢𝑐𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒, 𝑓𝑎𝑢𝑡𝑒 𝑑'𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 : 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑖𝑔𝑢𝑒̈𝑠. 𝑆𝑖𝑡𝑜̂𝑡 𝑒𝑛𝑟𝑎𝑐𝑖𝑛𝑒́𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑎̀ 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀, 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠, 𝑎𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑠'𝑎𝑛𝑐𝑟𝑒𝑟 𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑡. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑒 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒́𝑡𝑖𝑡, 𝑖𝑙𝑠 𝑠'𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑚𝑎𝑛𝑢 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑟𝑖, 𝑙𝑎 𝐶𝑟𝑒̀𝑡𝑒, 𝑅ℎ𝑜𝑑𝑒𝑠, 𝐶ℎ𝑦𝑝𝑟𝑒, 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑛𝑠 𝑏𝑎𝑟𝑜𝑢𝑑𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑓𝑟𝑖𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑑'𝑒𝑥𝑜𝑡𝑖𝑠𝑚𝑒, 𝑐𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑛𝑡𝑢𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑜𝑖𝑙 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑚𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑜𝑚𝑎𝑛𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑠'𝑎𝑟𝑟𝑒̂𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑙𝑎̀, 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑠𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒̂𝑡𝑒. 𝐼𝑙𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑠𝑢𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛, 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙'𝑂𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙'𝑂𝑐𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑒 𝑗𝑎𝑙𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑜𝑖𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑒, 𝑒́𝑏𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑖𝑎 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑖̈𝑞𝑢𝑒. 𝐸𝑡 𝑖𝑙𝑠 𝑛𝑒 𝑙𝑒́𝑠𝑖𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠. 𝑂𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒 : 𝑐𝑜̂𝑡𝑒𝑠 𝑑'𝐴𝑛𝑎𝑡𝑜𝑙𝑖𝑒 (𝑀𝑖𝑙𝑒𝑡, 𝐶𝑜𝑙𝑜𝑝ℎ𝑜𝑛), 𝑟𝑖𝑣𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑆𝑦𝑟𝑜-𝑃ℎ𝑒́𝑛𝑖𝑐𝑖𝑒, 𝑑𝑒𝑙𝑡𝑎 𝑑𝑢 𝑁𝑖𝑙, 𝐶𝑦𝑟𝑒́𝑛𝑎𝑖̈𝑞𝑢𝑒... 𝐶𝑒𝑠 𝑛𝑒́𝑔𝑜𝑐𝑖𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑖𝑛𝑔𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑓𝑟𝑒́𝑞𝑢𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑑𝑢̂𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑙𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡𝑖𝑛𝑠, 𝐵𝑦𝑏𝑙𝑜𝑠, 𝐴𝑙-𝑀𝑖𝑛𝑎... 𝐼𝑙𝑠 𝑠'𝑒𝑛𝑓𝑜𝑛𝑐𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 ; 𝑟𝑒𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑟𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑄𝑎𝑑𝑒𝑠ℎ, 𝑝𝑎𝑟𝑣𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑟𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑇𝑖𝑔𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝐸𝑢𝑝ℎ𝑟𝑎𝑡𝑒. 𝑅𝑒́𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑖𝑙𝑠 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑢𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎̀ 𝐽𝑒́𝑟𝑖𝑐ℎ𝑜, 𝑎̀ 𝐴𝑘ℎ𝑒𝑡𝑎𝑡𝑜𝑛 (𝑇𝑒𝑙𝑙 𝑒𝑙-𝐴𝑚𝑎𝑟𝑛𝑎). 𝑃𝑢𝑖𝑠, 𝑑𝑒 𝑇𝑟𝑜𝑎𝑑𝑒, 𝑖𝑙𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝐵𝑜𝑠𝑝ℎ𝑜𝑟𝑒, 𝑠𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑒𝑟 𝑁𝑜𝑖𝑟𝑒, 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑇𝑎𝑢𝑟𝑖𝑑𝑒, 𝑙'𝑎𝑐𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝐶𝑟𝑖𝑚𝑒́𝑒. 𝐸𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑢𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡, 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑚𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑖𝑙𝑠 𝑠'𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡, 𝑠𝑝𝑜𝑟𝑎𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑛 𝐼𝑡𝑎𝑙𝑖𝑒 𝑑𝑢 𝑆𝑢𝑑, 𝑒𝑛 𝐸𝑡𝑟𝑢𝑟𝑖𝑒, 𝑒𝑛 𝑆𝑖𝑐𝑖𝑙𝑒, 𝑎𝑢𝑥 𝑖̂𝑙𝑒𝑠 𝐿𝑖𝑝𝑎𝑟𝑖... 𝑆𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑎𝑑𝑒𝑟𝑠ℎ𝑖𝑝 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑐𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑜𝑢𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑗𝑒𝑢 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒 𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑛𝑒. 𝐼𝑙 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑥𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑡𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́. 𝐴 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑎𝑣. 𝐽.-𝐶., 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑥𝑝𝑎𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐸𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒́𝑒𝑠 𝑠'𝑎𝑣𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠. 𝐼𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑥𝑐𝑙𝑢 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑓𝑎𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡 𝑒́𝑛𝑜𝑟𝑚𝑒 « 𝑏𝑜𝑜𝑚 » 𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑒́ 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑒́, 𝑒𝑛 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑖𝑟𝑐𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑒́𝑡𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒. 𝐶𝑎𝑟 𝑖𝑙 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒́ 𝑞𝑢𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑏𝑎𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑒 : 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛'𝑒𝑛 𝑎 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒. 