Vous pensez qu'il y a une erreur sur ce lieu ?
Signaler une erreur
Vos retours sont importants pour nous. Si vous avez remarqué une erreur concernant ce lieu, merci de nous en informer pour que nous puissions la corriger.
Propriétaire de ce lieu ?
Nous récupérons automatiquement les informations disponibles sur votre lieu. Si jamais celles-ci ne sont pas correctes, connectez-vous gratuitement sur notre tableau de bord pour les modifier et bonus, accédez à vos statistiques détaillées.
Ce qu'en disent les utilisateurs
Autres lieux à voir autour
"Dans un écrin exceptionnel de hautes falaises de granit et des fleurs de bruyères, les oiseaux marins du grand large ou du bord de côte viennent nicher ici par centaines chaque printemps. Un écrin haut perché La réserve se présente sous la forme d'un linéaire côtier à falaise. C'est une côte extrêmement découpée dans une roche très résistante (granit) présentant des à-pics qui peuvent présenter jusqu'à soixante-dix mètres de hauteur. On observe un étagement de la végétation et une succession intéressante des unités écologiques depuis les rares plantes de la falaise, la pelouse rase soumise aux embruns, jusqu'à la lande sur le plateau un peu plus abrité. Les fougères s'installent dans les zones les plus abritées. Le paysage de la réserve est très découpé dans sa partie la plus littorale, mais il présente également une diversité topographique intéressante sur le plateau puisque celui-ci est découpé par plusieurs petits vallons. Le point culminant de la réserve s'élève à 85 mètres. Une grande diversité d’oiseaux marins Parmi ces volatiles du grand large, on compte mouette tridactyle, guillemot de Troïl, fulmar boréal, et encore océanite tempête. Cormoran huppé, goéland argenté, goéland brun et goéland marin sont des espèces du bord de côte. Entre la lande, la pelouse maritime et les falaises, vivent toute l'année d'autres oiseaux remarquables, tel que le grand corbeau, le crave à bec rouge et le faucon pèlerin, tous trois devenus rarissimes en Bretagne. Pâturage et crave à bec rouge Depuis bientôt trente ans, la réserve utilise un mode de gestion original des landes et pelouses maritimes, inspiré de pratiques ancestrales: le pâturage ovin et équin. Ainsi, grâce au pâturage , la végétation rase permet au crave à bec rouge de trouver les insectes du sol dont il a besoin pour se nourrir. C'est pourquoi il est revenu nicher sur la réserve, après de nombreuses années d'absence. De plus, la race de mouton, Landes de Bretagne, qui était elle-même en voie de disparaître, fut ainsi sauvée. Les poneys Dartmoor complètent efficacement le pâturage une partie de l’année. Le faucon crécerelle, et nombre de petits passereaux comme le bruant jaune, le pipit farlouse, le tarier pâtre, la fauvette pitchou ou la linotte mélodieuse participent également de la biodiversité du site. Origines de la réserve En 1959, alors que les colonies d'oiseaux sont menacées sur le littoral de Goulien, Michel-Hervé Julien parvient à créer une réserve naturelle. En 1973, le Conseil Général du Finistère devient propriétaire de l'essentiel des terrains et les confie en gestion à Bretagne Vivante-SEPNB. Aujourd'hui, c'est toujours le partenaire privilégié de la réserve. Cette réserve naturelle associative englobe aujourd'hui les falaises et îlots les plus riches du Cap Sizun, sur une cinquantaine d’hectares. Elle a été pendant plus de 25 ans un lieu d'études et de recherches scientifiques sur la mouette tridactyle, grâce à un programme de baguage. Dès sa création, la réserve fut ouverte au public, jouant là aussi un rôle pionnier dans l'éducation à l'environnement en Bretagne. "
@leedzuh
"Ce site magnifique et sauvage de la Cornouaille, qui domine la mer de 70 m, abrite des milliers d'oiseaux de mer réunis en colonies : guillemots de Troïl, cormorans huppés, goélands argentés, bruns et marins, les plus rares, mouettes tridactyles, pétrels fulmars, grands corbeaux et craves à bec rouge. Nous vous conseillons de visiter cette réserve pendant la période de reproduction, au printemps. La nidification s'étend de mars à mi-juillet, le départ des oiseaux s'échelonnant jusqu'à fin août. Informations complémentaires : ecobalade en téléchargement sur www.ecobalade.fr"
@nathcharente
"Si la pointe du Raz est un incontournable, un des lieux les plus connus de Bretagne, on connait assez mal son histoire. Avec une visite guidée, vous en apprendrez énormément sur ce site emblématique et les aménagements récents qui ont sauvé le site. Si c’est une visite à faire en Bretagne, ce serait dommage de s’arrêter à la pointe du Raz et ne pas poursuivre l’exploration du cap Sizun et sa réserve naturelle, au moins aussi intéressante selon nous. Des falaises impressionnantes, des oiseaux marins, les embruns… La Bretagne quoi !"
@
"Faire pointe du raz, milier, beuzec et brezellec "
@alma.gazette
"Balade sur la côte avec une vue de dingue 🤩 "
@
"Balade avec possibilité de faire juste une petite boucle au milieu des fleurs et de la bruyère. Beau point de vue "
@
"Terre marine, paradis des oiseaux."
@
"Ce site magnifique et sauvage de la Cornouaille, qui domine la mer de 70 m, abrite des milliers d'oiseaux de mer réunis en colonies : guillemots de Troïl, cormorans huppés, goélands argentés, bruns et marins, les plus rares, mouettes tridactyles, pétrels fulmars, grands corbeaux et craves à bec rouge. Nous vous conseillons de visiter cette réserve pendant la période de reproduction, au printemps. La nidification s'étend de mars à mi-juillet, le départ des oiseaux s'échelonnant jusqu'à fin août. Informations complémentaires : ecobalade en téléchargement sur www.ecobalade.fr"
@
"Rendez-vous incontournable pour tous les passionnés de nature et d'ornithologie, la réserve permet d'observer les différentes espèces d'oiseaux marins du grand large venant s'y réfugier. Mouettes tridactyles, guillemots de Troil, fulmars boréals... Vous pourrez apercevoir ceux du bord de côte, cormorans huppés, les goélands argentés, bruns, marins... C'est par centaines qu'ils viennent nicher chaque printemps. Certains d'entre eux devenus rarissimes, vivent dans la réserve toute l'année. La meilleure période pour les observer est entre avril et mi-juillet."
@