Temple d'Horus
Temple d'Horus à Edfou - Découvrez ce monument emblématique en Égypte
Le Temple d'Horus à Edfou, également connu sous le nom de Temple d'Edfou, est un monument emblématique situé en Égypte. Ce sanctuaire impressionnant est dédié au dieu Horus et est considéré comme le 2ème plus grand temple de l'Égypte ancienne. Sa construction remonte à l'époque ptolémaïque et il est un incontournable pour toute visite culturelle en Égypte. L'architecture du temple est remarquable, avec ses colonnes imposantes et ses bas-reliefs bien conservés. Une visite au Temple d'Horus à Edfou vous plongera dans l'histoire fascinante de l'Égypte antique et vous permettra d'admirer un véritable trésor de la culture égyptienne. Ne manquez pas l'opportunité de découvrir ce monument impressionnant lors de votre voyage en Égypte.
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"https://www.foxnews.com/world/ancient-painting-revealed-egypt-beneath-layers-bird-poop"
@Gunny
"Selon Graham Hancok, les hiéroglyphes ne racontent pas l’histoire des égyptiens mais l’héritage reçue d’une civilisation du « Premier Temps » contraint à l’exil à la suite de la période glacière il y a 12.000 ans."
@davidking
"https://lateteenlair.net/15-jours-en-egypte-mes-incontournables-dans-le-sud-du-pays-croisiere-sur-le-nil-et-assouan/"
@latete_enlair
"Probablement l'un des plus beaux temples de l'Égypte antique, bâti à Edfou, importante cité située au bord du Nil à quelques dizaines de kilomètres en amont de Thèbes, la capitale égyptienne durant la période du Nouvel Empire. Le dieu Horus était le fils d'Osiris (Dieu de la civilisation) et d'Isis (sa compagne, déesse funéraire puis universelle, et incarnation égyptienne de la divinité païenne ancestrale de la "Déesse-Mère"). Edfou fut également l'un des sites majeurs du développement de la culture d'Esna, l'une des premières communautés proto-agricoles de l'histoire de l'Humanité. 𝐋𝐚 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝'𝐄𝐬𝐧𝐚 : 𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐚𝐮𝐭𝐞́𝐬 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞́𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥'𝐇𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 ! (𝟏𝟐.𝟓𝟎𝟎-𝟏𝟎.𝟓𝟎𝟎 𝐚𝐯. 𝐉.-𝐂.) En 1970, l'anthropologue Frend Wendorf, l'ethnologue Romuald Schild et le géologue Rushdi Saif firent sensation en attestant de traces de très anciennes céréales broyées le long du Nil, découvertes lors de leurs différentes campagnes de fouilles des années 1960 : « 𝑁𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑒𝑛 𝑁𝑢𝑏𝑖𝑒 𝑎 𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒́ 𝑢𝑛 𝑠𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑟𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑜𝑝𝑖𝑛𝑖𝑜𝑛 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑡𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑛𝑖𝑙𝑜𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐷𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑢𝑠𝑡𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎𝑚𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑐𝑟𝑜𝑙𝑖𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑁𝑢𝑏𝑖𝑒, 𝑙𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑢 𝑟𝑎𝑑𝑖𝑜𝑐𝑎𝑟𝑏𝑜𝑛𝑒 𝑑𝑒̀𝑠 17.000 𝑎𝑣. 𝐽.-𝐶, 𝑑𝑒̀𝑠, 𝑜𝑢 𝑠𝑖 𝑐𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑜̂𝑡, 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛 𝑡𝑦𝑝𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑢𝑠𝑡𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑣𝑎𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠. 𝐸𝑛 𝑜𝑢𝑡𝑟𝑒, 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑎𝑢𝑡𝑒́𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑎̀ 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙 𝑎 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒́ 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑟𝑜𝑦𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒̀𝑠 12.500 𝑎𝑣. 𝐽.-𝐶., 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 3.000 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑒́𝑑𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑠𝑜𝑟𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑑𝑒́𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 "𝑓𝑙𝑎𝑛𝑐𝑠 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠". 