𝑄𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑛𝑜𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑'𝑒́𝑡𝑎𝑙𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑢𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙, 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎𝑓𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑝𝑢𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑢𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑒, 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢'𝑎𝑢𝑥 𝑛𝑎𝑛𝑡𝑖𝑠. 𝑆𝑜𝑛 𝑒́𝑑𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒 𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑠𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑎𝑢 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑙𝑜𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠. 𝑇𝑟𝑎𝑓𝑖𝑐 𝑖𝑛𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑜𝑚𝑝𝑢 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑠 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑢𝑥, 𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑣𝑎-𝑒𝑡-𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑡𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑙𝑒 𝑓𝑙𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛𝑑𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑡𝑎𝑟𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 : 𝑙𝑒 𝑛𝑒́𝑔𝑜𝑐𝑒 𝑛𝑒 𝑓𝑒𝑟𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑠'𝑎𝑚𝑝𝑙𝑖𝑓𝑖𝑒𝑟 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢-𝑑𝑒𝑙𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒, 𝑐𝑒 𝑓𝑒́𝑏𝑟𝑖𝑙𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡-𝑒𝑥𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 𝑚𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑝ℎ𝑒́𝑛𝑜𝑚𝑒̀𝑛𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑎𝑛𝑡, 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒. 𝑆𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑖𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑡 𝑙'𝑢𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑣𝑒́ℎ𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐𝑎𝑛𝑒𝑠, 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑒 𝑎𝑢𝑏𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑎𝑠𝑝𝑜𝑟𝑎 𝑔𝑟𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑖𝑛𝑖𝑚𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑘𝑜𝑖𝑛𝑒̂, 𝑝𝑟𝑒́𝑙𝑢𝑑𝑒 – 𝑡𝑟𝑎𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑜𝑚𝑝𝑢 – 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒, 𝑑𝑢 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡. 𝑼𝒏 𝒅𝒆́𝒄𝒐𝒓 𝒅𝒆 𝒕𝒓𝒂𝒈𝒆́𝒅𝒊𝒆 𝐷𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑏𝑎𝑠𝑠𝑒, 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑠, 𝑟𝑎𝑚𝑝𝑒 𝑝𝑎𝑣𝑒́𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑠'𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒 𝑙𝑒 𝑓𝑙𝑜𝑡 𝑞𝑢𝑜𝑡𝑖𝑑𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑗𝑒𝑡𝑠 𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒́𝑠, 𝑝𝑒́𝑛𝑒̀𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑒𝑛𝑐𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒. 𝑃𝑎𝑠𝑠𝑒́𝑠 𝑙𝑎 𝑙𝑜𝑔𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑏𝑎𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑒𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑜𝑢̀ 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑏𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑟𝑖𝑠𝑡𝑜𝑐𝑟𝑎𝑡𝑖𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑒𝑡 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠. 𝑃𝑜𝑠𝑒́ 𝑎̀ 𝑐𝑟𝑢 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑐, 𝑎𝑢 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑝𝑒𝑟𝑜𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖-𝑐𝑖 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑛𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑎 𝑟𝑒́𝑏𝑎𝑟𝑏𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑚𝑎𝑗𝑒𝑠𝑡𝑒́, 𝑙'𝑎𝑐𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑓𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑖𝑛𝑎𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑑'𝑒𝑛 𝑏𝑎𝑠. 𝐸𝑛 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑝𝑡𝑢𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑚𝑖𝑛𝑜𝑒𝑛𝑠, 𝑜𝑢̀ 𝑡𝑟𝑖𝑜𝑚𝑝ℎ𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑛𝑒́𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒. 𝐸𝑛 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑙𝑎𝑏𝑦𝑟𝑖𝑛𝑡ℎ𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑢𝑠, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒. 𝑆𝑒́𝑣𝑒̀𝑟𝑒, 𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑒, 𝑟𝑒𝑝𝑙𝑖𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑒𝑙𝑙𝑒-𝑚𝑒̂𝑚𝑒, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑟𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑖𝑔𝑖𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑔𝑒𝑛𝑐𝑒́𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑠- 𝑐𝑟𝑒̀𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑜𝑢̀ 𝑠'𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑒́𝑔𝑎𝑟𝑜𝑛. 𝐷𝑒 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑚𝑒𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑑𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑 𝑠'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑢𝑝𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒́𝑒𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑡ℎ𝑜𝑛𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑢𝑑. 