Archaeological Site of Mycenae
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#Monument #Visite #Culture #Musée #Museum
Ce qu'en disent les utilisateurs

"Une de nos étapes favorites ! Nous avons pu dormir sur le parking sans soucis en hors saison (arrivée de nuit après la fermeture du site)"

@alexangel_21

"L'une des plus importantes cités de la Grèce antique, et l'ancienne capitale du Péloponnèse, qui a donné son nom à une civilisation dont l'existence s'étendit entre les XVIIe et XIe siècle avant notre ère ! Inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1999, Mycènes constitue ainsi l'un des grands sites majeurs de la Grèce antique et de l’Europe. Connues depuis l’Antiquité, les ruines de Mycènes sont notamment décrites par Pausanias au IIe siècle de notre ère. Les premières fouilles de la cité antique eurent lieu en 1841 et le site est étudié en détail depuis 1876. De nombreuses petites merveilles archéologiques sont ainsi à découvrir lors de la visite de cette cité antique ! 𝐋𝐞𝐬 𝐌𝐲𝐜𝐞́𝐧𝐢𝐞𝐧𝐬, 𝐚𝐧𝐜𝐞̂𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐆𝐫𝐞𝐜𝐬 Au II° siècle de notre ère, l'historien grec Pausanias décrivait ainsi le site de Mycènes : « Il n'en reste rien aujourd'hui, à part quelques murs en ruine et la porte d'entrée de la citadelle ornée d'un bas-relief représentant des lionnes ; on prétend que ces murs sont l'œuvre des Cyclopes... A Tirynthe, il ne reste plus rien que les murs, eux aussi élevés par les Cyclopes. Ils sont faits de pierres si énormes que deux mulets n'arriveraient pas à déplacer les plus petites. » Les ruines qui stupéfièrent Pausanias nous étonnent encore aujourd'hui. Elles rappellent le souvenir du peuple mycénien qui éleva ces titanesques forteresses, il y a près de 33 siècles, vers 1.400 av. J.-C. Elles sont le symbole d'une civilisation qui dut se défendre contre de fréquentes invasions. Mais les Mycéniens ne cherchaient pas qu'à se protéger, ils furent aussi conquérants et la "porte des lionnes" de Mycènes vit souvent passer des cortèges guerriers sous la conduite de rois et de généraux recouverts d'armures de bronze ou de cuir. Autour des acropoles vivaient paysans et artisans, dans des maisons d'argile et de bois. Les résidences des souverains étaient bâties au milieu des enceintes fortifiées. Ces palais, bien plus sommaires et rustiques que ceux de Crète, étaient dits "à mégaron", terme désignant une salle commune centrale, précédée d'un porche et dont le toit, muni d'une ouverture en guise de cheminée, était soutenu en son milieu par quatre colonnes encadrant le foyer. Au XIVe siècle av. J.-C., les Mycéniens donnèrent à leur architecture son faste monumental. Ils construisirent les formidables murailles de leurs cités et les souverains se firent inhumer dans de grandes tombes circulaires dites "à tholos", creusées dans les pentes des collines. Deux siècles plus tard, la civilisation mycénienne fut anéantie par des mouvements de populations venues du Nord, alors qu'éclataient des révoltes de paysans et d'esclaves, las de la domination d'implacables souverains. 𝐋𝐚 𝐜𝐚𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐢𝐯𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐲𝐜𝐞́𝐧𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 (𝐈𝐈𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐞́𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐚𝐯. 𝐉.-𝐂.) L'antique Mycènes est aujourd’hui connue, car elle a donné son nom à la civilisation qui domina la Grèce continentale et les îles de la mer Égée de 1.600 à 1.100 av. J.