𝐼𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑒́𝑟𝑒́ 𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑚𝑝𝑙𝑜𝑦𝑒́𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝑙𝑜𝑛𝑔 𝑑𝑢 𝑁𝑖𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑖𝑣𝑒́𝑒𝑠 𝑜𝑢 𝑠'𝑖𝑙 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒𝑠. 𝐶𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡, 𝑙'𝑢𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑜𝑑𝑒 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠, 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒 𝑜𝑢 𝑑𝑜𝑚𝑒𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑒𝑠𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑒𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑎𝑛𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑖𝑛𝑑𝑖𝑣𝑖𝑑𝑢𝑠, 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑚𝑎𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑒́𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑑𝑜𝑚𝑒𝑠𝑡𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. » Fait confirmé en 1974 par l'archéologue Fekri Hassan qui a suggéré la présence évidente, le long du Nil, « d'un développement précoce de l'agriculture à l'époque du Paléolithique final ( de 16.000 à 10.500 av. J.-C.), l'une des plus anciennes tentatives de ce genre au monde, stoppée brusquement par une série de déluges désastreux. ». La culture d'Esna s'étendait le long du Nil, côté ouest, principalement des sites de Luxor-Esna jusqu'à Aswan. On peut toutefois probablement lui ajouter deux autres localisations plus au Nord, comme celles de Nagada (qui se trouve entre Louxor et Dendérah) et Dishna, laquelle se situe entre les deux sites sacrés d'Abydos et de Dendérah. Un dernier site ferait également partie de cette culture : il s'agit de Tushka, qui est localisé dans les terres, à l'extrême sud-est de Kom Ombo (où se serait trouvée une ancienne mine d'or appartenant aux suivants d'Osiris). La particularité de cette culture ferait donc d'elle la première retrouvée à ce jour capable de sélectionner et peut-être même de faire pousser des céréales, manifestement de l'orge. Point que l'anthropologue Fred Wendorf et l'ethnologue Romuald Schild démontreraient très bien, notamment dans une étude scientifique publiée en 1976 : « 𝐿'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑑'𝐸𝑠𝑛𝑎 𝑒𝑠𝑡 𝑙'𝑎𝑏𝑠𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛. 𝐶𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑒́𝑑𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑐𝑒𝑢𝑥-𝑐𝑖 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑚𝑎𝑚𝑚𝑖𝑓𝑒̀𝑟𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑒̂𝑐ℎ𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙'𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑚𝑜𝑢𝑙𝑢. 𝐿𝑒 𝑝𝑜𝑙𝑙𝑒𝑛 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́ 𝑠𝑢𝑔𝑔𝑒̀𝑟𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑖𝑛 (𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑒) 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́ 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒, 𝑒𝑡 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑝𝑜𝑙𝑙𝑒𝑛 𝑑'ℎ𝑒𝑟𝑏𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒𝑠, 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑖𝑠𝑜𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́ 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑔𝑒, 𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑢𝑑𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑙 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑙𝑙𝑒𝑛, 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑎𝑚𝑒́𝑛𝑎𝑔𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛. 