𝐵𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑟𝑢𝑒, 𝑝𝑜𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑜𝑖𝑠, 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑡𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑏𝑟𝑒, 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝐷𝑒𝑢𝑥 𝑒́𝑡𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑝𝑒𝑢 𝑑'𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠. 𝑆𝑒𝑢𝑙 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑟 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟, 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑙𝑦𝑐ℎ𝑟𝑜𝑚𝑖𝑒 𝑣𝑖𝑣𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑠𝑡𝑒́𝑒, 𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑛𝑡𝑎𝑖𝑠𝑖𝑒, 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑑'𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠. 𝐶𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑎𝑞𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑠𝑒 𝑠'𝑜𝑟𝑛𝑒𝑛𝑡, 𝑖𝑛𝑙𝑎𝑠𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑑𝑒𝑠 𝑡ℎ𝑒̀𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑙𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑒𝑢𝑥, 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑔𝑒𝑛𝑠 𝑑'𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑠, 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑢𝑥, 𝑔𝑖𝑏𝑖𝑒𝑟, 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑖𝑡𝑚𝑜𝑡𝑖𝑣 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐶𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑛𝑜𝑡𝑒 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑏𝑖𝑒𝑛-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑎𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑙, 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑎𝑖𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝐼𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒́𝑝𝑜𝑢𝑟𝑣𝑢 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑜𝑟𝑡, 𝑝𝑎𝑠𝑡𝑖𝑐ℎ𝑒 𝑟𝑒́𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑑𝑢 𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑒𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒́ 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑡𝑎𝑛𝑡𝑖𝑛𝑒𝑡 « 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒 ». 𝐿𝑎 𝑠𝑎𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒, 𝑎𝑢 𝑟𝑒𝑧-𝑑𝑒-𝑐ℎ𝑎𝑢𝑠𝑠𝑒́𝑒, 𝑒𝑛 𝑡𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒, 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑛𝑜𝑠. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑛𝑜𝑠. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑥, 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑡𝑎𝑔𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑒́𝑔𝑎𝑟𝑜𝑛, 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑢𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑒𝑥𝑜𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑏𝑎𝑟𝑜𝑞𝑢𝑒, 𝑒𝑡 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑢𝑣𝑟𝑎𝑔𝑒́𝑠 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒, 𝑎𝑢 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑟 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑞𝑢𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑜𝑢 𝑑𝑒 𝑐𝑎𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑟𝑢𝑠𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑟𝑖𝑠𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒, 𝑑'𝑜𝑟 𝑒𝑡 𝑑'𝑒́𝑚𝑎𝑖𝑙 𝑏𝑙𝑒𝑢 ; 𝑐ℎ𝑎𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑑'𝑒́𝑏𝑒̀𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟 𝑑'𝑖𝑣𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑒́... 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑚𝑎𝑙𝑔𝑟𝑒́ 𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑖𝑙 𝑦 𝑎, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑡 « 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑜𝑖𝑟 » 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑎𝑡𝑚𝑜𝑠𝑝ℎ𝑒̀𝑟𝑒, 𝑒𝑚𝑝𝑒𝑠𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑔𝑙𝑎𝑢𝑞𝑢𝑒, 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒 𝑎̀ 𝐶𝑛𝑜𝑠𝑠𝑜𝑠. 𝑄𝑢'𝑎-𝑡-𝑖𝑙 𝑝𝑢 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑚𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑠 ? 𝑁𝑢𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑟𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑙ℎ𝑒𝑢𝑟 𝑎 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒́ 𝑖𝑐𝑖, 𝑐𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑟 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑖𝑒́. 𝐻𝑜𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢 𝑚𝑒́𝑔𝑎𝑟𝑜𝑛 𝑞𝑢'ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑝𝑎𝑠. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑖𝑚𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑜𝑖𝑠𝑖𝑟. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑓𝑓𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑛𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒, 𝑖𝑙𝑠 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑓𝑟𝑎𝑖̂𝑐ℎ𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 « 𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 ». 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑖𝑠𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑣𝑒𝑟, 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑓𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑜𝑢𝑒𝑡𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑓𝑒𝑢𝑥 𝑦 𝑐𝑟𝑒́𝑝𝑖𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡. 