-C. L’Odyssée et surtout l’Iliade, poèmes épiques attribués à Homère, livrent plusieurs siècles plus tard un écho de cette Grèce alors divisée en petits royaumes. Chaque royaume était organisé autour d’une cité prédominante que protégeait une forteresse imposante. C’est dans cette cité que résidait l’aristocratie guerrière, ainsi qu’un gouverneur, ou roi, vivant dans un palais. Mais la majorité de la population était composée d’agriculteurs, d’éleveurs et d’artisans, les esclaves constituant le bas de l’échelle sociale mycénienne. Le palais était l’incarnation du pouvoir royal et l’expression d’un mode de gouvernement centralisé, responsable de la redistribution des biens, de l’approvisionnement en aliments (céréales, huile, miel, bétail…) et en matières premières (métaux, peaux, étoffes…), et des manufactures (de l’armement au mobilier). Pour tenter de comprendre comment les habitants de Mycènes vivaient au quotidien, les archéologues ont sondé les ruines du palais et des maisons, qui n’ont cependant livré que de maigres informations. En revanche, les nombreuses tombes situées dans la cité ont révélé les pratiques funéraires de ces anciens Grecs et ont dévoilé une caractéristique capitale de leur mentalité : leur culture de la guerre et de l’armement. 𝐋𝐚 𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐝’𝐀𝐠𝐚𝐦𝐞𝐦𝐧𝐨𝐧, 𝐜𝐡𝐞𝐟 𝐝𝐞𝐬 𝐀𝐜𝐡𝐞́𝐞𝐧𝐬 𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐠𝐮𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐓𝐫𝐨𝐢𝐞 La cité antique de Mycènes se trouve au cœur de la mythologie grecque, mais aussi de l’histoire civilisationnelle du continent. D’après la mythologie, elle aurait ainsi été fondée par Persée à la suite de l’homicide accidentel du roi d’Argos, Acrisios. Ayant cédé cette dernière cité au neveu du défunt, Persée serait parti fonder une nouvelle ville : Mycènes. Le nom serait une allusion au pommeau de son épée ou au champignon découvert sur place. Persée aurait ensuite demandé aux Cyclopes, des géants à la force surhumaine et bâtisseurs de Tirynthe, de construire des murailles pour la cité. Pour les Grecs de l’époque classique, les larges blocs de pierre utilisés ne pouvaient en effet qu’avoir été assemblés par ces géants, d’où leur nom de murs cyclopéens ! Dans le récit homérique, Mycènes est également le royaume d’Agamemnon, chef des Achéens lors de la guerre de Troie. Homère décrit alors la cité comme riche en or et importante pour la déesse Héra. Durant le IIe millénaire avant notre ère, Mycènes est ainsi un pôle majeur de la Grèce continentale. Elle forme avec les cités voisines la civilisation « mycénienne ». Elle atteint son apogée entre les XIVe et XIIIe siècles avant notre ère. Mais la puissante cité montre plusieurs signes de destructions, comme le reste des sites de la civilisation mycénienne, entre la fin du XIIIe et le début du XIe siècle avant notre ère. Les causes sont encore discutées parmi les experts : invasions étrangères, tremblements de terre, incendies ou conflits internes, ou plusieurs entremêlées ? Dans tous les cas, Mycènes devient dès lors une cité mineure. Ses fortifications sont même détruites après la mise à sac de la ville par Argos en 468 avant notre ère. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑼𝑵𝑬𝑺𝑪𝑶 ; 𝑵𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒂𝒍 𝑮𝒆𝒐𝒈𝒓𝒂𝒑𝒉𝒊𝒄 ; 𝑮𝒆́𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝑽𝒐𝒚𝒂𝒈𝒆 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝑳'𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑯𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 : 𝒍𝒂 𝑴𝒆́𝒅𝒊𝒕𝒆𝒓𝒓𝒂𝒏𝒆́𝒆 (𝒆́𝒅𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝑪𝒂𝒔𝒕𝒆𝒓𝒎𝒂𝒏) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"https://lateteenlair.net/mes-2-semaines-en-grece-continentale-partie-2-de-delphes-a-mistra/"

@latete_enlair

"Hart mykeense cultuur (1600-1100), martiale cultuu (verdediging en macht) , inspiratie voor Griekse Mythologie, Schatkamer van Atreus (1300), leeuwenpoort (1500-1300), grafcirkel A"

@christelvandegehuchte

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