𝐶𝑒𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑜𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑣𝑜𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑢𝑖 𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑖𝑠 𝑏𝑟𝑢𝑠𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛, 𝑒𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑑'𝑎𝑡𝑡𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑠. ». Les hommes de la culture d'Esna savaient aussi confectionner des faucilles en pierre pour moissonner, et des meules pour broyer le grain. Ces meules servaient, à n'en pas douter, à la préparation d'une nourriture à base de plantes. Ils possédaient aussi la technologie des microlames. Ceci peut renvoyer aux légendes d'Osiris et de ses Suivants, qui selon la mythologie auraient apporté aux anciens égyptiens d'avant le déluge les céréales et un certain degré de civilisation. La culture d'Esna n'est de surcroit pas un cas isolé. La présence de céréales difficilement identifiables plus au Nord, près du Fayoum égyptien, renforce la possibilité d'une culture céréalienne très ancienne. L'ethnologue Emile Massoulard s'interrogeait déjà en 1949 au sujet d'une variété d'orge recueillies au Fayoum, Hordeiim vulgare, si différente de l'orge sauvage et si semblable à celle que l'on cultive actuellement en Egypte qu'elle n'a pu atteindre un tel degré de développement qu'après une très longue période de culture. La culture d'Esna s'éteint brusquement vers 10.500 av. J.-C., date couramment attribuée au Grand Déluge dans toutes les mythologies antiques, et époque de la mort d'Osiris selon le 𝑇𝑒𝑠𝑡𝑎𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 (essai d'Anton Parks). Les outils du "premier âge d'or agricole de l'Egypte" sont alors subitement délaissés et les hommes de cette époque redeviennent chasseurs-cueilleurs et pêcheurs. Cette culture aurait-elle été influencée par les Shemsu ("suivants") ou Urhsu ("guetteurs") d'Osiris, Râ et Horus, ces dieux de grande taille et à tête allongée, à qui le papyrus de Turin accorde une durée de règne de 13.420 années, donc bien avant les premiers rois dynastiques (vers 3.185 av. J.-C.) ? 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑫𝒐𝒔𝒔𝒊𝒆𝒓 « 𝑳𝒆𝒔 𝒔𝒊𝒕𝒆𝒔 𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆́𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝒐𝒓𝒅𝒓𝒆 » 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝑨𝒅𝒂𝒎 𝑮𝒆𝒏𝒆𝒔𝒊𝒔 𝒅'𝑨𝒏𝒕𝒐𝒏 𝑷𝒂𝒓𝒌𝒔 ; 𝑱𝒆𝒂𝒏-𝑪𝒍𝒂𝒖𝒅𝒆 𝑮𝒐𝒍𝒗𝒊𝒏 (𝒊𝒍𝒍𝒖𝒔𝒕𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"When the god Horus. "Lord of the Sky," became one of ancient. Egypt's major deities, each subsequent pharaoh was identified with him as "the Living Horus," the defender of the right order of things orrearth. Although the legend occasionally varies, Horus was widely worshipped as the son of the gods Isis and Osiris He is often depicted as a man with the head of a falcon, as an animal with the head of a falcon, or as a falcon itself. A huge granite figure in the principal courtyard of the Edfu temple depicts Horus as a majestic falcon wearing the Egyptian crown The Temple of Horus has been described as the most perfectly preserved monument of the ancient world" and its inscriptions have yielded a wealth of Information about rituals and festivals, the priesthood, and Ancient Egyptian mythology. The present temple, which replaced an earlier one, was built by successive rulers of the Ptolemaic dynasty. The Greek Ptolemies adopted the gods and religion of Egypt in order to bolster their royal power. Begun by Ptolemy I in 237 BCE, the temple was completed 180 years later by Ptolemy XII. On the entrance gate are huge figures of Horus, other gods and a pharaoh destroying his enemies, above the gateway the disk of the sun is flanked by serpents. in the temple's inner sanctuary remains a shrine of polished stone in which a golden figure of Horus was concealed. The temple had an extensive library as well as a perfume laboratory, with inscriptions on the walls detalling recipes for perfumes and incense. Once a year a statue of Horus's mother, the goddess isis, was brought to Edfu along the Nile in a gilded barge from her temple at Dendera to the north. She passed rejoicing crowds on the riverbanks to give birth to the god symbolically, in revelry and happiness, in the Feast of the Beautiful Meeting."
@nchavotier
"Temple d'Edou à l'effigie d'Horus, le roi faucon."
@vincenttim91