𝐸𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒𝑡𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠'𝑦 𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑎𝑢 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒, 𝑎𝑢 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑠'𝑖𝑙𝑙𝑢𝑚𝑖𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑓𝑙𝑎𝑚𝑏𝑒́𝑒𝑠. 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑚𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑐𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠, 𝑣𝑒̂𝑡𝑢𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑠𝑒, 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒́𝑝𝑜𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖, 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑢𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑡𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒𝑠, 𝑛'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑟𝑒́𝑝𝑢𝑑𝑖𝑒́ 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑡𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑠 𝑚𝑎𝑛𝑡𝑒𝑎𝑢𝑥. 𝐸𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑠𝑖, 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑒́ 𝑎̀ 𝑠'𝑜𝑓𝑓𝑟𝑖𝑟 𝑑𝑢 𝑏𝑜𝑛 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑒̀𝑑𝑒𝑠 𝑛𝑎𝑟𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠. 𝑅𝑒́𝑐𝑖𝑡𝑠 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑟, 𝑓𝑎𝑏𝑢𝑙𝑒𝑢𝑥 𝑟𝑒̂𝑣𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑏𝑒𝑙 𝑎𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟, 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑝𝑒́𝑒 𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡. 𝐸𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑖 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑏𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑟𝑒𝑣𝑖𝑣𝑟𝑒, 𝑒𝑥𝑎𝑙𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑛𝑠. 𝐹𝑢𝑔𝑎𝑐𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑙ℎ𝑜𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑡 𝑠'𝑒𝑠𝑡𝑜𝑚𝑝𝑒𝑛𝑡. 𝐴 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑏𝑒, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙 𝑎̀ 𝑝𝑖𝑐 𝑑'𝑢𝑛 𝑚𝑖𝑑𝑖 𝑑'𝑒́𝑡𝑒́, 𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑙𝑢𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑟𝑒́𝑝𝑢𝑠𝑐𝑢𝑙𝑒, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑎𝑑𝑖𝑠, 𝑙'𝑎𝑛𝑔𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑎̀ 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑟𝑒́𝑒𝑙, 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑝𝑎𝑟 𝑟𝑒́𝑓𝑟𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑣𝑒𝑠, 𝑙'𝑖𝑛𝑒́𝑝𝑢𝑖𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑏𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒́. 𝑅𝑜𝑐𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑏𝑟𝑜𝑢𝑠𝑠𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑖𝑛𝑒 𝑠𝑒̀𝑐ℎ𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑛𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑐̧𝑎. 𝐴 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑'𝐴𝑟𝑔𝑜𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑙𝑖𝑣𝑎𝑖𝑒𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑔𝑛𝑜𝑏𝑙𝑒𝑠. 𝐷𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑦𝑠𝑎𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑣𝑒̂𝑡𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑟, 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑏𝑒́𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑔𝑙𝑒̀𝑏𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖, 𝑎𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑'𝐸́𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟𝑒, 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 ℎ𝑢𝑚𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑎 𝑠𝑝𝑙𝑒𝑛𝑑𝑒𝑢𝑟 𝑏𝑎𝑟𝑏𝑎𝑟𝑒, 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟 𝑑𝑒 𝐶𝑙𝑦𝑡𝑒𝑚𝑛𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑔𝑎𝑙𝑜𝑝 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑢𝑥 𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒 𝑎𝑐𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑦𝑘𝑖𝑛𝑎𝑖, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑀𝑦𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖, 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖, 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡, 𝑒𝑥𝑜𝑟𝑐𝑖𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑒. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑼𝑵𝑬𝑺𝑪𝑶 ; 𝑵𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒂𝒍 𝑮𝒆𝒐𝒈𝒓𝒂𝒑𝒉𝒊𝒄 ; 𝑮𝒆́𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑽𝒐𝒚𝒂𝒈𝒆 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝑳'𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑯𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 : 𝒍𝒂 𝑴𝒆́𝒅𝒊𝒕𝒆𝒓𝒓𝒂𝒏𝒆́𝒆 (𝒆́𝒅𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝑪𝒂𝒔𝒕𝒆𝒓𝒎𝒂𝒏) ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑴𝒂𝒚 𝑽𝒆𝒃𝒆𝒓 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"https://lateteenlair.net/mes-2-semaines-en-grece-continentale-partie-2-de-delphes-a-mistra/"
@latete_enlair
"Hart mykeense cultuur (1600-1100), martiale cultuu (verdediging en macht) , inspiratie voor Griekse Mythologie, Schatkamer van Atreus (1300), leeuwenpoort (1500-1300), grafcirkel A"
@christelvandegehuchte